Les Néoclassiques Et Le Choix Du Producteur

l'importance des anciens dans l'économie. En effet ce sont eux qui ont créer les concepts et méthodes de l'analyse économique. Ici, Fourçans nous familiarise avec les principaux courants fondateurs de la pensée économique dits « classique » et « néoclassique ». L'économie est née avec la pensée philosophique individualiste et libérale du XVIIIe siècle, mais elle ne prend son véritable essor que lors de la prise de conscience de l' existence économique. On apprend d'une part ce qu'est la « loi des

mais pour celui qui la désire. Ceci posée la valeur du travail ou, plus exactement, la quantité de travail socialement nécessaire à la production d'une marchandise devient l'étalon de comparaison des valeurs des marchandises entre elles, aucun producteur n'acceptant de se séparer de sa production s'il n'est pas convaincu qu'il verra son travail rétribué à sa "juste valeur", autrement dit, s'il n'a pas le sentiment que son effort est rétribué en fonction du temps et de la peine qu'il lui aura coûté

progrès technique. II – Les choix économiques Il existe plusieurs théorie sur les choix. Tout d'abord nous verrons les choix individuels. «La richesse est la liberté de choix» (Citation de Sen) Pour Sen (prix Nobel d'économie 1998), une personne est riche si elle dispose d'une grande liberté de choix (on parle de choix, pas seulement de ce que l'on achète, mais de l'ensemble des choix), cette théorie se base sur la préférence, d'ailleurs, en économie tout les choix individuels et sociaux sont gouvernés

inductive/déductive 2.2 L’analyse microéconomique /macroéconomique 3.3 Approche positive /normative Section III. Les différents courants de la pensée économique 1. Les économistes classiques et l’émergence de la science économique 2. Les néoclassiques 3. L’économie chez Marx 4. L’analyse keynésienne Chapitre II : le marché et la formation des prix Section1- L’analyse du marché I. La notion de marché 1. La fonction d’offre 2. La fonction de demande II. Les différents

science économique nait de la confrontation entre les besoins illimités éprouvés par les êtres humains et la quantité limitée de biens disponibles pour les satisfaire. Cette science s’attache donc dans un premier temps décrire, mesurer, comprendre les choix effectués par les agents économiques. Dans un second temps, elle cherche à bâtir des lois et des modèles pouvant servir à guider l’action politique pour des politiques économiques et sociales appropriées. La réflexion économique apparait chez les

connaît la sté. Section III : L’analyse néoclassique (Jevons, Walras, Menger : 1870) de la répartition Pour ces auteurs, c’est l’utilité qui va devenir l’élt à l’origine de la valeur des choses. Donc à l’inverse des classiques, il propose une théorie subjective de la valeur (alors que les classiques proposaient une théorie objective). C’est la capacité des biens à satisfaire les besoins qui fondent leur valeur. Cette vision des choses, pour les néoclassiques, vont les amener à s’intéresser à la formation

ensemble d’hypothèses – ou d’ « axiomes » – dont sont déduits des théorèmes ou des résultats mathématiques, que l’économiste transcrit dans son langage et interprète. Le choix des axiomes joue donc un rôle décisif dans la formulation des modèles, puisqu’il détermine le type et la signification des résultats qui peuvent être obtenus. Ce choix dépend fondamentalement de la « vision du monde » du théoricien – c’est-à-dire, de la façon dont il conçoit la société et les relations entre ses membres. Il n’est

économique est la question de la rareté des ressources. B) L’approche abstraite : rareté et choix Les hommes ont de nombreux besoins à satisfaire mais la plupart des ressources dont ils disposent pour le faire existent en quantité limitée. L’économie est la science des choix rendus nécessaires par la rareté des ressources. 1) Les vertus de l’abondance L’abondance évacue tout problème de choix dans l’utilisation des ressources. Si les ressources sont abondantes, la question de l’économiste

Smith, Ricardo, Say, Marx) selon laquelle il existe une macroéconomie sans microéconomie - théorie néoclassique ou marginaliste, de 1850 à 1920, (Walras, Marshall…) qui donne naissance à la microéconomie - théorie keynésienne, à partir de 1930, qui procède à partir d’une analyse macroéconomique L’approche microéconomique consiste à chercher l’explication des phénomènes éco à partir des choix individuels et qui s’oppose en ce sens à la macroéconomie qui porte son analyse sur des quantités globales

comprendre le monde qui entoure les choix effectues a travers l’analyse de certains phénomènes. -Elle nous permet de nous interroger sur notre mode de vie selon nos comportements notre rapport au monde. -L’économie cherche a expliquer les phénomènes selon deux analyses : -Un niveau global la macro : c est l’étude des phénomènes qui concernent l’ensemble des individus. -Un niveau individuel , la micro : c est l’étude des comportements des individus de leurs choix , des interactions entre ces individus