Les Miserables Fantine Jeta Son

BAC svp. Enoncé : Objet d'études : Convaincre, persuader et délibérer. Texte A - Victor Hugo, "Mélancholia", Les Contemplations, 1856 Texte B - Victor Hugo, Extrait de Les Misérables, 1862 Texte C - Victor Hugo, Extrait de Les Misérables, 1862 (Je vais écrire les Textes B et C car c'est plus facile) Texte B : Fantine jeta son miroir par la fenêtre. Depuis longtemps elle avait quitté sa cellule du second pour une mansarde fermée d'un loquet sous le toit; un de ces galetas dont le plafond fait

Texte : Fantine, depuis la veille, avait vieilli de dix ans. - Jésus ! fit Marguerite, qu’est-ce que vous avez, Fantine ? - Je n’ai rien, répondit Fantine. Au contraire. Mon enfant ne mourra pas de cette affreuse maladie, faute de secours. Je suis contente. En parlant ainsi, elle montrait à la vieille fille deux napoléons qui brillaient sur la table. - Ah, Jésus Dieu ! dit Marguerite. Mais c’est fortune ! Où avez-vous eu ces louis d’or ? - Je les ai eu, répondit Fantine. En

Objet d’étude : La question de l’Homme dans les genres de l’argumentation, du XVlème siècle à nos jours. Texte A : Victor Hugo, Les Misérables, Avertissement, 1862. Texte B : id., extrait de « Melancholia », in Les Contemplations, Autrefois, III, 2, 1856. Texte C : id., Les Misérables, Première partie, Premier Livre, chapitre 10, extrait, 1862. Texte D: id., L’homme qui rit, 1868. Texte A - Victor Hugo, «Melancholia», Les Contemplations, 1856. Écoutez. Une femme au profil décharné,

discours sur la peine de mort ou encore Les Misérables. Cette dernière est un roman historique, social et philosophique paru en 1862. Victor Hugo y décrit la vie de misérables dans Paris et la France provinciale du XIXe siècle. En décrivant la vie de ces personnes, l’auteur affirme sa lutte pour une meilleure condition du peuple. Dans cet extrait du chapitre X, intitulé « La descente » (première partie du livre cinquième), nous découvrons le personnage de Fantine, une femme du peuple qui se bat pour subsister

Destins de femmes Documents A – Beaumarchais, Le Mariage de Figaro, acte III, scène 16, 1784. B – Victor Hugo, « La descente », Les Misérables, première partie, livre cinquième, chapitre X, 1862. C – Pierre Perret, « Lily », 1977. m Vous répondrez d’abord aux questions suivantes. ■ Questions (6 points) 1. Dans les documents A, B, C, que dénonce chaque auteur à travers les trois personnages féminins ? Justifiez votre réponse. (3 points) La réponse à cette question doit être rédigée

roman Les Misérables fut écris en 1862 par Victor Hugo, écrivain français. Dans son roman, l'auteur à voulu dénoncer la société et la misère dans laquelle vivait le peuple. Dans cet extrait, il s’intéresse au cas de Fantine, femme du peuple, qui essai de survivre et d'assurer un avenir à sa fille Cosette. Pour ce commentaire, nous nous demanderons comment l'auteur dénonce le sort des femmes au XIXeme siècle. Nous allons, dans un premier paragraphe, nous pencher sur la déchéance de Fantine puis dans

que Marceline leur reproche, le prouvent. Le texte B, de Victor Hugo est extrait du roman Les Misérables écrit en 1862. L’extrait que nous allons étudier est intitulé « la descente », chapitre X, première partie, livre cinquième. Le registre y est pathétique. Dans ce texte, Victor Hugo, à travers le personnage de Fantine dénonce l’injustice de la société. En effet on peut voir que Fantine a besoin d’argent, pour vivre, pour aider sa fille (prétendument malade) et rembourser ses dettes. Mais

- Vous montrerez que le narrateur décrit de manière réaliste les différentes étapes de la déchéance de Fantine ; - Vous montrerez que Fantine apparaît comme une victime et que le narrateur fait connaître au lecteur ce qu’elle ressent face à cette injustice. Seuls les devoirs personnels seront corrigés et notés ! Texte d’étude : Victor Hugo, Les Misérables, 1862 Fantine, modeste couturière à domicile, rencontre de plus en plus de difficultés financières pour nourrir sa fille Cosette

Fantine jeta son miroir par la fenêtre. Depuis longtemps elle avait quitté sa cellule(12) du second pour une mansarde fermée d'un loquet sous le toit ; un de ces galetas(13) dont le plafond fait angle avec le plancher et vous heurte à chaque instant la tête. Le pauvre ne peut aller au fond de sa chambre comme au fond de sa destinée qu'en se courbant de plus 20 en plus. Elle n'avait plus de lit, il lui restait une loque qu'elle appelait sa couverture, un matelas à terre

infâme ! » Texte B: Victor Hugo, Les Misérables (1862) [Fantine, la mère de la petite Cosette, a été renvoyée de la fabrique de M. Madeleine le jour où, à la suite d'une dénonciation, on a découvert qu'elle avait un enfant sans être mariée. Or elle doit subvenir aux frais de pension de sa fille, que les Thénardier augmentent sans cesse pour des raisons mensongères. Fantine a ainsi été réduite à vendre ses cheveux, puis ses dents.] Fantine jeta son miroir par la fenêtre. Depuis longtemps