Les Noces Barbares

Antiochus déclare alors son amour en en retraçant les différentes étapes ; mêlant ainsi au récit de sa flamme, celui de l’amour grandissant entre Titus et Bérénice dont il a été le témoin. Bérénice se déclare outrée de cet aveu fait le jour de ses noces mais promet le silence sur cette déclaration en vertu de son amitié pour Antiochus, elle accepte ses adieux. Antiochus promet de se taire à jamais et se faire oublier en quittant Rome et en regagnant ses états. Scène 5 : BERENICE, PHENICE Phénice

1420) Renaissance : Michel-Ange (1475-1564) Voute de la Chapelle Sixtine (1512) Léonard de Vinci (1452-1519) La Joconde (Vers 1506) EPOQUE MODERNE (1492 à 1789) Maniérisme : Le Greco (1541-1614) Arcimboldo (1527-1593) Véronèse (1528-1588) Les Noces de Cana (1562) Baroque : Le Caravage (1571-1610) Pierre-Paul Rubens (1577-1640) Johannes Vermeer (1632-1675) La Jeune Fille à la perle (1665) Rococo : Antoine Watteau (1684-1721) Jean-Honoré Fragonard (1732-1806) Le Verrou (vers 1776) EPOQUE

volontiers ? EUELPIDE. Celle où la plus grande affaire serait d'entendre à ma porte, dès le matin, quelque ami me dire : "Au nom de Zeus Olympien, présente-toi chez moi de bonne heure, toi et tes enfants, au sortir du bain : je dois donner un repas de noces; n'y manque pas surtout ; autrement, ne mets jamais les pieds chez moi, quand je serai dans le malheur." LA HUPPE. De par Zeus ! tu as la passion des grandes infortunes ! Et toi ? PISTHÉTÈRE. J'ai une passion semblable, moi. LA HUPPE. Et laquelle

ferveur, abondent dans son œuvre » [2]. Sand multipliera, on le sait, les témoignages sur cette campagne qu’elle « aime tant », sur son aspiration à s’enfermer dans un « horizon de choux et de pommes de terre ». On peut accorder aussi volontiers que Les Noces de campagne publiées en appendice de La Mare au Diable « sont une observation fidèle des coutumes populaires du mariage berrichon » [3]. Sainte-Beuve admire lui aussi ce peintre qui sait « le vol des grues dans le nuage, le babil de la grive sur le

enfant l’escortaient. Déjà les voiles étaient tendus, et guidé par les rames le navire était entrainé vers le large. Le petit Toxotius tendait ses mains suppliantes sur le rivage. Rufina déjà nubile, silencieuse en pleures la suppliait d’attendre ses noces. Et cependant elle tendait ses yeux secs vers le ciel, vainquant son attachement pour ses enfants par son attachement pour Dieu. Elle ne connaissait plus la mère, pour se montrer la servante du Christ. Ses entrailles étaient torturées, et ses membres

distinguaient de celles d'aujourd'hui par leur taille bien plus Imposante, et leur parfaite beauté, c'étaient deux sœurs issues Du même sang ; elles habitaient chacune la patrie que le sort Leur avait avait assignée, l'une la Grèce, l'autre la terre des Barbares. Il m'a semblé les voir toutes les deux se quereller Pour on ne sait quelle raison ; mon fils, s'en étant aperçu, S'efforçait de les contenir et de les calmer en les attelant À son char, et en leur posant un harnais Sur la nuque : l'une, fière

d'acclimatation Flammarion. • 1981 : Lucien Bodard Anne-Marie Grasset. • 1982 : Dominique Fernandez Dans la main de l'Ange Grasset. • 1983 : Frédérick Tristan Les Égarés Balland. • 1984 : Marguerite Duras L'Amant Minuit. • 1985 : Yann Queffélec Les Noces barbares Gallimard. • 1986 : Michel Host Valet de nuit Grasset. • 1987 : Tahar ben Jelloun La Nuit sacrée Seuil. • 1988 : Erik Orsenna L'Exposition coloniale Seuil. • 1989 : Jean Vautrin Un grand pas vers le Bon Dieu Grasset. • 1990 : Jean Rouaud

naissance (le droit du sang) : Soit : enfant né de 2 parents citoyens romains qui n’ont pas cessés de l’être entre le moment de la conception et celui de la naissance. Ou bien : citoyenneté automatique des enfants issus de mariages légitimes (justes noces : conubium donne droit de contracter un mariage légitime qui confère la citoyenneté romaine aux enfants nés de cette union). Ou encore : avant lex Minicia (Ier siècle a.n.è.) enfant né d’une mère citoyenne en dehors des liens du mariage (l’enfant suit

du mal 1857 ; Alchimie du verbe, d’Arthur Rimbaud, Une saison en enfer 1873 ; Mon rêve familier, de Paul VERLAINE, poèmes saturniens 1866 ; La chimère, de Théophile GAUTIER, La comédie de la mort 1837 ; Les rêves morts, de LECONTE DE LISLE, Poèmes barbares 1889 ; La lampe du ciel, de LECONTE DE LISLE, Poèmes tragiques 1884 ; Rêveries, de Victor HUGO, Les Orientales 1828 ; Un rêve, d’Alfred de MUSSET, Poésies complémentaires 1828 ; Sur le pays des Chimères, de NERVAL, Odelettes 1832. Thème peu récurrent

(identification au sein du lignage), le praenomen (prénom) (pour identifier plus précisément), le cognomen (surnom) (référence à une particularité morale ou physique de l’individu). Très souvent le prénom et le nom s’efface pour le surnom. Les esclaves et barbares ne peuvent porter le nomen gentilicium sauf s’ils sont intégrés par naturalisation. L’usurpation de nom est condamnée par la peine de mort, en règle générale cette citoyenneté s’acquiert par la naissance, par le droit du sol. b) Les latins