Les Mots

produire de nouvelles structures destinées à encourager la créativité. Ce groupe comprend des écrivains, dont les plus célèbres sont Raymond Queneau, Italo Calvino et Georges Pérec. Georges Pérec est un écrivain et un verbicruciste (qui fait des mots croisés) français né le 7mars 1936 à Paris. Il est adopté en 1945 à Paris par la sœur de son père Esther et son mari David Bienenfeld. Leur fille est l’écrivaine Bianca Lamblin. De 1946 à 1954, il fait ses études à l'école communale de la rue des

| |Mise en route |- écrire au tableau le mot « accident » et proposer |Quels mots associez-vous au mot « accident » ? | |Activité avant la lecture |un remue-méninges |Cherchez tous les mots possibles que vous pouvez| | |- faire la mise en commun à l’oral et écrire les mots|former à partir des lettres du mot « accident » | | |proposés au tableau ;

Description métaphorique dont les éléments forment un ensemble cohérent et qui exprime une idée générale. La Mort, lorsqu'elle est représentée comme un squelette armé d'une faux. Allitération : Répétition de sons identiques dans une suite de mots. Je fais souvent ce rêve étrange et pénétrant D'une femme inconnue et que j'aime et qui m'aime. (P. Verlaine) Amphibologie : Ambiguïté d'une construction, donnant lieu à 2 interprétations possibles. J'ai tué un éléphant en pyjama

de répétition de l’échec. Part d’humour macabre. La vie est une comédie jouée tous les jours sur la scène du monde. Le monde est une scène sur laquelle les hommes endossent des rôles. Mise en abyme du théâtre. Comique de mots p28 « Oui » « Notre ouïe n’a pas baissé » jeu de mots basé sur l’homophonie. Comique de l’absurde p30 rupture de la continuité du dialogue. Décalage p28 « élégiaque » «Ah hier! » Rupture avec l’événement anodin de la perte d’une dent. Beckett exploite un humour décalé sur le

est la même dans les deux mots (ex. bannir / finir). - Rimes riches ou très riches : présence de plusieurs syllabes identiques de son et d'articulation (trois sonorités ou plus : ex. vaillant / travaillant). Pour valoriser la richesse des rimes, à partir du XVIIe siècle, certains choix sont proscrits. - Les mots de même catégorie grammaticale (ex. calmement / lourdement). - Un mot simple avec un mot composé à partir de ce mot (ex. manteau / porte-manteau). - Les mots qui s'appellent trop instinctivement

personnage connaît et comprend les références utilisées par un autre, mais un troisième les ignore. Cette situation provoque le rire : on rit alors des réactions de celui qui n'est pas dans la confidence. Le comique de mots ou de phrases : le comique réside dans les jeux de mots, les défauts de prononciation (bégaiement, zézaiement...), les dialectes populaires, les images amusantes, le double sens… Le comique de gestes : le comique réside dans les coups, les chutes, les grimaces, les mimiques

par les années 70 libératoires, par le tournant cynique des années 80..., marquent l'itinéraire personnel et spécifique d'une femme, tout en ouvrant les portes successives par lesquelles s'engouffre la mémoire collective - flux intense et contrôlé de mots, d'images, de sensations, d'informations, jusqu'à plus soif, jusqu'au vertige. Ainsi ont passé ces années - c'est ainsi que les hommes et les femmes de ce temps ont vécu, pensé, aimé. Si elle parvient très naturellement, comme par essence, à échapper

Interjections « eh » * Tutoiement * Dénomination affective « mon ami » * statut d’adjuvent * termes évaluatifs « état horrible où je te vois » * Language affectif + évaluatif b) Réponse du nègre * M. Vanderdendur : jeu de mots * « l’usage » : fait référence au code noir (institution juridique régissant le statut d’esclave) * Le vêtement sert à marquer l’appartenance sociale * Caleçon symbolise l’infériorité sociale * Main coupé à cause d’une blessure au

donc dire que les membres du OULIPO créent des contraintes LA LITTERATURE OULIPIENNE EST UNE LITTERATURE SOUS CONTRAINTES On définit leur auteur comme "un rat qui construit lui-même le labyrinthe dont il se propose de sortir". Ce labyrinthe est de mots, de sons, de phrases, de paragraphes, de chapitres, de livres, de bibliothèques, de prose, de poésie, et tout ça... Je peux également vous citez Jean Queneau (zazie dans le métro Comme vous le voyez cette façon d’écrire est loin d’être courante

Il fait sa tirade. La particularité de la tirade est de faire varier les références et qu'il joue de manière permanente sur la nature de parole. Elle surprend, effet cocasse Lyrique : hyperbolique, poétique Naïf : candide Respectueux : jeu de mots campagnard : en rapport à son … Militaire : danger représenté par le nez Pratique : nez = gros lot, décalage Parodie de Pyrâme : parodie de Théophile de Viau La fin de la tirade est sarcastique et ironique. Dans qu'elle mesure cette tirade