Les Mots De Champ Lexical Les Derniers Vers

(poème lyrique = poème dans lequel le poète exprime ses sentiments). · Dans ce poème le titre peut donc paraître étonnant car le sujet est le train. Le poète exprime son admiration et sa fascination pour les trains de luxe. · Poème en quatre strophes + vers irréguliers avec une alternance des strophes + modernité du poème car il n’y a pas de rimes· Strophes 1 et 3 : le poète s’adresse aux trains et en fait l’éloge· Strophes 2 et 4 : strophes personnelles · Lecture du texte· Annonce de la problématique :

de La Fontaine confondues 57CMaizièresPaulVerlaineAnn PASI Nancy-Metz 2005 2 6ème Rimes/strophes : art de faire des rimes avec des vers 5. Qu’est-ce que la poésie, selon toi ? La poésie raconte/essaye de charmer 5ème Un poème, c’est des strophes, des versets des rimes La poésie, c’est un système de techniques compliquées Jeu avec les mots Le poème raconte une histoire/on connaît le point de vue du poète ; une sorte d’histoire avec une morale (fable) Expression des sentiments (ce que

malheureux pour une femme inaccessible puis l’abandon progressif du poète au rêve. I- Le poète évoque ici un amour malheureux pour une femme inaccessible D’emblée, nous pouvons remarquer qu’ il s’agit d’un poème lyrique, qui n’est pas rimé et en vers libres : le poète exprime ses émotions et ses sentiments, avec la présence des pronoms personnels « je » v.7,9,10 et « j’ » v.1,4,9,12, pour une femme inconnue du lecteur qui reste un « tu » dans le texte. Il s’agit d’un amour obsédant : elle est

d'équilibre des mots, de la recherche de la perfection et d'un idéal. La tragédie de Phèdre est la dernière œuvre de Racine avant une absence théâtrale de douze ans, qu'il consacrera aux services du Roi avec, notamment, Nicolas Boileau. En France ce sujet, tiré de la mythologie, avait déjà été traité par Robert Garnier ( Hippolyte) et Gabriel Gilbert ( Hippolyte ou le garçon insensible). L'extrait de Phèdre que nous étudierons se situe à l'Acte II, scène 5, du vers 633 au vers 662, elle est l'avant

Victor Hugo : Le Dernier jour d’un condamné Chapitre 13 Plan : I) Présentation des forçats par le narrateur, ce qu’il voit. 1. Harcèlement psychologique et déshumanisation des forçats par les forgerons 2. Atmosphère de peur comme dans un film d’horreur II) Un spectacle particulier et étrange qui se produit 1. Scène paradoxale entre la situation des forçats et leur agissement. 2. Une joie des forçats mais une joie triste III) Un condamné

quelques sorte en train de revivre. En effet on retrouve dans l'extrait de nombreuses références à la nature qui sort de l'hiver pour s'épanouir durant le printemps. C'est à dire, qu'Etienne sort de sa période de mouvement pour aller de l'avant et partir vers de nouveaux horizons. Ainsi on retrouve « une sensation de plein air », « le chant des oiseaux, tous les murmures des eaux et des bois » où encore « dans cette gaieté de la nouvelle saison ». Toutes ces citations émettent un parallélisme entre la

mon cœur » ver 1,3 ,7 : celui qui parle s’adresse à lui-même - Mots exprimant une crise, puis son apaisement : « Mon orgueil ; Ma douleur ; Ma rage ; Ma gloire » - Récurrence des possessifs : situation d’introspection c) Deuxième personne = Première personne - Interprétation du cœur : le locuteur se parle à lui-même à a la deuxième personne - « j’ai pitié de toi » : toi = cœur (locuteur) - Dernier tercet : « Elève toi ; te » : le vent s’adresse au poète ( C’est

vers 1 à 4 - Louis instaure un brouillage temporel pour annoncer qu’il va mourir prochainement. Mouvement 2 : vers 5 à 18 – Le récit d’un souvenir presque fantastique. Mouvement 3 : vers 19 et 27 – Louis exprime le regret du secret non révélé/du cri empêché. Étude linéaire :Mouvement 1 : vers 1 à 4 - Louis instaure un brouillage temporel pour annoncer qu’il va mourir prochainement.· L’adverbe CC de temps « Après » au vers 1 résume l’entièreté

Jean de Sponde (1557 - 1595) Né dans le pays basque, d’un père calviniste. Jeune, il traduit Homère en latin, et compose des Amours, sonnets qui ne paraîtront qu’après sa mort. Puis il se tourne résolument vers la foi, et compose des Méditations sur les Pseaumes qu’accompagnent un Essay de quelques Poemes Chrestiens, ensemble de stances et de sonnets d’inspiration religieuse, publié en 1588, puis oublié pendant deux siècles et demi (réédité en 1949). Introduction Le poème « Mais si

c'est Satan TrismégisteQui berce longuement notre esprit enchanté,Et le riche métal de notre volontéEst tout vaporisé par ce savant chimiste. C'est le Diable qui tient les fils qui nous remuent.Aux objets répugnants nous trouvons des appas;Chaque jour vers l'Enfer nous descendons d'un pas,Sans horreur, à travers des ténèbres qui puent. Ainsi qu'un débauché pauvre qui baise et mangeLe sein martyrisé d'une antique catin,Nous volons au passage un plaisir clandestinQue nous pressons bien fort comme une