Les Maux De La Jeunesse

leur tyran. Discussion dans une échoppe entre le prieur, des bourgeois et Salviati débauché qui insulte la soeur Louise du Prieur. 6 Marie Soderini et Catherine parlent de Lorenzaccio et de la honte qu’il représente. Souvenir des promesses de sa jeunesse (« saint amour de la vérité », « admiration pour les grands hommes de son Plutarque ») alors qu’à présent, « il n’est même plus beau ». Mais Catherine le défend encore un peu : « Il est encore beau quelquefois dans sa mélancolie étrange. » Tristesse

aider à les découvrir peut les conduire à reprendre confiance en eux, dans les autres, dans la société. Socrate a été, est et sera toujours d’actualité : "Connais-toi toi-même". Un autre enseignement de Socrate est que "L’oisiveté est le plus grand des maux." Un plaidoyer de Vincent Cespedes, professeur de lycée en "zone sensible" apparaît en faveur de l’espéranto sur plusieurs pages de son livre, justement sous le titre “Espéranto” (p. 206 à 216) : “il devrait être enseigné dans toutes les écoles de

seulement, pour Socrate, la mort est inconnue, mais encore elle est certainement préférable dans certains cas. Si en effet l'on place la justice au premier rang des préoccupations, comme le fait Socrate, alors d'un point de vue pratique le pire des maux consiste à commettre l'injustice - ce qui revient exactement à rendre son âme mauvaise ; dans une telle situation cependant, l'on Raison pour laquelle, explique Socrate, un héros comme Achille est admirable : bien que marchant à une mort certaine

perfectionnement de la cité n’en demeura pas moins sa grande préoccupation, et il travailla plus que jamais à préparer par ses ouvrages un état de choses où les philosophes, devenus les précepteurs et les gouverneurs de l’humanité, mettraient fin aux maux dont elle est accablée. Il était malade lorsque Socrate but la ciguë, et il ne put assister à ses derniers moments. Après la mort de son maître, il se retira à Mégare, près d’Euclide et de Terpsion, comme lui disciples de Socrate. Il dut ensuite revenir

vise en priorité les enfants avec la création des jeunesses hitlériennes. Doc 3p.70/Doc 1 p.83 Tous les médias sont sollicités pour toucher le peuple (affiches, radio, peintures), les livres non conformes au nazisme sont brûlés (=autodafé doc 2 p.68). Doc 2 p.70 Enfin, Hitler met en place un culte de la personnalité autour de lui-même visant à faire de lui le sauveur du pays 3 Antisémitisme. (doc 5 et 6 p.69) Les juifs sont accusés de tous les maux en Allemagne et ils en sont en plus considérés

obligatoire. En Allemagne il y a une véritable propagande : -Création d'un emblème, d'un uniforme, drapeau, salut hitlérien -Contrôle de la presse, la radio, le théâtre, la musique et les beaux-arts -Professeurs adhérant au parti nazi -Création des Jeunesses hitlériennes Un police politique, la Gestapo et les SS, veille à ce que l'ordre soit maintenu et que toutes les règles soient respectées. -Raciste : Le racisme est une idéologie qui, partant du postulat de l'existence de races humaines, considère

cette illustre Athènes ! Ce n'était donc point assez de tant de Barbares jadis tombés à Marathon ! Il fallait que mon fils essayât de venger leur mort, qu'il attirât sur lui cet amas d'infortunes ! [...] La source des maux, ô mes amis, vient de s'ouvrir sur vous : vous le devez à la jeunesse, à l'imprévoyante audace de mon fils. »   Cette imprudence, Darios la nuance néanmoins en évoquant l'acharnement des dieux : « C'est sur mon fils que Zeus accomplit les menaces divines. J'espérais que les dieux différeraient

détournés Ôﾔ chauds soupirs, ô larmes épandues, Ôﾔ noires nuits vainement attendues Ôﾔ jours luisants vainement retournés ! Ôﾔ tristes plaints, ô désirs obstinés, Ôﾔ temps perdu, ô peines dépendues, Ôﾔ mille morts en mille rets tendues, Ôﾔ pires maux contre moi destinés ! Ôﾔ ris, ô front, cheveux, bras, mains et doigts ! Ôﾔ luth plaintif, viole, archet et voix ! Tant de flambeaux pour ardre une femelle ! De toi me plains, que tant de feux portant, En tant d'endroits d'iceux mon coeur tâtant

TEXTE 11 Stendhal (1783-1842), Le Rouge et le Noir (1830), livre premier, chapitre IV (extrait) Le Rouge et le Noir : roman de Stendhal paru en 1830, sous-titré Chronique de 1830 . Stendhal est imprégné de romantisme mais aussi de réalisme quand il écrit Le Rouge et le Noir , puisqu’il rend compte de la réalité sociale et politique d’une période qui lui est contemporaine

longue et est consacré à la guerre qu’il condamne PBQ :· Nous allons nous demander comment la Bruyère dénonce l’absurdité de la guerre et les faiblesses des hommes dont elle résulte · 1ière phrase : maux causés par la guerre : Première partie de la phrase : « La guerre (…) siècles » : · Ces deux propositions peuvent donner des arguments favorables pour la guerre en rattachant la guerre à une tradition. La bruyère rattache la guerre à l’Antiquité