Les Moissons du ciel

 en  valeur  nos  angoisses  et  nos  peurs,  nos   lâchetés  et  nos  échecs;  il  a  su  parler  aussi  du  Temps  qui  nous  écrase  et  nous  lamine  sous  un  ciel  vide.   Cette  oeuvre  peut  être  lu  pour  se  purger  de  sa  peine  mais  aussi  juste  pour  le  plaisir  des  yeux,  de   l'ouïe,  du  goût,  de  l'odorat  ou

printemps qui lui donna le jour. Rien n'est resté de lui qu'un nom, un vain nuage, Un souvenir, un songe, une invisible image. Adieu, fragile enfant échappé de nos bras; Adieu, dans la maison d'où l'on ne revient pas. Nous ne te verrons plus, quand de moissons couverte La campagne d'été rend la ville déserte; Dans l'enclos paternel nous ne te verrons plus, De tes pieds, de tes mains, de tes flancs demi-nus, Presser l'herbe et les fleurs dont les nymphes de Seine Couronnent tous les ans les coteaux de Lucienne

Analyse linéaire I) v1 → v8 : Paris, ville d’inspiration du poète * Tout d’abord, on trouve un contraste entre le titre et le premier vers : - « Le Soleil » → paysage lumineux et agréable, renvoie à l’aspect or de l’alchimie poétique- « vieux faubourg ; masures » → impression d’une ville sale et sombre, renvoie à la misère et à l’aspect boue de l’alchimie * v1 → l’ utilisation du verbe « pendre »

poème, au point que le poète se permet un trait d’humour, à travers une métonymie et une comparaison légères : C’est lui qui rajeunit les porteurs de béquillesEt les rend gais et doux comme des jeunes filles La vigueur des moissons qui croissent et mûrissent au vers 15 fait contrepoint au délabrement des masures des deux premiers vers. Les deux strophes sont donc deux descriptions antithétiques. Mais attention au contresens. Le

louer les dieux et les Dieux en ont marre, car ils nʼont plus de temps pour eux, alors les Dieux vont trouvé le Dieux des Dieux, «Marduk» et ils leurs demandent que Marduk trouve une solution. Marduk a donc liquidé l'humanité, en ouvrant les «vanne» du ciel, le déluge commence, la pluie, ... Question 11 : « Quʼest-ce qui pour un mésopotamien, le bonheur ou le malheur dʼune personne ?» On expliquait le bonheur ou le malheur dʼune personne par le fait que cette personne avait ou non bien servit le Dieux

qu'on appelait chaos, le soleil ne donnait pas encore sa lumière au monde ,la lune ne faisait pas briller les cornes de son croissant, la terrent était pas suspendu dans l'air etc , c'est un dieu qui a mit fin a cette lutte en séparant la terre du ciel, l'eau de la terre ,et l'air le plus limpide de l'air le plus épais,après que ce dieu eut ainsi opéré le partage et la disposition de cet amas de matière, il façonna d'abord la terre, encore plus irrégulier par certain cotés , et il l'arrondit en

dit : Après moi vient un homme qui m’a précédé, car il était avant moi. 31. Je ne le connaissais pas, mais c’est afin qu’il fût manifesté à Israël que je suis venu baptiser d’eau. 32. Jean rendit ce témoignage : J’ai vu l’Esprit descendre du ciel comme une colombe et s’arrêter sur lui. 33. Je ne le connaissais pas, mais celui qui m’a envoyé baptiser d’eau, celui-là m’a dit : Celui sur qui tu verras l’Esprit descendre et s’arrêter, c’est celui qui baptise du Saint-Esprit. 34. Et j’ai vu

dans un ciel écarlate Et qui se couche au ras d’un sol inévitable Dur comme une justice, égal comme une barre, Juste comme une loi, fermé comme une mare, Ouvert comme un beau socle et plan comme une table. Un homme de chez nous, de la glèbe féconde A fait jaillir ici d’un seul enlèvement, Et d’une seule source et d’un seul portement, 8 Vers votre assomption la flèche unique au monde. Tour de David voici votre tour beauceronne. C’est l’épi le plus dur qui soit jamais monté Vers un ciel de clémence

Pour en connaître l’origine il faut se référer au livre de Ruth. Ruth est la belle fille de Naomi, femme d’Elimélec. Suite au décès de ce dernier, Ruth qui n’habitait pas la Région est venu rejoindre sa belle mère qui ne possédait rien lors de la moisson des orges. Un jour en glanant dans ses champs, elle rencontra Boaz, un riche propriétaire qui était de la famille d’Elimélec. Mais elle n’en savait rien. Boaz fut très touché par la fidelité qu’elle avait envers Naomi. C’est beau ce qu’elle a

sont de retour aux abords de l’île de Calypso. Ils rencontrent un capitaine de navire dont le frère Adoam leur livre les dernières nouvelles et leur dépeint un pays extraordinaire, la Bétique. Le fleuve Bétis coule dans un pays fertile et sous un ciel doux, qui est toujours serein. Le pays a pris le nom du fleuve, qui se jette dans le grand Océan, assez près des Colonnes d’Hercule1 et de cet endroit où la mer furieuse, rompant ses digues, sépara autrefois la terre de Tharsis2 d’avec la grande Afrique