Les Nuits d'été

rayonnement solaire Plusieurs phénomènes interviennent pour expliquer ces disparités. • La latitude o L’inclinaison du plan équatorial par rapport au plan de l’écliptique (23°27’) entraîne de grandes variations dans la durée des jours et des nuits. o Si la durée d’illumination est de 12 heures tous les jours de l’année à l’équateur, cette durée varie en fonction des saisons allant jusqu’à 6 mois de jour et 6 mois de nuit aux pôles. (Annexe 2). On comprend dès lors les grandes différences

élogieux. Lecture et traduction : Aucassin avait été mis en prison, comme vous l’avez entendu, et de son coté Nicolette était dans la chambre. C’était au temps de l’été, au mois de mai, → quand les jours sont chauds, longs et clairs, et les nuits sont calmes et sereines. Une nuit où Nicolette était couchée dans son lit, → elle vit la lune briller par la fenêtre et entendit le rossignol chanter dans le jardin → : elle se souvint D’Aucassin son ami qu’elle aimait tant. →Elle commença à penser

pareils à celui-ci, sous la cendre lumineuse qui tombait des étoiles. Ils iraient, les mains dans les mains, serrés l'un contre l'autre, entendant battre leurs cœurs, sentant la chaleur de leurs épaules, mêlant leur amour à la simplicité suave des nuits d'été, tellement unis qu'ils pénétreraient aisément, par la seule puissance de leur tendresse, jusqu'à leurs plus secrètes pensées. Et cela continuerait indéfiniment, dans la sérénité d'une affection indescriptible. Et il lui sembla soudain qu'elle le

brutalement », « heurtant les épaules, poussant les gens », « il avait l'air de toujours défier quelqu'un ») ; un bon vivant qui aime boire et manger (« ce qui représenter encore deuxcolations au pain et au saucisson, plusdeux boks [...] son grand plaisir des nuits ») ; il aime les femmes (« le sang bouillant, il s'allumait au contact des rôdeuses ») =>métaphore filée du feu (« bouillant », « allumait »). 2. Des thèmes réalistes définissant un milieu social • La pauvreté : importance de l'argent

"l'air froid des nuits". Le poème l'Ennemi développe une idée qui fonctionne en parallèle avec la Cloche Fêlée, le poète arrivé à "l'automne des idées" n'est plus capable de créer, il faudrait "employer la pelle et les râteaux" et donc le faire disparaître comme les feuilles mortes de l'automne. Baudelaire montre qu'il a peur du temps qui passe à travers ses dévalorisations des saisons auxquelles il associe systématiquement un mal-être. Dans Une Charogne, un "beau matin d'été si doux" devient

Printemps ! Les thyrses de lilas fleurissent. Couchons-nous au bord des étangs, Que nos maux amers se guérissent ! Mille espoirs fabuleux nourrissent Nos cœurs gonflés et palpitants. Te voilà, rire du Printemps ! Ce quatrième poème intitulé « Nuits de juin », tiré du recueil Les rayons et les ombres , a était écrit par Victor Hugo, poète, dramaturge et prosateur romantique considéré comme l’un des plus importants écrivains de langue française. Dans ce poème, Victor Hugo nous propose une description

nourritures ! Ma faim ne se posera pas à mi-route ; Elle ne se taira que satisfaite ; Des morales n’en sauraient venir à bout Et de privations je n’ai jamais pu nourrir que mon âme. Satisfactions ! je vous cherche. Vous êtes belles comme les aurores d’été. Sources plus délicates au soir, délicieuses à midi ; eaux du petit matin glacées ; souffles au bord des flots ; golfes encombrés de mâtures ; tiédeur des rives cadencées… Oh ! S’il est encore des routes vers la plaine ; les touffeurs de midi ; les

William Shakespeare Le songe d'une nuit d'été - Collection Théâtre - Retrouvez cette oeuvre et beaucoup d'autres sur http://www.inlibroveritas.net Table des matières Le songe d'une nuit d'été ............................................................................1 NOTICE SUR LE SONGE D'UNE NUIT D'ÉTÉ..............................2 PERSONNAGES .................................................................................5 ACTE PREMIER - SCÈNE I..............................

Adieu Les deux amis achevaient de dîner. De la fenêtre du café ils voyaient le boulevard couvert de monde. Ils sentaient passer ces souffles tièdes qui courent dans Paris par les douces nuits d’été, et font lever la tête aux passants et donnent envie de partir, d’aller là-bas, on ne sait où, sous des feuilles, et font rêver de rivières éclairées par la lune, de vers luisants et de rossignols. L’un d’eux, Henri Simon, prononça, en soupirant profondément : — Ah ! je vieillis. C’est triste

triste, hélas! et j'ai lu tous les livres.  Fuir! là-bas fuir! Je sens que des oiseaux sont ivres  D'être parmi l'écume inconnue et les cieux!  Rien, ni les vieux jardins reflétés par les yeux  Ne retiendra ce cœur qui dans la mer se trempe  O nuits! ni la clarté déserte de ma lampe  Sur le vide papier que la blancheur défend  Et ni la jeune femme allaitant son enfant.  Je partirai! Steamer balançant ta mâture,  Lève l'ancre pour une exotique nature!  Un Ennui, désolé par les cruels espoirs