Les Limites Des Monétaristes

dit en famille en fonction de leur liquidité, c'est-à-dire à se transformer en moyen de paiement). Les banques centrales se donnent donc pour objectif de réguler la masse monétaire, l’instrument utilisé par la BCE (banque central européenne) pour limiter la création monétaire est le taux d’intérêt directeur qui servira de base à la fixation des taux d’intérêt pratiqués par les banques envers leurs clients. II_ Les inconvénients d’une création monétaire insuffisante a) Une création monétaire

la monnaie scripturale en billets. Supposons qu’une banque commerciale créée 100 euros suite à une émission de crédit accordé à un particulier et Mathew décide de retirer 30 euros. L’existence de plusieurs banques limite la création monétaire : chaque banque commerciale émet sa propre monnaie scripturale. Mais doit assurer la conversation de sa monnaie dans celle des autres. Conversion de cette monnaie émise= fuite pr chaque banque. -------------------------------------------------

LE BUDGET ET LES LIMITES DES POLITIQUES BUDGETAIRES Le budget est devenu un instrument de la politique économique sous l’impulsion de Keynes. Il a notamment été utilisé pendant les 30 Glorieuses, avec des résultats indéniables et positifs. Avec la crise de 73-74, suite au 1er choc pétrolier et un déficit qui va augmenter régulièrement (aux alentours de 9% de déficit budgétaire pour 2010), l’utilisation de cet instrument est remise en question notamment par les libéraux.

information capitale pour les pouvoirs publics puisqu'il apporte la preuve qu’une pénurie d'investissement privé déprimant la demande effective, pourra être compensée par les effets secondaires puissants d'un investissement réalisé par l’Etat. À la limite, l’intérêt pratique de l’investissement supplémentaire n’a que peu d'importance, dans la mesure où le processus s'enclenche simplement sous l'influence de la dépense nouvelle. Keynes luimême écrit : « À une époque de chômage rigoureux, des travaux

20 7- Résumé…………………………………………………………………………………….21 IV -LE MONETARISME…………………………………………………………………… 21 1-Les fondements…………………………………………………………………………………..21 2-Les contestations du keynésianisme……………………………………………………………..22 3-les critiques adressées aux monétaristes………………………………………………………….22 V- L’ECONOMIE DE L’OFFRE……………………………………………………………………23 1-Historique…………………………………………………………………………………..24 2-La conception de l’économie de l’offre…………………………………………………….24 3-les effets dé incitatifs de l’intervention de l’État

liberté, sécurité. Et bien voir que l’on ne saurait, au risque de les perdre toutes deux, en demander une troisième. » Voilà ce que pense Frédéric Bastiat, économiste libéral du XIXème siècle français très reconnu outre-Atlantique, l’Etat doit être limité à ses fonctions « régaliennes » et ne doit en aucun cas intervenir sur le marché et dans la vie des individus car ce serait forcément au détriment de la liberté des individus et du marché, il faut ce qu’on appelle un « état-gendarme ». Cependant

développement de l’endettement. En 1979, se produit un second choc pétrolier dû à la révolution iranienne. En 1973, le prix du choc pétrolier a fortement augmenté car les principaux pays développé mènent une politique monétariste pour lutter contre l’inflation qui consiste à limiter l’émission de monnaie. Le monde replonge dans la crise. La crise s’aggrave entre 1980 et 1982 avec de nouveaux un taux de chômage et d’inflation qui progresse à nouveau. En 1982, le Mexique annonce qu’il ne peut plus

Image d’entreprise saine et prospère • Investissement limité par les profits passés • Peut priver l’entreprise d’autres utilisations judicieuses de ses gains de productivité. • Peut s’avérer insuffisant pour franchir un seuil (taille minimum) pour la rentabilité. • Peut priver inutilement de facilités de croissance et de profits, surtout si les taux d’intérêts sont faibles. Pour l’économie entière • Rassure les libéraux et monétaristes qui valorisent la notion d’épargne préalable • Cela leur

inégalités dans la répartition des revenus …………………. 054 3.3. Les conséquences monétaires ………………………..………… 058 Chapitre 4 : Les politiques anti-inflationnistes ……………………… 078 4.1. La théorie keynésienne et son évaluation ………………………. 080 4.2. La théorie monétariste et son évaluation ………………….…….. 085 4.3. Les remèdes ………………………………………………………0 97 Chapître 5 : Les causes de l’inflation en Algérie……………..……. 118 5.1.L’inflation monétaire ……………………………………………. 119 5.2. L’inflation structurelle ………………………………………….. 138

comparaison soit positive (donc favorable à la décision d'investissement) et vice versa. 2 rmqs: La décision se fait sur le seul critère de rentabilité (loi de Say) et donc pas de pb de débouchés, l'entreprise peut investir toujours plus car pas limité du côté des ventes. Dans la réalité, les entreprises ne décident pas de leurs investissements que par rapport à la productivité marginale, mais bien avant d'investir elles doivent être sur que leurs produits ont des débouchés, ce qui n'est