Les Ottoniens

l’empire avait disparu avec la mort de Louis 1er, Othon 1er va en 972 rétablir l’empire, différent de l’empire carolingien, un empire romano-germanique. Ses successeurs Othon II et Othon III vont continuer de garder l’empire. C’est la dynastie des Ottonien. L’empire Carolingien s’est effondré avec la mort le Louis le Pieux et donc un de ses descendants indirect, Othon 1er (936-973), va rétablir un nouveau empire grâce à son sacre en 972 juste avant sa mort en 973. Napoléon et d’autres vont conserver

843, partage de Verdun. La couronne subsiste et est acquise par tel ou tel prince territorial mais dans ce qui est l’Allemagne actuelle, au 10ème siècle l’empire réapparait avec Othon 1er couronné empereur par le pape en 962. Il fonde la dynastie ottonienne qui restaure l’empire et donc la dignité impériale. Cet empire, le Saint Empire Romain Germanique, va subsister pendant plusieurs dynasties. Ces empereurs visent en fait la toute puissance, ils revendiquent un pouvoir temporel universel. Confit

la Reforme Gregorienne (de Gregoire VII qui fur un virulent reformateur) lancée par leon IX. Cela provoque une cassure, une déchirure dans les relations entre empereurs et papes. 4. Fondements de la puissance des empereurs La puissance des ottoniens et de leurs successeurs se font sur des bases ideologiques et materielle. En 972, Otton 1er est fait empereur. Aspect militaire (=victoire sur les Hongrois) et aspect religieux (=descendant du Christ). L’empereur theoriquement doit pratiquer l’Imitatio

leur gré. La papauté était tombée sous la tutelle des empereurs germaniques. Aucune élection pontificale ne devait intervenir sans leur consentement. La papauté passa par une période de décadence au 10ème siècle. Dans ce premier temps de l’époque ottonienne, c’est l’empereur germanique qui domine la papauté. Mais, de nombreux catholique vont être indignés de voir cette papauté féodale et ils s’indignent que les Papes soient soumis aux caprices des empereurs laïques. Tout cela va changer avec le

Saint Empire romain germanique (962). Il apparaît en 962. On dit qu'il y a eu transition de l'empire au germain. A nouveau c'est l'église qui est à l'origine de cette initiative. L'église va trouver un nouveau protecteur dans la dynastie des Ottoniens. Elle va donc en la personne du pape Léon VIII, également dans la basilique Saint Pierre de Rome, déposer la couronne sur la tête de l'empereur Otton 1er. Cela fait naître un deuxième empire d'occident chrétien qui va durer jusqu'en 1806. En 1806

souveraineté royale Fin 12e, le roi va se heurter à des rivaux. 1- Les relations avec le Saint Empire Après la chute des carolingiens, l’empire a été relevé en Germanie en 962 par OTON 1er. Après 962, cet empire s’est poursuivi dans la dynastie ottonienne. Au 12e siècle, la dynastie a changé mais il y a tout de même un empereur germanique puissant. Il reprend les prétentions de l’ancien empire carolingien et affirme que l’empereur domine les princes. La royauté capétienne doit donc réagir et pour

traditionnelle avec l’état nation. La démocratie des valeurs compte plus outre Rhin que des notions comme la République en France. La France a renoncé pour partie à son légicentrisme. Elle a embrassé la forme nouvelle de la démocratie constitutionnelle, ottoniens pour l’instant la France demeure éloignée du modèle allemand car la part substantiel de la notion de République passe encore à présent moins par la médiation de la constitution que par celle des acteurs politiques non juridictionnels - les décisions

ouvert. Le choix que fait Otton Ier de confier à Frédéric la Haute-Lotharingie atteste le ralliement des fils de Wigéric à la dynastie saxonne. Alors que Wigéric était resté proche des Carolingiens de France, ses fils s’attacheront plutôt à la cause ottonienne ; ils prêteront foi et rendront hommage aux empereurs et assisteront à leurs diètes. La tradition historique attribue à Sigefroid l’initiative de la fondation de Luxembourg. Les historiens nationaux n’hésitèrent pas à affirmer que l’action de Sigefroid

paléochrétienne et au haut-Moyen Âge (IVe – Xe s.). Le cours aborde ainsi l’architecture et le décor monumental (peinture, sculpture, mosaïque) et les réalisations mobilières (manuscrits, ivoires, orfèvrerie) de l’art paléochrétien, mérovingien, carolingien et ottonien. Orientation bibliographique - Caillet Jean-Pierre éd., L'art du Moyen-Âge, Paris, Gallimard, 1995 (coll. Manuel d’histoire de l’art). - Charron Pascale, Guillouet Jean-Marie, Dictionnaire de l’art du Moyen Âge occidental. Paris, Robert-Laffond,

Cette prétention était initialement une ambition idéal. Celle-ci en réalité n'a pas dépasser l'allemagne ou l'italie ou voit une région limitrophe. Force singulière dans l'europe symboliser par le régne de certain empreur, notamment la dynastie des ottonien, salien avec henri III et henry IV. Pour la dynastie des stofoen, on a eu le règne de fredéric Ier Barberousse et II. L'empire germanique n'a jamais réussi à étendre sa domination en dehors des frontières de l'allemagne de l'italie. Ces empereurs