Les Mains Sales Commentaire Confrontation

divertissement gratuit (Jean de Lanson) ou bien à la rêverie romanesque (Huon de Bordeaux). La Chanson de Roland : un dopant pour chevaliers « Oyez, oyez…» Oui, oui ! Nous oyons ! « Oyez donc !... » Quoi encore ? « Le tombeau du Christ est tombé aux mains des infidèles à Jérusalem ! » Ah oui ? Quand ? « Voilà trente ans, c’était en 1078, les Turcs s’en sont emparés ! Il faut aller le délivrer ! » Certes, certes, c’est une sale affaire, mais comment motiver les troupes, comment leur donner des modèles

préservatif ? C'est plus facile à avaler. Pourquoi les blondes prennent-elles la pilule? Pour savoir quel jour on est. Pourquoi les blondes conduisent des BMW ? Parce qu’elles ne sont pas capables d'épeler PORSCHE. Pourquoi les blondes ont-elles deux mains ? Pour compter jusqu’à dix. Pourquoi les blondes ne parlent pas lorsqu’elles font l'amour ? 1 Leur mère leur a appris à ne pas parler la bouche pleine ! 2 Leur mère leur a appris à ne pas parler aux étrangers ! Pourquoi les blondes vont se coucher

était parfaitement étrangère aux pays méridionaux que jusque-là d’Artagnan avait habités. C’était une pâle et blonde personne, aux longs cheveux bouclés tombant sur ses épaules, aux grands yeux bleus languissants, aux lèvres ro– 20 – sées et aux mains d’albâtre. Elle causait très vivement avec l’inconnu. « Ainsi, Son Éminence m’ordonne…, disait la dame. – De retourner à l’instant même en Angleterre, et de la prévenir directement si le duc quittait Londres. – Et quant à mes autres instructions ?

était parfaitement étrangère aux pays méridionaux que jusque-là d’Artagnan avait habités. C’était une pâle et blonde personne, aux longs cheveux bouclés tombant sur ses épaules, aux grands yeux bleus languissants, aux lèvres ro– 20 – sées et aux mains d’albâtre. Elle causait très vivement avec l’inconnu. « Ainsi, Son Éminence m’ordonne…, disait la dame. – De retourner à l’instant même en Angleterre, et de la prévenir directement si le duc quittait Londres. – Et quant à mes autres instructions ?

qu'elle était parfaitement étrangère aux pays méridionaux que jusque-là d'Artagnan avait habités. C'était une pâle et blonde personne, aux longs cheveux bouclés tombant sur ses épaules, aux grands yeux bleus languissants, aux lèvres rosées et aux mains d'albâtre. Elle causait très vivement avec l'inconnu. «Ainsi, Son Éminence m'ordonne…, disait la dame. — De retourner à l'instant même en Angleterre, et de la prévenir directement si le duc quittait Londres. — Et quant à mes autres instructions

était parfaitement étrangère aux pays méridionaux que jusque-là d’Artagnan avait habités. C’était une pâle et blonde personne, aux longs cheveux bouclés tombant sur ses épaules, aux grands yeux bleus languissants, aux lèvres ro– 20 – sées et aux mains d’albâtre. Elle causait très vivement avec l’inconnu. « Ainsi, Son Éminence m’ordonne…, disait la dame. – De retourner à l’instant même en Angleterre, et de la prévenir directement si le duc quittait Londres. – Et quant à mes autres instructions ?

était parfaitement étrangère aux pays méridionaux que jusque-là d’Artagnan avait habités. C’était une pâle et blonde personne, aux longs cheveux bouclés tombant sur ses épaules, aux grands yeux bleus languissants, aux lèvres ro– 20 – sées et aux mains d’albâtre. Elle causait très vivement avec l’inconnu. « Ainsi, Son Éminence m’ordonne…, disait la dame. – De retourner à l’instant même en Angleterre, et de la prévenir directement si le duc quittait Londres. – Et quant à mes autres instructions ?

proie entra dans la cuisine. Evy se précipita dessus et lui ôta le courrier qu’il avait entre ses serres. -Maman, le courrier est arrivé. Elisabeth et John levèrent leur tête vers Lili. Ils lui tendirent la lettre et elle la prit dans ses mains. Son père s’assit à côté de sa mère et regarda Lili. Elle la parcourut des yeux. -As-tu des questions à nous poser, demanda gentiment sa mère -Non, répondit Lili. Ou…si juste une. Elle respira un bon coup et se lança : pourquoi ne m’avez-vous rien

humain : Dans tous ces livres, on ne voit jamais les soldats alliés, quelle que puisse être la gravité de leurs blessures, subir ce qu’on appellerait pendant la guerre du Vietnam une « amputation traumatisante ». Tout le monde a tous ses membres, ses mains, ses pieds et ses doigts, et bien sûr une expression courageuse et enjouée. Si l’on repense à Shakespeare et à Goya, on aurait tort de déduire que le démembrement était plus courant lorsque les guerres se livraient essentiellement à l’arme blanche

Il en a été de même pour plusieurs maladies qu'on m'a demandé d'inclure. C'est une des raisons pour lesquelles le livre est accessible sur Internet2, non seulement pour la consultation, mais aussi pour y faire les mises à jour, y ajouter les commentaires des lecteurs, etc. Ceci permet une diffusion à la grandeur de la planète. Je vous dis donc « bonne lecture » ! Jacques Martel Psychothérapeute 2 Adresse Internet : www.atma.ca 18 GENERALITES Ce livre constitue un document de recherche sur