Les Misérables Portrait Jean Valjean

éviter cet effet de réel et cette identification? I. Le roman : illusion référentielle et identification du lecteur aux personnages a)la construction du personnage : - son identité : exemples, les romans de Balzac, de Zola, texte D (§ 2) - son portrait : exemples, Mme Vauquer dans Le Père Goriot, Julien dans Le Rouge et le Noir, Mme de Clèves dans La Princesse de Clèves ou P. A. Destinat dans Les âmes grises. - son histoire et son évolution : par exemple, tous les romans d’éducation, comme Une

une allégorie (un symbole) de la liberté. A droite figure un jeune garçon. Symbole de la jeunesse révoltée par l’injustice, prêt à se sacrifier pour la liberté. Il cri (le seul), on peut mettre ce jeune personnage en relation avec le gavroche des Misérables de V.Hugo*. A gauche de la femme qui symbolise la liberté se tient un homme coiffé d’un chapeau haut de forme sans doute « un bourgeois éclairé ». A l’extrême gauche du tableau un homme porte la cocarde blanche des monarchistes. C’est un artisan

leurs indications qu’une réponse sera donnée.C’est à travers le portrait physique ou mentale et les descriptions faites par le narrateur qu’on découvre réellement le personnage. Le point de vue interne, le monologue intérieur permettent de saisir l’intimité du personnage sans le secours de la description du décor dans lequel il évolue. Ici le lecteur peut prendre l’exemple de la première apparition de Jean Valjean dans Les Misérables : l’auteur insiste autant sur son état physique que sur sa sauvagerie

vie agitée après la guerre de 1870. Flaubert le forme, le présente à Zola et lui donne l'occasion de collaborer à divers journaux. Il publie son premier roman, Une vie, en 1883. Trois ans après Bel-Ami (1885), Maupassant place en exergue de Pierre et Jean un essai sur "Le roman", où il défend la nécessité de représenter le réel avec vérité mais aussi avec originalité. Son œuvre, d'une incroyable fécondité, lui assure rapidement célébrité et fortune. Cependant, vers la fin des années 1880, sa santé se

L’homme en question = marque l’esprit de Hugo, servira de modèle au personnage de Jean Valjean dans Les MisérablesProblématique : quels sont les éléments qui permettent à Hugo de tirer une leçon de cet épisode ?Mouvements du texte1er mouvement : Un double portrait contrasté entre les deux personnages. (« … qui la regardait »)2ème mouvement : Il tire une leçon de ce qu’il a vu 1er mouvement : Un double portrait qui montre contraste entre les deux personnages. (« … qui la regardait »)1ère

auxquels il s’attache et suit leurs aventures suscitant de la passion, de l’angoisse, de l’empathie et de la frustration. Mais le roman peut aussi se mettre à imiter le réel de manière très exacte, s’efforçant à être un miroir du monde dont il fait le portrait. Nous nous demandons si la tâche du romancier quand il crée des personnages, ne consiste qu’à imiter le réel. Pour répondre au sujet nous allons le voir en trois parties: Après avoir vu comment un romancier peut créer des imitations de personnages

Édition du groupe « Ebooks libres et gratuits » Victor Hugo LES MISÉRABLES Tome I – FANTINE 1862 Texte annoté par Guy Rosa, professeur à l’Université Paris-Diderot Table des matières Livre premier Un juste ............................................................. 6 Chapitre I Monsieur Myriel ........................................................ 7 Chapitre II Monsieur Myriel devient monseigneur Bienvenu .. 11 Chapitre III À bon évêque dur évêché ...............................

transformations de Paris sous le Second Empire ou travaux haussmanniens constituent une modernisation d'ensemble de la capitale française menée à bien de 1852 à 1870 par Napoléon III et le préfet Haussmann. De chapitre en chapitre, une véritable de galerie de portraits de la société impériale y défile. Ces personnages secondaires servent à dénoncer le régime, son fonctionnement pervers rongé par la corruption. Tous ces hommes et femmes de grande noblesse ne sont pour Zola que des profiteurs du régime. II

Objet d’étude 4 : Le roman et ses personnages Lecture analytique 1 : Le portrait de Vautrin (Le père Goriot publié en 1935) complété par une fiche de lecture et de la lecture d’un extrait des illusions perdues. Auteur : Balzac Notes de préparations : Avec Vautrin, Balzac invente un personnage qui réapparait d’une œuvre à une autre. Ce trait lui donne une dimension fantastique. Il y a 4 apparitions de Vautrin dans la comédie humaine (titre global de l’œuvre de Balzac). Vautrin apparait dans Le

main Pépé, et Jean la suivait, tous les trois brisés du voyage, effarés, perdus au | | | |milieu du vaste Paris, le nez levé sur les maisons, demandant à chaque carrefour la rue de la Michodière, dans laquelle leur oncle Baudu demeurait. | | | |Mais, comme elle débouchait enfin sur la place Gaillon, la jeune fille s’arrêta net de surprise. | | |5 |― Oh ! dit-elle, regarde un peu, Jean !