Les Néoclassiques Et Le Choix Du Producteur

La contribution de Keynes 1) La théorie du salaire. C’est pour la théorie de l’emploi que l’analyse keynésienne présente l’alternative la mieux connue à la position néoclassique. Dans la “Théorie générale” Keynes se situe résolument dans le camp des opposants à la théorie “classique” qu’il résume en indiquant qu’elle est toute entière construite sur deux postulats [1] permettant d’assurer l’égalité de l’offre et de la demande de travail évitant ainsi l’apparition du chômage involontaire : - la

science économique étudie comment les individus, les entreprises, les pouvoirs publics et d’autres organisations sociales font des choix, et comment ces choix déterminent la façon dont les ressources de la société sont utilisées. La rareté joue un rôle central en économie : les choix sont importants parce que les ressources sont rares ». « La nécessité de faire des choix vaut autant pour l’économie dans son ensemble que pour chaque individu considéré isolément. Les individus, les ménages, les entreprises

innovations globales et locales. Les premières influencent toute l’économie, les autres ont l'impact que pour une firme ou une entité restreinte. On trouve deux approches dans la théorie d'économie de l'innovation: l'approche économique dominante, dite néoclassique, et l'approche alternative développée depuis la fin des années soixante-dix autour de la "théorie évolutionniste" inspiré par les travaux de Schumpeter. La première approche est caractérisée par effort rationnel de maximiser une fonction d’utilité

consiste sur la base de l’économie positive à proposer aux gouvernants des mesures pour améliorer le bien être des citoyens. Enfin, l’économie analytique utilise divers outils de modélisation théorique qui visent à représenter les contraintes et les choix des agents économiques également dans une volonté de maximisation du bien être. Ces 2 branches de l’analyse économique sont considérées comme étant complémentaires par la plus part des économistes. Elles sont utiles dans les faits économiques qui

confrontation des intérêts individuels mène naturellement à la concurrence, et cette dernière amène les individus à produire ce dont la société a besoin. En effet la forte demande provoque l’envolée des prix, cette dernière amène donc naturellement les producteurs avides de profits à produire le bien recherché. Le marché est autorégulateur. En conséquence, l'Etat n'a pas à intervenir dans l'économie. Il doit se limiter à son rôle d'« Etat-Gendarme » (l'armée, la police, la justice) auquel Smith ajoute la

économie.= tendance a vouloir rapprocher l’éco des sciences dure, sciences calculable. L’économie s’éloigne d’une science humaine avec les classiques. Ricardo va bp plus utiliser la rigueur scientifique, mais le vrai basculement va survenir avec les néoclassiques. Nous voyons donc un renouvellement des pensées au niveau de l’économie. Classique : raisonnement au therme de classes sociales, l’éco relève fondamentalement d’un antagoniste entre differentes classes. On voit emerger de nouvelles classes

l’économie qui analyse les comportements des individus. Mais elle s’intéresse surtout à leurs interactions et aux bénéfices qu’elles produisent. La microéconomie utilise le terme d’agent et non pas d’acteur. Il y a plusieurs types d’agents : les producteurs, les consommateurs et les salariés. Le lien entre la macro et la microéconomie : La microéconomie est un fondement essentiel à la macroéconomie, on est obligé de la connaître. Apport essentiel donné par la microéconomie. Caractériser son approche :

désengagement progressif de l'État Nous venons de voir que l'État intervenait dans l'allocation des ressources avec ses politiques concurrentielles et industrielles, en gérant les effets externes et en produisant les biens collectifs. Pour les néoclassiques, ces interventions de l'État sont légitimes car elles ont pour objectif de maintenir les conditions de la concurrence en luttant contre les situations de concurrence imparfaites ou encore de palier les défaillances de marché. Mais, hormis ces cas

classique Adam Smith David Ricardo J-B say 19 eme 1870 -1950 = néoclassique Walras Pareto Marshall Pegou Schumpeter Arrrow 1950 la nouvelle école classique avec Lucas Barro Sargent Wallace Posé les bases de l'économie moderne Néoclassique il vont travaillé plus sur les comportements des agents ( a eu qu on doit a faire de la macroéconomie ) , il vont démontrer mathématiquement les mécanisme de fonctionnement des marchés Néoclassiques → Friedman ( Monétariste ) Un courant surtout attaché a montré

frontières, les avis divergent sur la place occupée par l'économie classique dans l'histoire de la discipline. Pour certains, tels Marshall ou Keynes (2), elle constitue le socle sur lequel pourra s'édifier à partir de la fin du XIXe siècle la théorie néoclassique, une fois incorporé le raisonnement marginaliste. Pour d'autres, au contraire, il existe une rupture radicale entre les deux écoles de pensée, et ce point de vue est partagé aussi bien par les maîtres de l'école de Lausanne (Walras, Pareto) que