Les Miserables Commentaire Waterloo

développements subjectifs, des intuitions originales. C'est pourquoi Stefan Zweig les compare à la stratégie de généraux célèbres et à la musique. Les généraux cités page 18 sont Napoléon et Hannibal (orthographié «Annibal»). Le premier a été battu à Waterloo par «le lourd Koutousow» (page 18) ; le second, durant les guerres puniques, s'était fait écraser par ce Fabius Cunctator qui «présentait lui aussi dans son jeune âge des signes frappants d’indifférence et d’imbécillité» (page 18). Stefan Zweig constate

affaires, tandis que l'intervention de l'administration dans la justice déprave le hommes et tend à les rendre tout à la fois révolutionnaires et serviles. » (L'Ancien Régime et la Révolution, présente édition, pages 125 et suivantes.) Dicey ajoute ce commentaire: Ces « mots sont ceux d'un homme de génie extraordinaire qui connaissait bien l'histoire française et qui n'ignorait rien de la France de son époque. Il fut membre de l'Assemblée pendant du années et fit, au moins une fois, partie du ministère.

développements subjectifs, des intuitions originales. C'est pourquoi Stefan Zweig les compare à la stratégie de généraux célèbres et à la musique. Les généraux cités page 18 sont Napoléon et Hannibal (orthographié «Annibal»). Le premier a été battu à Waterloo par «le lourd Koutousow» (page 18) ; le second, durant les guerres puniques, s'était fait écraser par ce Fabius Cunctator qui «présentait lui aussi dans son jeune âge des signes frappants d’indifférence et d’imbécillité» (page 18). Stefan Zweig constate

sont faits délateurs pour être innocents » tient-il à préciser. Lors du visionnage du documentaire, une question lancinante revient à l’esprit : comment expliquer cette infâme lâcheté ? « La délation est une maladie de l’âme. Laissons de coté les misérables qui tuent pour quelque argent, mais à côté, il y a ce qui se disent patriotes et autres donneurs de leçons qui paradent en tant que « bons français » pour se donner bonne conscience. Si ce ne sont pas des malades, qu’est-ce que c’est ? » s’interroge

affaires, tandis que l'intervention de l'administration dans la justice déprave le hommes et tend à les rendre tout à la fois révolutionnaires et serviles. » (L'Ancien Régime et la Révolution, présente édition, pages 125 et suivantes.) Dicey ajoute ce commentaire: Ces « mots sont ceux d'un homme de génie extraordinaire qui connaissait bien l'histoire française et qui n'ignorait rien de la France de son époque. Il fut membre de l'Assemblée pendant du années et fit, au moins une fois, partie du ministère.

passer que par le sexe, comme s’il était la seule source de rêve et de plaisir, le seul sens à satisfaire. On s’habitue à ces images qui paraissent socialement acceptées, mais on est tous saturés et parfois révoltés, comme l’attestent beaucoup de commentaires spontanés, émanant le plus souvent de femmes. La réduction de l’humain à sa seule dimension sexuelle Le fait d’être réduit à la seule dimension de la sexualité est une atrophie et une forme de violence. Quant à la pornographie, la plupart des adultes

manières différentes : la satire et le rire. Zola revient à l'ère florissante des sciences de la nature dans laquelle les chercheurs ont étudié la vie, enregistré ses phénomènes et de plus ils ont fait les essais et codifié les résultats et les commentaires. Ces chercheurs ont rejeté l'imagination et ont maintenu les faits concrets. Les écrivains ont fait la même chose en s’éloignant de l'imagination, de la poésie et s'orientant vers les faits, la nature et l'environnement. De ce point Zola s’intéresse

un mélange de terreur et de pitié. « Ce n’est pas sa faute, c’est son malheur. » Cette parole de ma mère me troublait pour lui. Vous fîtes bien, maman, de me parler ainsi ; vous fîtes bien de me révéler dès l’âge le plus tendre l’innocence des misérables. Votre parole était bonne ; c’était à moi à la garder présente dans la suite de ma vie. Pour cette fois du moins, elle eut son effet et je m’attendris sur le sort de l’enfant maudit. Un jour, tandis qu’il tourmentait dans la cour le perroquet

ambitieux, où le pittoresque, bien réel, est progressivement mis au service d'une réflexion sociale et politique: si Notre-Dame de Paris (1831) est encore marquée par l'influence de Walter Scott et le goût du spectaculaire et du dépaysement, les Misérables (1862) et Quatre-vingt-Treize (1874) sont des récits dominés par les préoccupations politiques et sociales de l'auteur, par sa réflexion sur la marche de l'histoire. Le romantisme noir cherche, dans l'histoire, à satisfaire son goût du mystère,

ambitieux, où le pittoresque, bien réel, est progressivement mis au service d'une réflexion sociale et politique: si Notre-Dame de Paris (1831) est encore marquée par l'influence de Walter Scott et le goût du spectaculaire et du dépaysement, les Misérables (1862) et Quatre-vingt-Treize (1874) sont des récits dominés par les préoccupations politiques et sociales de l'auteur, par sa réflexion sur la marche de l'histoire. Le romantisme noir cherche, dans l'histoire, à satisfaire son goût du mystère,