Les Miserables Le Dedans Du Désespoir

travers " les chants".Baudelaire a proposé sa définition du romantisme au Salon de 1847 : « Le romantisme n’est précisément ni dans le choix des sujets ni dans la vérité exacte, mais dans la manière de sentir. Ils l’ont cherché en dehors, et c’est en dedans qu’il était seulement possible de le trouver. Pour moi, le romantisme est l’expression la plus récente, la plus actuelle du beau. Il y a autant de beautés qu’il y a de manières habituelles de chercher le bonheur. » La beauté, ici, était pour lui et

idées , de crier mon désespoir. . Comment un pays aussi libre qui allait si bien , le pays des droits de l'homme et du citoyen peut il être devenu une république sous contrôle d'hommes sans foi ni lois ? Ce pays qui a vu les révolutionnaires prendre la Bastille , les peuples se révoltaient , les étudiants allaient à l'encontre le systèmes ne peut pas être aujourd'hui une dictature. J'ai pas choisie de naître ici , dans la soumission , l'ignorance , la violence et le désespoir , mais je le jure

aux pans fait entrer Ses cerfs ; tu peux mener les grands héros en laisse, Ains les prendre en tes rets ; son arc le seul corps blesse, Tes traits peuvent au fond des âmes pénétrer. De son frère elle emprunte en son ciel la lumière, Dedans tes yeux flambants et rayonneux son frère Prendrait ce qui croîtrait sa lumière et ses feux. Aux Enfers elle n'a que sur les morts puissance, Sur nous, ains sur les Dieux, par rigueur et clémence, Faire en la terre un ciel ou un enfer tu peux

sang et eau pour survivre. « Gémissant et courbé marchait à pas pesants » nous renseigne à la fois sur l’état physique et psychique du bûcheron visiblement harassé et las de la vie. Il vit dans « une chaumine enfumée » signe d’une condition sociale misérable. Le rythme de cette partie descriptive est plat et monotone accentuant de ce fait la vie sans mouvement et donc sans plaisir de cet homme. Nous voyons ensuite la réaction du Bûcheron face à la mort ; le Bûcheron, sans avoir même entraîné la Mort

Louis-Ferdinand Céline Le narrateur, Ferdinand Bardamu, est médecin dans une banlieue misérable et sordide du Paris de la fin des années vingt. En dépit de sa misanthropie, il s’est attaché à un enfant, Bébert, qui est bientôt atteint de la typhoïde. Venu passer la journée à Paris afin d’obtenir, en vain, de son ancien professeur de médecine un moyen de sauver Bébert, il doit s’en retourner dans sa banlieue. Son désespoir est à son comble. Un petit tour par la place Blanche avant de rentrer. Je vois du

recherche de ce rien du tout, de ce petit vertige pour couillon.” La Guerre - Oh! Vous êtes donc tout-à-fait lâche, Ferdinand! Vous êtes répugnant comme un rat... - Oui, tout-à-fait lâche, Lola, je refuse la guerre et tout ce qu’il y a dedans... Je ne la déplore pas moi... Je ne pleurniche pas dessus moi... Je la refuse tout net, avec tous les hommes qu’elle contient, je ne veux rien avoir à faire avec eux, avec elle. Seraient-ils neuf cent quatre-vingt-quinze millions et moi tout seul

est écœuré par sa propre personne. La seule issue qui semble s’ouvrir à lui est la mort. Ferdinand ressent une profonde lassitude, voir même du dégout, face à sa misérable existence. En effet, l’extrait débute par la phrase « J’avais beau essayé de me perdre pour ne plus me retrouver devant ma vie » qui suggère un désespoir extrême et le dégout de sa vie et de lui-même. Ce sentiment est renforcé par l’hyperbole « Je la retrouvais partout simplement » qui montre qu’il échoue dans ses tentatives

Anthologie Personnelle Jean De La Fontaine Thématique: Puissants et Misérables Le Loup et le Chien Un Loup n'avait que les os et la peau, Tant les chiens faisaient bonne garde. Ce Loup rencontre un Dogue aussi puissant que beau, Gras, poli, qui s'était fourvoyé par mégarde. L'attaquer, le mettre en quartiers, Sire Loup l'eût fait volontiers ; Mais il fallait livrer bataille, Et le Mâtin était de taille A se défendre hardiment. Le Loup donc l'aborde humblement, Entre en propos

repoussant. "Des signes fous" personnage comparé à une marionnette disloquée. Subordonnée relative qui accentue la notion de folie : "auxquels personnes ne répond". 3. Un personnage effrayant Verbe "hurler" : hurlements de souffrance, de désespoir, qui vient des "morsures du ver". "Effroi" "effroyable" Vol d'oiseau de nuit. "Les morsures du ver" : dévoration progressive, sorte de torture qui s'inscrit dans la durée. Homophonie ver/vers : souffrance due au manque d'inspiration? Référence

de Pierre de Ronsard - « Cassandre », « Charlotte », suite de bransles coupés de l’Orchésographie Du désespoir à la joie, les tourments de l’âme amoureuse : 14 « Dedans les flots d’amour … », sonnets pour Hélène, poème de Pierre de Ronsard 15 « J’ai le Rebours », pavane 16 « Tant de fois s’appointer… », sonnets pour Hélène, poème de Pierre de Ronsard 17 « Las que nous sommes misérables », chanson mise en suite de danses (allemande, saltarello, gaillarde) 18 « Or’ que le ciel, or’ que la