Les Menteuses

débauche), un démagogue et un ambitieux. Nathalie C’est une fille naïve pour avoir crû aux belles paroles de Chadas. Elle est jalouse et complexée à cause de son diplôme par rapport à celui de Virginie. Elle est caractérisée par une ambition démesurée ; menteuse, elle est une femme de mœurs légères. Virginie Dans le mot Virginie, nous avons la virginité qui dérive de l’état vierge ; ce qui traduit que la nouvelle secrétaire affectée au service de M. Chadas est neuve, immaculée, sainte. Elle est le contraire

dans Marthe, Maupassant dans Boule de Suif et Zola dans Nana. c. Un renversement héroï-comique pour contrer l’idéalisation : - Les frères Goncourt avec Germinie Lacerteux et Zola avec L’Assommoir réagissent contre cette idéalisation menteuse. o Zola dit de l’Assommoir que c’est : « Le premier roman sur le peuple qui ne mente pas et qui ait l’odeur du peuple ». - Dans la Confession de Claude, Zola présentait déjà une grisette, Laurence, qui, loin de présenter le front angélique

gagné ou qu’il a perdu. Peut-on réellement un jour devenir quelqu’un d’autre, quelqu’un que nous avons toujours voulu devenir ? Dimension analytique a. Premier personnage principal : Thierry Blin Définitivement, Thierry est une personne menteuse car il fait croire à sa femme qu’il le trompe alors qu’il ne veut juste plus la côtoyer parce qu’il commence une nouvelle vie, une vie où il sera quelqu’un d’autre. Thierry prend vraiment au sérieux le défi que les deux hommes ce sont donné. Thierry

s’exprime, qu’elle joue la comédie, qu’elle le charme et que toutes ces paroles sont calculées. Lui est prêt à tout sentant qu’il y a des obstacles. Ce texte est rédigé de telle sorte que le lecteur comprenne que cette jeune fille est très rusé et menteuse. Elle cherche à l’utiliser. Conclusion Dans ce texte, plusieurs perspectives s’entrecroisent ce qui donnent aux circonstances et aux personnages une vision démultipliée. On nous livre les mouvements du temps, du héros. Nous avons à la fois

foule. Mais il faut pour cetteraison se méfier de ces mots-là. Brandis comme des étendard, des emblèmes, ils deviennentdes idoles que l'on défend sans plus savoir ce qu'ils signifient. "Nous devons rappeler que laliberté commence à être une enseigne menteuse dès qu'elle se fige en idée et qu'on se met àdéfendre la liberté plutôt que les hommes libres" (Merleau-Ponty, Humanisme et Terreur ).Celui qui se passionne pour une idée qu'il croit vraie s'aveugle, oublie de la mettre enquestion. Au lieu de

la conscience de l’être pensant ne sont pourtant pas tout le temps exécutables, en effet quelques fois, notre attirance physique s’avère être refoulée pour des raisons sociales et par principe d’éducation que l’on a reçu. La conscience est donc menteuse mais également victime de ces illusions, elle n’a donc pas la capacité de nous tromper délibérément, c’est parce qu’elle-même ignore être trahi qu’elle ne rétablit pas la vérité sur notre perception des choses. Cependant si elle était plus attentive

sa nièce est fourbe et Brocklehurst promet d'alerter les autres membres de l'école de la nature trompeuse de Jane. Jane dit à sa tante qu'elle n'est pas fourbe puisqu'elle lui avoue qu'elle la déteste et que c'est sa fille Georgiana qui est une menteuse et que c'est elle sa tante qui est fourbe , elle lui dit qu'elle dira à tout le monde la manière dont elle l'a traite : elle a un sentiment de triomphe. Jane fait promettre à Bessie d'être gentille avec elle pour ces derniers jours avant son départ

société « on », « chacun ». Mais cette remarque, a pour unique but d'arriver à une critique des faux dévots, par une allusion à la censure « des hommes sont exposés à la censure » l.35. L'image de la société du XVIIème siècle est flagrante: une société menteuse, hypocrite et lâche. D.J en est le parfait représentant. Il passe du libertin qui s'exhibe au passage à l'ombre, au lâche qui se cache pour assurer ses intérêts « c'est sous cet abris favorable, que je veux me sauver et mettre en sûreté mes affaires

veut battre sa femme—, et il est naïf —il croit tout et ne questionne rien—. Après, à propos de la femme, elle est mariée et chrétienne, et parmi ses qualités et ses défauts, elle est gourmande —elle finisse par manger les deux perdrix—, elle est menteuse et rusée —parce qu’elle ne veut pas succomber sous le joug du mâle—. Finalement, à propos du prêtre, il est profiteur tel que le vilain et gourmand tel que la femme —parce qu’il accepte de venir manger les perdrix—, il est peureux —il s’enfuit par

suscite la surprise: le spectateur découvre la profondeur de la haine et la démesure du sentiment du personnage principal de la pièce qu’est Cléopâtre. «Serments fallacieux» (395) est un oxymore qui montre la duplicité du personnage. Cléopâtre est une menteuse: elle ne respecte rien, même pas les serments. L’adjectif «salutaire» rappelle combien le masque de Cléopâtre lui a permis de garder le pouvoir. On relève une opposition entre la force et la ruse. Les premiers vers de ce monologue constituent une