Les Limites De La Puissance Chinoise

La place de la chine dans le commerce mondial La Chine est la deuxième puissance économique mondiale après les États-Unis[]. Le pays a connu une croissance économique très importante depuis les années 1980. Cependant, la population reste très pauvre, la Chine est placée au 126 ieme rang mondial[]. En 2008, il s'agissait plutôt de 6 200 dollars par an et par personnes contre 10 300 de moyenne mondiale. Ces chiffres montrent de fortes disparités entre les régions et les individus. La Chine contribut

de la planète et est dans son ensemble fortement marquée par la civilisation chinoise. La partie définie par le programme s'intéresse au Japon, à la Chine littorale incluant Hong-Kong et aux 3 dragons restants, elle ne s'attache donc qu'à une petite partie de l'Orient asiatique, mais cette partie joue un rôle croissant à l'échelle mondiale et un rôle essentiel à l'échelle régionale. Quels sont les facteurs de puissance ? Comment s'organise l'espace ? I. Un atout majeur : la population. 1

commencent. Avec la dynastie Xia (2200 av. JC), on est à la charnière entre l’histoire mythologique et l’antiquité chinoise (voir l’ANNEXE 1 sur 4 pages : chronologie de la pensée chinoise de l’antiquité). Après avoir évincé les Xia, la dynastie Shang sera à son tour remplacée par la dynastie Zhou (on est vers 1000 av. JC), pendant laquelle seront rédigés trois des cinq Classiques de la pensée chinoise. A partir des Xia et en remontant le temps mythologique jusqu’aux « commencements », on s’efforce de dater

d’achat 4- Système fiscale 5- Emplois et Salaire 6- Inflations 7- Synthèse Par : Nicole Fitolite/ Clément Nicolas/ Faustine Binet PIB & taux de change Illustration : annexe 1 et 2 La Chine est la deuxième puissance économique mondiale après les États-Unis. Le pays a connu une croissance économique particulièrement soutenue depuis les années 1980. Cependant, la population reste relativement pauvre : en parité de pouvoir d'achat, on évalue le PIB par habitant

Doc 1 : Une croissance sans précédent La performance [de la Chine] depuis 1978 est d'ores et déjà tout à fait inouïe. Sa production est aujourd'hui dix fois supérieure à ce qu'elle était alors - ce qui la place au sixième rang parmi les grandes puissances de la planète. (...) En fait, jamais dans l'histoire économique on n'a vu un pays aussi peuplé (1,3 milliard d'habitants) connaître une croissance aussi forte (de l'ordre de 8 % à 9 % l'an) pendant une période aussi longue (vingt-cinq ans). Jamais

MR DIATTA La chine de 1911 à 1949 INTRODUCTION A la fin du 19ème siècle, la chine longtemps restée dans le contrôle de la dynastie Mandchoue, tombe sous la domination des puissances européennes. Devant cette situation, des révoltes paysannes éclatent et conduisent à deux importantes révolutions : celle de 1911 (dite nationaliste) et celle de 1949 (dite socialiste) qui transforment radicalement le pays. I°) LA REVOLUTION

@ LA FÉODALITÉ CHINOISE par Marcel GRANET (1884-1940) 1952 Un document produit en version numérique par Pierre Palpant, collaborateur bénévole Courriel : pierre.palpant@laposte.net Dans le cadre de la collection : "Les classiques des sciences sociales" dirigée et fondée par Jean-Marie Tremblay, professeur de sociologie au Cégep de Chicoutimi Site web : http ://www.uqac.uquebec.ca/zone30/Classiques_des_sciences_sociales/index.html Une collection développée

prenière fois en 2003, occupe son deuxieme mandat depuis 2008. La Chine est la deuxième puissance mondiale après les États-Unis . En quoi la Chine est un pays de paradoxes ? En premier lieu, nous illustrerons les aspects politiques de la Chine et les paradoxes qui s'en suivent. Puis, par la suite, nous évoquerons la configuration économique de ce pays. Pour finir nous envisagerons l'avenir de cette seconde puissance mondiale. Les paradoxes politiques chinois. L'organisation politique de la

convertis, mais qui subissent fréquemment les édits d'interdiction. Un autre stratagème utilisé par les jésuites est de mettre en avant leurs connaissances scientifiques. Ce n'est d'ailleurs pour eux qu'un simple moyen pour montrer la supériorité et la puissance du Dieu chrétien. Les « sciences célestes » produisent chez les Chinois une certaine confusion entre l'essentiel et l'accessoire. Les jésuites n'introduisent les Chinois aux sciences occidentales que par ce qu'ils espèrent les utiliser comme un moyen

de respecter et qui se bâtit autour d’une théorie qu’il est nécessaire de mettre en pratique. Après avoir développé cette théorie, Julllien s’attache à en présenter les limites et les situations pour lesquelles cette manière de penser n’est plus praticable (exemple de la guerre). François Jullien présente ensuite la pensée chinoise qui s’appuie sur le potentiel de chaque situation et sur les facteurs en jeu plutôt que sur des formes ou des théories idéales. Comme nous l’avons souligné, François