Les Néo Classique Et La Crise De 1929

courant classique: •Avec ses différentes ramifications, il se méfie de l’Etat et est plutôt favorable au laisser faire. –Le courant keynésien: •Keynes postule que l’économie n’est à l’équilibre qu’accidentellement; la politique économique vise à corriger les déséquilibre constants. –Le courant marxiste: •Pour Marx, la propriété privée est une aberration. L’Etat a donc une vocation exclusive à assurer le bien public, notamment à travers sa maitrise de l’économie. 1.2 L’approche classique Initié

déroulée que pendant une sorte de « pause » du libéralisme. Cette période de reconstruction a ainsi permis aux théoriciens néo-libéraux d’introduire l’Etat, au service du développement du marché et donc principalement des intérêts financiers. On doit s’interroger sur l’origine de la croissance : n’est-elle pas réalisée uniquement au détriment de certains ? Depuis que le néo-libéralisme a ressurgit au devant de la scène et que la globalisation a projeté les travailleurs dans une concurrence mondiale

rémunéré au regard de sa capacité productive (les sages et les gardiens sont privilégiés car leur fonction est essentielle) Cette conception de Platon a généré une réflexion chez les néo-classiques à la fin du 19ème : la rémunération doit être l’exacte contrepartie de la contribution productive. Comme pour les néo-classiques il y a deux facteurs de production (facteur travail et le facteur capital) ces deux marchés (travail + capital) doivent définir la véritable contribution des acteurs ainsi que l’exacte

(surtout 2006), la croissance mondiale est tirée et tourne aux environs de 4-5 %, elle est surtout tirée par les pays émergents, la Chine et l'Inde (12%). ● Mais la crise économique s'annonce très tôt dès 2007, l'économie américaine ralentit, fort déficit de la balance et la suite … Dans les pays développés des entreprises avant la crise vont préférer réduire leur effectif, le social est devenu le régulateur de l'économie. Aujourd'hui, les entreprises poussent à une rationalisation de la production

est-il un bon régulateur économique et social ? Flexibilité du marché du travail et chômage Les privatisations sont-elles un facteur de dynamisme pour l’économie française ? L’inflation a t-elle un avenir ? Quels peuvent être les effets d’une crise boursière sur la croissance économique ? La démographie européenne et ses conséquences économiques ENA 2001 2002 La place des prélèvements obligatoires dans les politiques économiques Les pays émergents ont-ils intérêt à accélérer leur ouverture

liberté. Il existe, nous dit-on, une formule unique à quoi toutes les propositions intelligibles concernant la liberté peuvent se ramener. La prédominance de ce point de vue semble due, pour une bonne part, à l’influence d’un seul article devenu classique, celui de Gerald Mac- Callum intitulé « Liberté positive et négative 1 ». Chaque fois que la liberté d’un sujet est en ques- tion, soutient MacCallum, il s’agit toujours de la liberté par rapport à un élément de contrainte – contrainte de (ou de

1922-1924 et 1926-1928 , bien que les changements de gouvernement restent fréquents. Mais la tendance au renforcement du pouvoir gouvernemental se manifeste quand même : il s’agit 2 en effet dans les années 1920, de faire face à des situations de crise (financière notamment) qui exigent compétence et rapidité. III – Les grands débats des années 1920. A - Les années 1920 voient l’atténuation des graves dissensions qui avaient déchiré le pays avant 1914. - La querelle religieuse resurgit, pour une

d'Industrie de Lyon secteur semi-public et public • EPIC : Établissements Publics à caractère Industriel ou Commercial • Entreprises nationales • SEM : Société d'Économie Mixte secteur social • Coopérative • Mutuelle L'école classique : L'école classique est née au cours de la deuxième révolution industrielle. Elle s'est développée dans 2 directions : l'organisation scientifique du travail et l'organisation administrative du travail. Cette école désigne l'ensemble des théoriciens qui

fiscalité 9 IV. Le système fiscal français 10 Chapitre 1.3 : L’arbitrage entre la consommation et l’épargne 14 I. Introduction 14 II. L’analyse keynésienne de la consommation 16 III. Les reformulations keynésiennes 17 IV. L’offensive néo-classique 19 Chapitre 1.4 : Les déterminants de l’investissement 24 I. Introduction 24 II. L’influence de la demande globale 26 III. Investissement et rentabilité : le rôle du taux d’intérêt 28 IV. L’investissement : un pari sur l’avenir 33

d'Adam Smith) mais également des écoles auxquelles ils appartiennent. (exemple : école classique). Faits : (vient du latin « factum » signifiant actions ou actes), les faits économique représentent donc l'ensemble des actes, des actions, des pratiques, des activités, des événements économiques passés (Crise de 1929), présents (Crise de 2014 en France), futurs (9 milliards d'habitants en 2050, fin de la crise ?) En fond, on a d'un coté ou les réflexions économiques (ou théories économiques) et