Les Monstres Dans La Société

de l’édit de Nantes, d’Henri IV qui met fin aux guerres de religions en France entre le christianisme et le protestantisme ainsi qu’en 1715, date de la mort de Louis XIV, le Roi-Soleil qui a imposé la monarchie absolue au royaume. Cette nouvelle société plus libre crée des héros qui ne correspondent plus à la norme du héros épique et chevaleresque. Le XVIIe siècle devient un siècle majeur pour la langue et la littérature française en particulier pour les œuvres du théâtre classique avec les comédies

face à un système de normes qui a pour effet d'interdire, d'empêcher aux vivants une vie active . La figure du monstre est source de craintes, de peur , dans la mesure où elle remet en cause, la vie dans son pouvoir de nous enseigner l'ordre ; le monstre est diforme et son fonctionnement est à part . Il est la manifestation la plus aboutie d'une altérité radicale . Canguilhem définit le monstre comme écart morphologique . C) La biologie : un modèle pour les sciences humaines . En quoi le vivant a constitué

m'écoutiez parce que vous allez tout à l'heure prendre une décision grave. Elle est grave pour la justice. Elle est grave, bien sûr, pour Véronique Courjault. Elle est grave pour ses enfants, pour son mari, et elle est grave enfin pour notre société. Cette société, par la voix de son représentant, a requis une condamnation au terme insuffisances. Vous réclamez une peine lourde, Monsieur l'Avocat général, il va nous falloir voir si elle est juste. M. ARON, Les Grandes plaidoiries des ténors du barreau

Nous évaluerons les deux visions de la folie qui se côtoient à cette époque pour en distinguer une évolution. 1. Le Fou comme un monstre dont il faut se protéger.. 1. La notion de médecine publique La médecine n'est pas uniquement considérée comme une science cherchant à soigner les corps humains. Elle est aussi à cette époque supposée soigner les maux de la société. C'est ce qu'on désigne par la notion de « médecine publique » ou « médecine politique »: une médecine qui s'inscrit intégralement

lois il étudiera sérieusement les conditions de vie des pauvres. Mais encore, le plus marquant est que le personnage principal de l’Assommoir est une femme « Gervaise ». Zola va s’intéresser aussi sur la position future de la femme dans la société du XIX siècles. Et l’on constate que les femmes ont du mal à être intégrées dans le marché du travail, leur liberté individuelle est très limitée et elles sont condamnées à se soumettre au bien de leur mari. Donc on peut en conclure que Zola, en dénonçant

Séance 3 : les personnages 4 types : les dieux, les hommes, les monstres, les morts =) davantage dans le roman fantastique. I/ les Dieux : Dans l’Iliade il y avait deux camps opposés. ¤ dans l’Odyssée , moins nombreux et tout s concntre autour d’Ulysse et non pas d’une armée. ¤ les dieux encadrent les 9 chants. ¤ Chant XIII = Ulysse/ Athéna ; Zeus/ Poséidon. ¤ Ils interviennent toujours dans la vie des hommes , mais sont peu à intervenir par rapport à l’Iliade. Ex : comme il ne

leurs amis. « Voyez notre cadette, disaient-elles entre elles, elle est si stupide qu’elle se contente de sa malheureuse situation. » Le bon marchand ne pensait pas comme ses filles. Il savait que la Belle était plus propre que ses sœurs à briller en société. Il admirait la vertu de cette jeune fille et surtout sa patience ; car ses sœurs, non contentes de lui laisser faire tout l’ouvrage de la maison, l’insultaient à tout moment. Il y avait un an que cette famille vivait dans la solitude, lorsque le

survire et à nourrir ses deux frères. (Pepe et Jean) Ensuite il est important de parler du fait que le bonheur des dames est un lieu de vie et également de rencontre. Déjà il y a la cantine et la tout le monde serait d’accord que la cantine dans une société c’est un lieu de rencontre. De plus certains employés comme Denise et Pauline vivent dans le même bâtiment. Elles disposent de deux chambres minuscules sous les toits et les commis dorment directement dans le magasin. Le magasin est alors un lieu

leurs amis. « Voyez notre cadette, disaient-elles entre elles, elle est si stupide qu'elle se contente de sa malheureuse situation. » Le bon marchand ne pensait pas comme ses filles. Il savait que la Belle était plus propre que ses sœurs à briller en société. Il admirait la vertu de cette jeune fille et surtout sa patience ; car ses sœurs, non contentes de lui laisser faire tout l'ouvrage de la maison, l'insultaient à tout moment. Il y avait un an que cette famille vivait dans la solitude, lorsque le

dispensée par la fée, ce qui lui donne un caractère plus catégorique car on ne saurait contester les arrets du surnaturel. 1.une histoire d'amour Il y a un excipit qui se présente comme la conclusion d'une histoire d'amour hors norme entre un monstre et une belle jeune fille. L'homme étant dans l'entière dépendance de la femme aimée, il y a un aboutissement d'une situation qui s'est inversée tout au long du conte, la Belle dans un premier temps est livrée au bon vouloir de la Bete par la faute