Les Misérables La Petite Fille

« Poésies » aux « Misérables » . e) passent des « Misérables » au « Petit Prince » . 4 . Replace chaque personnage à côté du titre qui lui appartient. /20 Félix - Isabelle - la rose - Gavroche - le bébé-cochon - Alice - Mme Cuif - le renard - Pyrame - Jean Valjean - la Reine de Coeur - Mme Lepic - le Petit Prince - Vidalie - le lapin blanc - Enjobras - Arthur

« Poésies » aux « Misérables ». e) passent des « Misérables » au « Petit Prince ». 4. Replace chaque personnage à côté du titre qui lui appartient. /20 Félix - Isabelle - la rose - Gavroche - le bébé-cochon - Alice - Mme Cuif - le renard - Pyrame - Jean Valjean - la Reine de Coeur - Mme Lepic - le Petit Prince - Vidalie - le lapin blanc - Enjobras - Arthur Rimbaud - Ernestine - Le serpent - Poil de Carotte. Poil de Carotte : Poésies : Alice au Pays des Merveilles : Les Misérables : Le Petit

rapetassé de haillons : c’étaient ses habits et son manteau. Elle n’avait rien d’autre à se mettre : elle pouvait trembler tout à son aise. Un peu à l’écart des autres, comme un pauvre chien dans un coin, elle se tenait accroupie et tapie, car un misérable, où qu’il soit, est toujours chassé et méprisé. Puisse être maudite l’heure où le pauvre fut conçu ! Jamais il ne sera bien nourri ni bien vêtu ni bien chaussé ; on ne l’aime pas, ni on ne le favorise. J’examinai bien ces portraits qui, comme je

CAPULET. - Non ! une béquille ! une béquille !... Pourquoi demander une épée ? CAPULET. - Mon épée, dis-je ! le vieux Montague arrive et brandit sa rapière en me narguant ! Entrent Montague, l'épée à la main, et lady Montague. MONTAGUE. - À toi, misérable Capulet !... Ne me retenez pas ! lâchez-moi. LADY MONTAGUE, le retenant. - Tu ne feras pas un seul pas vers ton ennemi. Entre le prince Escalus, avec sa suite. LE PRINCE. - Sujets rebelles, ennemis de la paix ! profanateurs qui souillez cet acier

des hommes. Certains cas parleront des gens à nos cotés car en effet s’agissant de la misère, on se rend bien compte très tristement qu’elle est en effet au quotidien de la vie de tous les hommes. Ce sujet s’attachera à démontrer à travers chaque petit point noté comment la misère se présente à travers quelques aspects de notre quotidien. En découvrant ce sujet que nous traiterons avec grands soins, nous verrons en premier lieu ce qu’est la misère et ses divers aspects puis en second lieu comment

le texte est argumentatif * Sous Axe 1: Les arguments du narrateur Argument 1 : Il ne faut pas tuer le père d’un enfant Ex : « malheureuse orpheline » (l.26), énumération (l.14-20) «  ton père qui t’aimait tant, ton père qui baisait ton petit cou blanc et parfumé, qui passait la main sans cesse dans les boucles de tes cheveux…joignait tes deux mains pour prier Dieu », «Qui est-ce qui te fera tout cela maintenant » (l. 21) Argument 2 : Tuer un condamné qui à un enfant à des conséquences

des flammes ce qui lui vaut d'être élu maire. A ce poste il essaye de donner du travail aux personnes en difficultés. Il prendra meme en charge Cosette la fille de Fantine , une pauvre mère célibataire misérable qui avait dû placer sa fille auprès des Thénardier aubergistes de la ville de Montfermeil. Il ira meme jusqu'à se dénoncer d'un petit vole pour innocenter un inconnu ce qui ruinera sa carrière de Maire et mettra fin à son personnage de Madeleine le bienfaiteur.Il prendra la fuite avec Cosette

broderie ne soit plus un métier uniquement réservé aux femmes. (8) : dérisoire : insignifiante. (9) : leurrées : trompées. Texte B : Victor Hugo, Les Misérables, première partie, livre cinquième, chapitre X "La descente", 1862. Dans ce roman, Fantine, modeste couturière à domicile, rencontre de plus en plus de difficultés financières pour nourrir sa fille Cosette, qu'elle a été obligée de confier à un couple de gens malhonnêtes et rusés, les Thénardier. Pour payer les frais d'une maladie inventée par

ouvertes qui laissèrent échapper ta vieJe verse le baume impuissant de mes pauvres yeux.Oh! maudite soit la main qui te fit ces trous,Maudit le cœur qui eut le cœur de faire cela, AMaudit le sang qui fit couler ce sang.Que sur le misérable exécré qui nous rend misérables parta mortS'abatte un sort plus terribleQue je n'en peux souhaiter aux serpents, araignées, crapauds, Ou à toutes les créatures rampantes et venimeuses qui sonten vie.Si jamais il a un enfant, que ce soit un avorton, Un monstre mis

élève de cinquième comme lui, qu’il regarde de sa fenêtre, dans l’immeuble d’en face, une vieille dame qui écrit toutes les nuits. Lorsque sa lampe s’éteint, quelques minutes plus tard, étrangement, une jeune fille se glisse dehors. Cette nuit, Guillaume a décidé de lui parler. La jeune fille, qui ne doit pas avoir plus de quinze ans, porte des escarpins terriblement démodés. Guidé par le bruit de ses talons, le garçon pénètre, à sa suite, par une porte dérobée, dans la bibliothèque de la ville