Les Lumières de la ville

LA VILLE l L'architecture est un art à part entière dans la mesure où celle ci transmet une idéologie, des sentiments,... Dans le film de science-fiction américain Equilibrium réalisé en 2002, Kurt Wimmer nous offre sa vision d'une ville utopique, Libria, et en totale opposition aux « Enfers », le monde d'aujourd'hui alors en ruine. Ce film est tout de même une contre-utopie, puisqu'il met en scéne une société parfaite à son terme, cependant des défauts y résultent. Le lieu de tournage choisi

pullulante, d'où sortait la voix profonde des foules. On était à l'automne ; la ville, sous le grand ciel pâle, s'alanguissait, d'un gris doux et tendre, piqué çà et là de verdures sombres, qui ressemblaient à de larges feuilles de nénuphars nageant sur un lac ; le soleil se couchait dans un nuage rouge, et, tandis que les fonds s'emplissaient d'une brume légère, une poussière d'or, une rosée d'or tombait sur la rive droite de la ville, du côté de la Madeleine et des Tuileries. C'était comme le coin enchanté

atteintes du temps. Lumière et eau: soleils mouillés oxymore et preuve que l'on est devant un tableau (pluriel) éclat de l'œil mouille des larmes Musique des vers: dans les allitérations (soleils mouillés, ciels brouillés ), dans la multiplicité des consonnes liquides suggestion de l'humidité. Refrain: il renvoie a la strophe et la résumé, il est toujours la même et a chaque fois le même sens. Il annonce la suite des les 2 autres strophes. 2eme strophe On laisse la lumière des ciels et on passe

La
question
du
Beau
dans
l'art
quand
il
représente
l'horreur.
 
 Avant
la
projection
 
 2
­
Hypothèses
de
lecture
à
partir
de
l'affiche.
 
 a)
L'image

 • Un
dessin
:
représentatif
de
la
facture
du
film
ou
dessin
illustratif
pour
l'affiche
?

 • Nuit
ocre,
une
côte,
une
grande
ville,
une
mer
calme,
lourde.
 • Des
fusées
éclairantes.
Pour
éclairer
qui
?
Pourquoi
?

 • Trois
 hommes,
 jeunes,
 nus,
 amaigris,
 l'air
 hagard,
 sortant
 de
 l'eau.
 Ils
 portent
 une
 médaille,
une
arme
à
la
main
....
des
soldats
?
 • L'un
 d'eux


Celui-ci fût en vogue au XVIIIème siècle et fût très utilisé par les philosophes des Lumières. Restif de La Bretonne privilégie les lettres, qui ont une visée argumentative et rendent le texte plus vivant. Malgré l’absence d’éléments à l’en-tête et au pied de la page nous savons que le narrateur écrit à ses parents comme le montre cette phrase « Souffrez, chers parents, que je vous fasse hommage de mes lumières » (l. 4-5). La teneur du texte laisse supposer au lecteur que les actions se déroulent

regard porte le poète africain sur la ville Phare de l'Occident ? I. Des rapports très ambigus entre le poète et la ville mythique. a) Un éblouissement initial. Ch lexical de la lumière : "or" (v1), "soleil" (v4), "lumière" (v5) = éblouissement du poète. Ch lexical métaux : "or" (v1), "métal" (v2), "acier" (v6) = modernité "New York !" = entré vive et direct en matière "les têtes foudroient le ciel" -> Dieu + gratte-ciel en masse, personnification de la ville "ta beauté", ch lexical du corps humain

se soulève. L’insurrection est réprimée par les troupes de Napoléon. II-BIOGRAPHIE Né près de Saragosse, Goya s'installe à Madrid en 1775. En 1783, il est nommé peintre des rois d'Espagne et réalise pour eux de nombreux portraits. Partisan des Lumières et de la Révolution Française, Goya est traumatisé par l'intervention Française en Espagne. Il dénonce la guerre d'Espagne et la répression dans 82 gravures appelées les Désastres de la guerre (1810) puis dans El Dos et El Tres de Mayo peints en

Strophe 2 : ciel voilé (brume, fumée, fleuves de charbon, nuit / pénombre.) Vastitude, liberté, associés à la ville. 2) La ville industrielle a) "Les clochers" : aspect traditionnel de la ville de Paris. b) - Les usines : -> L'atelier -> "les tuyaux" -> "Les fleuves de charbon" C'est une ville familière, qui ressemble à d'autres villes. C'est aussi une ville qui travaille (ville industrielle) Détails prosaïques ("tuyaux") V6 : Métonymie : "L'atelier qui chante et qui bavarde" : personnification

gradation vers la précision (« Hôtel de ville », « halles », « Paris »), puis accumulation noms de rues et de monuments. * Itinéraire, trajet : enchaînement logique des noms de lieux, chp lexical du déplacement (« passait », « galopa ») ; point de vue interne. * Personnification de Paris : vieux (chp lexical de l’ancienneté avec adjectifs qui caractérisent Paris), triste (chp lexical monotonie avec « droite », « plate », « étroite », « triste »), réaliste (ville des réalistes = plein de détails)

Colloque de la CPDT La CPDT a dix ans, la Wallonie dans dix ans Palais des Congrès, Liège, le 24 mars 2009 La revitalisation intégrée du cœur de ville de Tournai Commune de TOURNAI (Province de Hainaut) Commanditaire du projet : Ville de Tournai Auteur de projet : A/NM/A Agence Nicolas Michelin & Associés Partenaires du projet : Intercommunale IDETA (chef de file portefeuille de projets « Objectif Convergence »), Province de Hainaut, SLSP Le Logis Tournaisien, Région wallonne, Union européenne