Les Miserables Reflet De La Societe

2012-2013 * Le Romantisme 1° Romantisme vs. Classicisme Le Romantisme grandit au début du 19ème siècle et rejette les principes et règles mis en place par les auteurs classiques. A la fin du siècle, il y aura une rupture nette avec l’ancienne société française. A l’approche du 20ème siècle, le réalisme fait son apparition et développe des critères en opposition, cette fois, au Romantisme. 1) La liberté triomphe au sein du Romantisme alors que les classiques suivent une série de normes.

recherchés. Aussi bien aux moments d’espoir du peuple français, de révolte et d’unité face à l’ennemi, les écrivains vont refléter cette passion, en répression et conservatisme. L’état d’âme de France se traduira en mots. Ce qui est évident c’est qu’au XIXème siècle la poésie, le théâtre mais surtout le roman, seront employés comme tremplin et arme politique, comme critique de la société bourgeoisie. Mais pour comprendre la magnitude de ce mouvement, il faut d’abord comprendre le sens de ce terme ses caractéristiques

conscience n’étant que le résultat des événements qui s’offre devant nous. Donc, ce serait en fait les instincts qui déterminent les gestes et la personnalité de l’homme8-9. Toutefois, bien souvent, certaines forces agissant sur nous (comme la société dans certains cas) nous poussent à refouler certains instincts. Cela s’avère généralement négatif, mais peut malgré tout, dépendamment de la situation et de l’instinct réprimé, avoir de bons côtés. En fait, le monde dans lequel nous vivons a depuis

la mort), long poème qui évoque la liberté de l’homme devant le bien et le mal et conclut sur l’espoir de la rédemption finale et de la disparition du mal.  « Le Mendiant » marque l’irruption du mendiant (rencontre fortuite*), autre figure du misérable, dans l’univers intime du poète. Si le poème offre un tableau froid, simple et très réaliste de la misère dont le mendiant est le représentant, celui-ci, malgré cette misère apparente, semble être porteur d’une grandeur céleste et resplendissante

l'agneau, que Votre Majesté ne se mette pas en colère." ( vers 10-11 ). Les dialogues montrent donc très clairement la différence de niveaux sociaux entre le loup et l'agneau. La relation qu'entretiennent ses deux animaux est d'ailleurs le reflet de la société sous la monarchie absolue de Louis XIV. La leçon donnée par cette fable est explicitée très clairement au vers 1 : "La raison du plus fort est toujours la meilleure", ce qui annonce la fin de l'histoire. Le lecteur sait avant de finir sa lecture

Maupassant appartient au groupe naturaliste qui se réunit à Médan, chez Zola. Citation de Zola : "Nous cherchons les causes du mal social ; nous faisons l'anatomie des choses et des individus pour expliquer les détraquements qui se produisent dans la société et dans l'homme... Notre vertu n'est plus dans les mots mais dans les faits." [Donc : pas de héros surhumains, pas d’aventures hors du commun ou trop exceptionnelles, pas de beau mensonge et d’idéalisation des sentiments] LES PRINCIPES LITTERAIRES

transformait chez elle en un détraquement nerveux ≫). b – Aux origines de Nana : le déterminisme social D'après les théories naturalistes, l'homme est conditionné par trois facteurs : la race (l'hérédité, déterminisme biologique), le milieu (la société, déterminisme social) et le moment (l'Histoire, déterminisme historique). Le déterminisme social est illustre dans la première partie de l'extrait par la métaphore filée de la plante (expressions ≪ elle avait poussé ≫, ≪ ainsi qu'une plante de plein

de leur passion''. Le lecteur se reconnaît donc dans des personnages qui lui ressemble, se projette dans des héros admirables, où bien ressent de l'empathie pour d'autres héros. Nous aimons en effet nous identifier à des héros qui ne sont que le reflet de nous-même. David Fœnkinos nous présente Markus comme un homme simple mais insolite, avant tout humain. L'auteur n'hésite pas à décrire aussi bien sa maladresse, sa timidité et sa disgrâce que sa douceur et sa délicatesse. La Délicatesse n'embellit

séparer, ils donnent l’impression d’être liés l’un à l’autre. Cet étrange comportement absurde et excentrique des personnages ressemble à ce qu’on appelle l’amitié. L’amitié est, selon La Rochefoucauld « ce que les hommes ont nommé amitié n’est qu’une société, qu’un ménagement réciproque d’intérêts, et qu’un échange de bons offices [...] » (Maximes, 1664). A l’inverse, Montaigne exprimait la spontanéité d’une amitié directe, non conceptualisée, fondée sur le mystère et la beauté énigmatique d’une simple

la vision en terminaison. Ferdinand Bardamu est l’antihéros. Son comportement, son regard, ses intentions s’inscrivent dans l’homme. Il ne donne pas d’impulsion à l’action mais transporte seulement le miroir qui permet au monde de Céline de se refléter dedans. C’est un médecin spectateur et un médecin pusillanime. C’est un grand observateur, passe presque plus de temps à observer le peuple qu’à soigner ses malades. Sa vision permet de décortiquer la scène et de quadriller cette misère. Son rôle