Les Miettes

publique en 1950 mais reçut beaucoup de critiques. Les pièces suivantes connaitront un grand succès, comme Le Roi se meurt, Rhinocéros, Les chaises, Amédée… Il expliqua ensuite sa conception de sa dérision dans ses notes et contre-notes et journal en miettes. Le dramaturge va ensuite entrer à l’Académie en 1970 et être nommé officié de la légion d’honneur en 1984. L’homme meurt à Paris le 28 mars 1994. Quelques citations : .« Jouer avec les mots, faire n’importe quoi avec les mots, c’est une délivrance

livres. L'étude de ceux-ci en est devenu plus facile ; on peut maintenant à volonté faire bombance de lecture, et se rassasier dans ces sortes de banquets où, autrefois, pour repaître mon esprit plain d'avidité, j'étais contraint, moi, de ramasser les miettes, et souvent d'un effort vain et infructueux.» Guillaume Budé, L'Etude des lettres, 1532. DOCUMENT 2: Michel De Montaigne (1580) «Mon vulgaire Perigordin appelle fort plaisamment "Lettre ferits", ces savanteaux, comme si vous disiez "Lettre-férus"

l'attendrissant contenu de son porte-monnaie répandu à terre par Setsuko pour compter sa fortune (plus de boutons que de pièces) tombent des gouttes de la pluie noire qui suit les bombardements ; lorsque la fillette économise ses bonbons en léchant les miettes collées à la paume de sa main ou en buvant l'eau parfumée par les friandises, on ne peut s'empêcher de penser que c'est là une alimentation insuffisante ; la poésie du vol nocturne des lucioles est brisée dès le lendemain matin par la mort des insectes

contingences biologiques. Il faut nommer un président qui définira le thème et l’ordre de passage des convives. F.Métivier exprimera cette idée via Le Banquet de Platon (antiquité), Le Tiers livre de Rabelais (humaniste), et Le Postscriptum aux Miettes philosophiques Kierkegaard. Le banquet philosophique est le lieu où des convives hommes se réunissent volontairement pour parler les uns après les autres. La succession des discours est organisée et porte sur le même concept. Souvent l’amour en est

torturé, silhouette affaiblie... Langueur et violence se déchirent en son sein en un crescendo qui fait surgir la même présence impossible. La rhétorique de l'aveu qui parcourt la pièce, dit la passion en même temps qu'elle la rejette, la réduit en miettes. Mais ô surprise, cette Phèdre si attendue, si connue, si vue, nous "étonne", nous "émeut" et nous "prend"! Humaine et charnelle, jamais Humaine et charnelle, jamais hiératique ni figée dans une représentation pétrifiée de la monstruosité, on redécouvre

pancarte: Pourquoi? Parce que dans la même façon de penser, vous pourriez également mettre une pancarte : N’ACHETEZ PAS! Les rayons sont là pour  être utilisés et même, dérangés. Pensez à vos rayons comme une table de cuisine : s’il n’y a pas de miettes, c’est que personne n’y mange! N’ayez pas peur que vos clients dérangent vos rayons. Faites juste attention de les remettre en ordre régulièrement afin de donner la meilleure image de votre magasin. 5. Ayez confiance dans l’effet de surprise Il

d’authenticité. Dialectique entre instant et durée : « L’accélération du rythme des agitations instantanées successives a un effet secondaire essentiel : l’espace temps saturé en permanence par cette mise en scène de l’instant, il ne reste que des miettes à la durée, dont la maitrise requiert à la fois de la mémoire, de la distance et une vision. » Théorie des couts de transaction : le temps est fait d’instants disjoints, succession de transactions indépendantes où les compteurs sont remis à 0 Théorie :

"progressistes modernistes", qui ne sont qu'un pur produit Bourguibiste-Zabatiste, qui nous ont fait vivre dans un climat de méfiance et de crainte de l'autre et surtout de répression de l'Islam et son éviction de la vie, de façon à faire croire que les miettes de progrès et de "réalisations" en 60 ans sont un pur produit du pseudo-modernisme. Une définition perso du modernisme et progressisme s'impose donc pour qu'on me traite pas "d'islamiste". Le vrai progressisme sera à mon avis de voir des composantes

le toucher, tellement il paraissait bas. j’avais anormalement froid, un frisson me parcourait le corps, mes cheveux étaient en bataille, j’essayais tant bien que mal de les repousser pour ne pas me gâcher la vue, je ne voulais pas perdre une seule miette de ce spectacle. J’essayais de chercher autour de moi, de la lumière mais ne trouvais rien. Quand d’un seul coup, un éclair illuminait le dessus de l’eau, puis j’arrivais à distinguer la vague se rapprocher de la Terre ferme de plus en plus. Je pris

ils aperçurent enfin la Bérézina. Elle faisait sept mètre de largeur, l’eau était noirs dans l’obscurité mais le jour, elle avait été rougit par le sang des soldats blessés, l’astre de la nuit se reflétait dedans, il y avait plein de glace et de miettes du ponceau, détruit quelques heures auparavant qui flottait. Au loin, on apercevait la lumière des lampes à huile des soldats russes de Koutouzov, on les entendaient parler puis rire comme si le froid ne les atteignaient pas, il faut croire qu’il