Les Misérables Personnages

croustillantes qui parait en 1861. L’Académie des Goncourt, qui décernent un célèbre prix littéraire, est née des réunions fréquentes chez Edmond de ses amis Flaubert, Daudet ou Zola. Les auteurs naturalistes refusent d’idéaliser leurs personnages, chaque personnages devient, sous la plume des naturalistes, un cobaye à étudier c’est pourquoi, un auteur est dit naturaliste quand il observe et étudie la nature des individus ainsi que l influence de l hérédité et du milieu sur l’évolution. Les frere

Texte A - Pierre-Augustin de Beaumarchais, Le Mariage de Figaro, 1784. Texte B - Victor Hugo, Les Misérables, 1862. Texte C - Pierre Perret, Lily, 1977.   I. Vous traiterez un de ces sujets au choix (14 points): a. Commentaire : 1ère question : Dans les textes A, B, C, que dénonce chaque auteur à travers les trois personnages féminins? Justifiez votre réponse. (3 points) Dans l’extrait du Mariage de Figaro, Beaumarchais

Le Germinal peut sucité de la pitié, par la vie misérable des mineurs et par le peu de chances qu'ils ont de changer le traitement que leur inflige la société. Le discours de Rasseneur peut montrer a quel point la vie des mineurs est affligeante « J'ai travaillé pendant 20ans, j'y ai sué tellement de misére et de fatigue ». La comparaison dans le discours de Rasseneur montre aussi a quel point les mineurs étaient traité comme des esclaves « La compagnie le paiera a coups de trique comme un chien

Pour amasser diligemment Les épis que la faux moissonne, Ma Nanette va s’inclinant Vers le sillon qui nous les donne. — L’Aveugle s’écria-t-elle. Et Emma se mit à rire, d’un rire atroce, frénétique, désespéré, croyant voir la face hideuse du misérable, qui se dressait dans les ténèbres éternelles comme un épouvantement. Il souffla bien fort ce jour-là, Et le jupon court s’envola ! Une convulsion la rabattit sur le matelas. Tous s’approchèrent. Elle n’existait plus." ANALYSE L'extrait se

aux Pensées. Pour Pascal, l’homme est un être de conscience, il peut se représenter ce qui l’entoure et lui-même. Mais ce qui parait être un avantage, une supériorité, peut se révéler redoutable. Au même titre que les autres êtres, nous sommes misérables. En prenant conscience de cela, nous sombrons alors dans une espèce de désespoir : nous éprouvons notre misère en étant conscients. La misère est en quelque sorte redoublée : il y a la situation même, commune à tous les êtres, étant qu’ils sont

Les Misérables, est une œuvre de Victor Hugo, écrivain français, homme politique, intellectuel engagé du XIXème siècle considéré comme le plus important des écrivains romantiques de la langue française. Cet ouvrage, écrit en 1862, dénonce la misère qui est omniprésente dans le Paris du XIXème siècle à travers des personnages récurrents. | | Gavroche, enfant des rues, vole des gibernes pleines de cartouches durant une mitraille et voit l'occasion de défier les forces de l'ordre. L'extrait

citer « près d’entrer au cercueil », c’est une hyperbole qui amplifie le fait que le renard voudrait la mort de l’écureuil. On peut donc dire que Jean de La Fontaine fait passer le renard comme péjoratif. Après avoir parlé du renard, l’un des deux personnages principaux de cette fable, nous allons parler de la représentation positive de l’écureuil et registre pathétique. Tout d’abord, on remarque une certaine pitié envers l’écureuil « le renard se moquait un jour de l’écureuil ». Ensuite, « assailli

roman naturaliste l’Assommoir publié par Emile Zola en 1877. Centré sur le personnage de Gervaise, ils permettent de saisir son évolution entre le début et la fin de l’histoire. A travers les différents points que nous aborderons, nous verrons qu’ils nous offrent une image totalement contrasté de la blanchisseuse. Dans les deux extraits de l’Assommoir d’Emile Zola, l’auteur nous montre le regard qui est porté sur le personnage de Gervaise. Dans l’extrait du chapitre V, Gervaise est décrite d’un point

bourgeoisie révolutionnaire, représentés par les personnages respectivement à la gauche et à la droite de la Liberté (de sa place). Cette œuvre est assez imposante puisqu'elle mesure 3,25 m sur 2,60 m. Le jeune garçon brandissant un pistolet a inspiré à Victor Hugo son personnage de Gavroche4: on remarquera que le garçon porte en bandoulière une sacoche de munitions ou de grenades, très certainement volée à un soldat : tout comme dans le chapitre Des Misérables où il vole les cartouches pour les "résistants"

l’athée et le croyant constitue la matière de cette scène qui ne fait que peu avancer l’action. Nous nous attarderons dans un premier temps sur l’écriture vivante et la structure complexe de cette scène, puis nous analyserons le rôle de chaque personnage.  I- Une scène vivante et complexe. a) Un dialogue rythmé. -les répliques sont courtes et nombreuses. Jeu de questions réponses entre Dom Juan et le pauvre que donne cette vitesse dans le texte. Impression que le pauvre est pressé. -Une ponctuation