Les Nuées

1. Le volcan Mérapi Le volcan Mérapi (2 911 mètres d'altitude) est situé en Indonésie plus précisément sur l'île de Java . Ce dernier est classé comme volcan explosif très actif. Le volcan Mérapi est un volcan qui peut recracher des nuées ardentes dévastatrices qui se déplacent à grande vitesse (jusqu'à 300 km/h). Le 18 novembre 2013, lundi tôt le matin il est rentré en éruption sa fumée a atteint 2 km de hauteur. 600 familles ont du aller se réfugier dans des refuges, mais la plupart

semailles du Christ = Moïse frappant un rocher ou = grand abandonné de Dieu… Comme si Baudelaire ne pouvait raisonner qu’en termes de religion chrétienne, dès qu’il cherchait à se définir… - rédemption esthétique : cf. « rois de l’azur, prince des nuées » = roi dans la poésie, prince dans les poèmes ; cf. le « cor» poétique  qui remplit le vide existentiel en rassemblant les souvenirs ; cf le « tableau »  poétique  qui « réchaufferait » l’âme morbide du poète ; enfin, le « tambour » des vers qui « soûlerait

en attendant leur jour d’être acteurs .On eut dit des âmes en peine aux soupiraux du purgatoire qui donnent sur l’enfer. Comparaison 13. ‐Et un moment après, voilà que deux ou trois portes basses vomirent presque en même temps, dans la cour, des nuées d’hommes….C’était les prisonniers. Métaphore 14. ‐Ils furent salués d’acclamations et d’applaudissements qu’ils recevaient avec une sorte de modestie fière. Oxymore 15. ‐Il entrait dans la cour en faisant la roue sur lui‐même avec l’agilité d’un

«brûle-gueule» B – Les albatros • Ils sont désignés par plusieurs phrases valorisantes: «vastes oiseaux des mers», montre son envergure et l'harmonie entre l'albatros et son milieu. • Majesté des oiseaux: «roi de l'azur» vers 6, «prince des nuées» vers 13, «aile de géant» vers 16. II – Le renversement d'une transformation. A – Transformation du comportement des oiseaux. - Série synthèse: • Strophe 2: «maladroit et honteux» ≠ périphrase méliorative «ces rois de l'azur». • Strophe

Soleils couchants Le soleil s'est couché ce soir dans les nuées; Demain viendra l'orage, et le soir, et la nuit ; Puis l'aube, et ses clartés de vapeurs obstruées ; Puis les nuits, puis les jours, pas du temps qui s'enfuit ! Tous ces jours passeront ; ils passeront en foule Sur la face des mers, sur la face des monts, Sur les fleuves d'argent, sur les forêts où roule Comme un hymne confus des morts que nous aimons. Et la face des eaux, et le front des montagnes, Ridés et non vieillis, et les

traîner a côté d'eux. ce voyageur ailée, comme il gauche et veule ! Lui, naguère si beau ,qu'il est comique et laid ! l'un agace son bec avec un brûle-gueule, l'autre mime, en boitant l'infime qui volait ! le poète et semblable au prince des nuées qui hante la tempête et se rit de l'archée ; exilait sur le sol au milieu des huées, ses ailes de géant l’empêchent de marcher . Auteur : Charles Baudelaire Date de publication et siècle :publiée le 25 juin 1857 au 19 siècle 5°le poète

côté d'eux. Ce voyageur ailé, comme il est gauche et veule ! Lui, naguère si beau, qu'il est comique et laid ! L'un agace son bec avec un brûle-gueule, L'autre mime, en boitant, l'infirme qui volait ! Le Poète est semblable au prince des nuées Qui hante la tempête et se rit de l'archer ; Exilé sur le sol au milieu des huées, Ses ailes de géant l'empêchent de marcher. Une charogne Rappelez-vous l'objet que nous vîmes, mon âme, Ce beau matin d'été si doux : Au détour d'un sentier

Thése La philosophie devient un détachement du monde lorsqu'elle est une réflexion abstraite spéculative.Le philosophe devient un étranger au monde,un réveur qui n'a jamais les pieds sur terre.Aristophane a raison de dire qu'il est toujours dans les nuées, cela s'explique par l'incapacité de la philosophie de transformer le monde.La simple interprétation du monde ne suffit pas ,il faut passer à l'action. Le philosophe de par l'incertitude dans laquelle il se définie s'éloigne du monde.La philosophie

à côté d'eux. Ce voyageur ailé, comme il est gauche et veule ! Lui, naguère si beau, qu'il est comique et laid ! L'un agace son bec avec un brûle-gueule, L'autre mime en boitant, l'infirme qui volait ! Le Poète est semblable au prince des nuées Qui hante la tempête et se rit de l'archer ; Exilé sur le sol au milieu des huées, Ses ailes de géant l'empêchent de marcher. Charles BAUDELAIRE (1821-1867) Au lecteur La sottise, l'erreur, le péché, la lésine, Occupent nos esprits et

impensable Les dieux se penchent sans comprendre car soudain On voit une colonne avancer, au dédain Pour le froid, pour le vent, pour la mort inexpiable... Dix, cent, puis mille et plus, que font donc ces gredins ? Le soleil luit à peine à travers les nuées. Son reflet pâle éclaire un casque, là le fer D'une épée. Une armée escalade l'éther ! Ils sont bien pâles, las. On voit exténuées Des bêtes emportant les chariots dans l'enfer. Les haleines dans l'air glacé montent et fument. Puis on distingue un