Les Nuits d'été

l’hôpital. Une fois sortie de l’hôpital, elle accumule les crises de boulimie qui deviennent de plus en plus fréquentes. Elle deviens violente lorsque ces parents l'interdisent de manger, elle s'en rend compte et regrette. C'est lors des vacances d'été dans le Sud, où elle tiens bon et plus aucune crise de boulimie. Quel à été le dé clique ? Les vacances en famille ? Voir une de ses amie mourir de l'anorexie ? L'acceptation de soit ? Une remise en question ? Justine en apprend un peut plus

harassant Et que des mots t'accueillent Qui te donnent du temps. Car on tue dans le monde Et tout massacre nous vieillit. Je dis : douceur Pensant aussi A des feuilles en voie de sortir du bourgeon, A des cieux, à de l'eau dans les journées d'été, A des poignées de main. Je dis : douceur, pensant aux heures d'amitié, A des moments qui disent Le temps de la douceur venant pour tout de bon, Cet air tout neuf, Qui pour durer s'installera. Guillevic Mon avis: J'ai aimé ce poème car rien

ou cendre J’écris ton nom Sur les images dorées Sur les armes des guerriers Sur la couronne des rois J’écris ton nom Sur la jungle et le désert Sur les nids sur les genêts Sur l’écho de mon enfance J’écris ton nom Sur les merveilles des nuits Sur le pain blanc des journées Sur les saisons fiancées J’écris ton nom Sur tous mes chiffons d’azur Sur l’étang soleil moisi Sur le lac lune vivante J’écris ton nom Sur les champs sur l’horizon Sur les ailes des oiseaux Et sur le moulin

Ils ont aimé ! » Alphonse de Lamartine, Méditations poétiques Soleils couchants Le soleil s'est couché ce soir dans les nuées;  Demain viendra l'orage, et le soir, et la nuit ;  Puis l'aube, et ses clartés de vapeurs obstruées ;  Puis les nuits, puis les jours, pas du temps qui s'enfuit ! Tous ces jours passeront ; ils passeront en foule  Sur la face des mers, sur la face des monts,  Sur les fleuves d'argent, sur les forêts où roule  Comme un hymne confus des morts que nous aimons. Et

qui coute moins chère que Noël _en pleine période de vacances scolaires • Les Faiblesses (W= Weaknesses) _ Amérique, maisons ouvertes sur l’extérieur/France portail • Les Opportunités (O = Opportunity) _Période creuse, Fin des vacances d’été et célébrations de noël dans deux mois • Les menaces (T = Threatens) _L’opinion politique et l’anti-américanisme général cependant force est de constater que malgré l’anti-américanisme général, les produits américains sont très présents France :

lyre je chanterai Son âme universelle autant qu’elle est unique ; Et j’atteste les cieux, mesurés par vos mains, Que j’abandonnerais pour ses charmes divins L’équateur et le pôle arctique. Voltaire, Stances Sensation Par les soirs bleus d’été, j’irai dans les sentiers, Picoté par les blés, fouler l’herbe menue : Rêveur, j’en sentirai la fraîcheur à mes pieds. Je laisserai le vent baigner ma tête nue. Je ne parlerai pas, je ne penserai rien : Mais l’amour infini me montera dans l’âme

laureate du prix nobel de literature en 1901. Sully Prudhomme fait passé un message sur la beauté d’une personne qu’il idolatre L'immobile beauté L'immobile beauté Des soirs d'été, Sur les gazons où ils s'éploient, Nous offre le symbole Sans geste vain, ni sans parole, Du repos dans la joie. Le matin jeune et ses surprises S'en sont allés, avec les brises ; Midi lui-même et les pans de velours De ses vents chauds,

caresses Par bonheur ou par malheur Je connais ton secret pas coeur Toutes les portes de ton empire Celle des yeux celle des mains Des seins et de ta bouche où chaque langue fond ET la porte du temps ouverte entre tes jambes La fleur des nuits d’été aux lèvres de la foudre Au seuil du paysage où la fleur rit et pleure Tout en gardant cette pâleur de perle morte Tout en donnant ton coeur tout en ouvrant tes jambes Tu es comme la mer tu berces les étoiles Tu es le champ d’amour tu lies et

de la poésie et c'est cette différence qui me plaît. Rutebeuf étant un auteur lyrique exprime ses sentiments et nous montre que la vie est loin d'être un conte de fée. La Charogne Rappelez-vous l'objet que nous vîmes, mon âme, Ce beau matin d'été si doux : Au détour d'un sentier une charogne infâme Sur un lit semé de cailloux, Les jambes en l'air, comme une femme lubrique, Brûlante et suant les poisons, Ouvrait d'une façon nonchalante et cynique Son ventre plein d'exhalaisons. Le soleil

fond des horizons, Avait acculé l'ombre au tournant d'une rue ; Et, tombant sur les toits, sa clarté vive et drue Faisait saillir en noir le profil des maisons ! Nuit de Paris Léon VALADE   (1841-1884) À Jean Richepin. Le ciel des nuits d'été fait à Paris dormant Un dais de velours bleu piqué de blanches nues, Et les aspects nouveaux des ruelles connues Flottent dans un magique et pâle enchantement. L'angle, plus effilé, des noires avenues Invite le regard, lointain vague et charmant