Les Miserables Le Dedans Du Désespoir

qui inspire la pitié. Un bûcher funéraire : Amas de bois sur lequel on brûlait les morts ou les condamnés au supplice du feu. Les ténèbres : Obscurité profonde. Sombre et mélancolique. Lettre I: R. Walton va bien Lettre II: Déséspoir de Walton, le sans ami. Lettre III: La traversée de la mer par R. Walton Lettre IV: Découverte de Frankenstein par Walton Chapitre I : L'enfance de Victor Frankenstein Chapitre II: Victor et Elizabeth: des cousins heureux Chapitre III: Départ

endormi dans une île déserte et effroyable, et qui s'éveillerait sans connaître et sans moyen d'en sortir. Et sur cela j'admire comment on n'entre point en désespoir d'un si misérable état. Je vois d'autres personnes auprès de moi d'une semblable nature. Je leur demande s'ils sont mieux instruits que moi. Ils me disent que non et sur cela ces misérables égarés, ayant regardé autour d'eux et ayant vu quelques objets plaisants s'y sont donnés et s'y sont attachés. Pour moi je n'ai pu y prendre d'attache

Victor Hugo - Les Misérables - 1862 Extrait analysé : Fantine jeta son miroir par la fenêtre. Depuis longtemps elle avait quitté sa cellule du second pour une mansarde fermée d'un loquet sous le toit; un de ces galetas dont le plafond fait angle avec le plancher et vous heurte à chaque instant la tête. Le pauvre ne peut aller au fond de sa chambre comme au fond de sa destinée qu'en se courbant de plus en plus. Elle n'avait plus de lit, il lui restait une loque qu'elle appelait sa couverture,

Dans les autres chapitres, (y compris celui des « puces »), pouvez-vous relever parmi les mésaventures qui arrivent au personnage, 2 scènes qui illustrent au mieux que New York, loin d’être le lieu de la réussite pour tous, est surtout celui où les misérables sont le plus durement traités ; Vous ferez un résumé des scènes que vous avez choisies pour votre réponse et expliquerez ce qui vous paraît illustrer le mieux cette dureté à laquelle est confronté le lecteur du roman. 10 à 15 lignes) Partie

des combats de géants comme dans Homère, des mêlées de dragons et d’hydres et des nuées de fantômes comme dans Milton, des spirales visionnaires comme chez Dante. Chose sombre que cet infini que tout homme porte en soi et auquel il mesure avec désespoir les volontés de son cerveau et les actions de sa vie ! Alighieri rencontra un jour une sinistre porte devant laquelle il hésita170. En voici une aussi devant nous, au seuil de laquelle nous hésitons. Entrons pourtant. Nous n’avons que peu

inquisition (longue période d’expression collective d’une haine prenant des formes terrifiantes) à laquelle renvoie ce mot de « sacrilège » • phrase très particulière, à peine une phrase, 22 / expressive du fait que la haine est une réaction en désespoir de cause de sa culpabilité, et qui finit par générer une telle douleur qu’il n’y a plus que la haine pour se soulager tant soit peu (comme un cri soulage la douleur…) II) Une révélation, célébration de la possibilité du bonheur a)

Introduction Ce texte est un extrait du roman : Les misérables de Victor Hugo, écrit en 1862. Le roman relate la vie de Jean Valjean, de Fantine, de Cosette, Marius, de la famille Thénardier et du représentant de l’ordre Javert. Les destins de tous ces personnages se croisent dans une misère à la fois financière, sociale, morale et intellectuelle qui est l’incarnation d’un mal du siècle. C’est un roman à la fois réaliste, romantique et épique. Dans ce texte

cette idée en tête. Nous allons dans un premier temps montrer ce sentiment d'échec. Puis nous relaterons comment il en arrive à un repli total sur lui-même et nous terminerons par la note d'espérance qui nait même au plus profond des situations de désespoir. Le narrateur, au début de son récit se dévalorise lui-même. D'abord par la syntaxe « J'avais beau essayer », « j'avais pas réussi », « J' en avais pas acquis moi une seule idée ». Il se sent inférieur à son ami Robinson qui lui devait déjà

qui obéit aux lois de l'honneur. Le tragédie c’est cela : impossibilité de faire exister en même tempe ses intérêt personnels et ce que l’on attend de soi. Le combat entre l’amour et l’honneur est la problème principal cornélien, Héroïsme enfilé dedans sublime une conception de l'amour, qui est fondé sur l'admiration et non sur l'attraction physique. Le cid est fondé et inspiré du poème médiéval espagnole＂Romancero＂ et d’une épopée dramatique de Guilhem de Castro,＂Las mocedades del Cid＂. Du

l’introduction du recueil, sa préface. Dedans, il annonce déjà certains titres de parties du recueil comme le Mal ou le Spleen. Cette préface donne une vision pessimiste de l’homme qui nous éclaire sur le titre « Les Fleurs du Mal ». Déjà Baudelaire aborde son sujet principal : L’ennui. Spleen et idéal Spleen et idéal est la plus grosse des six parties du recueil, c’est une sorte de constat du monde tel que le voit Baudelaire. Le spleen est une sorte de désespoir, c’est de la tristesse, la mélancolie