Les Limites Des Monétaristes

situations de pouvoir discrétionnairement augmenter ou diminuer les taux d'intérêt de façon contracyclique. Ces politiques de "stop and go" ont été utilisés en France de 1967 à 1975.1 • L'efficacité des politiques monétaires est contestée par les monétaristes et les nouveaux classiques. Trois critiques à l'égard des politiques monétaires conjoncturelles - La politique monétaire expansive se traduit par une accélération de l'inflation. cela se produit à long terme selon Friedman du fait de l'illusion

la production + hausse des prix ➞ baisse du pouvoir d’achat des salariés car l’augmentation des salaires < hausse de l’inflation ➞ hausse des coûts de production ➞ les entreprises arrêtent d’embaucher. L’expansion cesse. 58 Dans la conception monétariste, toute politique de relance par le crédit est, au final, inflationniste. Anticipant cet effet, et conscientes que la relance économique n’est que de courte durée, les entreprises relèveront désormais leurs prix afin de faire face au renchérissement

sociales et culturelles profondes qui suscitent de nombreuses interrogations. En quoi les transformations économiques ont-elles bâti un monde de globalisé ?    I. Evolution économique de 1945 à nos jours    A. les  30 glorieuses (aspects, facteurs, limites)                                                                                                                                 page 32 Cette période est marquée par une très forte croissance de type fordiste. Aspects :    - mise en place d'une

français vend ses produits aux US. Il est payé en $ or il a besoin de les changer pour payer ses fournisseurs et salariés, etc... La banque réalise alors une création monétaire en créditant e compte de l'expéditeur en euros. III- Il est nécessaire de limiter et de contrôler la mesure monétaire. La monnaie est un bien collectif car le pouvoir d'achat de la monnaie doit être maintenu notamment par l'Etat grâce à la politique monétaire. Si ce n'est pas le cas un excès de création monétaire va se traduire

application des théories keynésiennes que la relance économique a pu se faire par l’augmentation des dépenses publiques. La mise en œuvre de cette politique a fonctionné un temps, avant d’être vivement remise en cause dans les années soixante du fait des limites montrées par cette technique. Néanmoins, la politique budgétaire reste nécessaire à l’action économique de l’Etat. Mais les rigueurs déterminées par le Pacte de stabilité et de croissance peuvent néanmoins nuire à l’autonomie des Etat dans la conduite

unique : Diminution des frais de change Baisse des taux d’interet pour se financer Garantie sur l’horizon économique favorable à l’investissement Garantie de stabilité Il y a eu des craintes qui ont créé la défiance : Effets inflationnistes, très limités selon les études menées Second objectif = la création d’un grand marché Marché Unique et euro sont les deux initiatives parallèles prises par Jacques Delors dans les années 1980 pour relancer l’Europe. Avantages d’un grand marché : Concurrence

économique de 1974 et à la suite de l’échec des politiques de relance keynésiennes, l’Etat Providence est sérieusement remis en question. Sur le plan économique, les thèses monétaristes de Milton FRIEDMAN remettent en cause l’efficacité des politiques keynésiennes en leur attribuant la montée de l’inflation. Cette analyse monétariste repose sur un certain nombre de points. Le premier est que l’inflation est partout et toujours un phénomène monétaire, ie que toute hausse des prix est due à une hausse

plein-emploi -Les outils macro économétriques apparaissent fiables et scientifiques. Recommandations de politique publique Incitations fiscales à l’investissement. Actions de formation et reconversion des salariés. Balisage des prix et des salaires. Limiter la progression des prix et des salaires. Indexation des salaires sur les prix. Politiques monétaires dissociant le court terme et le long terme. Politiques économiques conjoncturelles. « L’essentiel est de ne pas faire plus de bêtises que les

l'intérieur de celle ci. Tout d'abord les classiques, donc par suite, les néoclassiques. Puis viendra ensuite le courant de Irving Fisher, donc celui de la théorie quantitative de la monnaie qui sera prolongé par l'école de Cambridge. Et pour finir , les monétaristes dont le chef de file est Friedman. Les classiques ont une vision de la monnaie neutre, en effet pour ceux ci, les agents ne détiennent de la monnaie que pour effectuer une transaction. Jean Baptiste SAY dit de la monnaie qu'elle est « un voile

La politique monétaire Objectifs, instruments et limites. Réalisé par: Khadija ELMAJDOUBI Hanan BEN MALEK Oumnia ARABI ELMIZANI Nabila BOUALLOU Manal Dina Encadré par : Sommaire Introduction………………………………………… ……………...3 I. II. III. IV. V. Présentation de la politique monétaire………….4 Les objectifs de la politique monétaire…………..5 Les instruments de la politique monétaire.......7 Efficacité et limites de la politique monétaire.10 Cas pratique : Le Maroc…………………………………13 Conclusion……………………………………………