Les Perses Eschyle

entre le vécu et le représenté sont précisément refusées parce qu’elles viennent court-circuiter l’élaboration cathartique et le passage qu’elle implique du particulier au général et de la souffrance à son intellection. Eschyle retien- dra la leçon lorsqu’il écrira Les Perses en 472 avant JC et qu’il racontera la bataille de 7 Ibid., p. 260. 8 Salamine du point de vue de l’ennemi, soit d’une figure d’altérité, le Perse, dans laquelle

de Philippe, Alexandre, rétrogradera vers l’Asie, avec ses Macédoniens. Rome, que rien ne gêne, sans traditions, libre, ignorante, innovera le brigandage organisé. Ni les hymnes védiques, ni les préceptes de Zoroastre, ni la noblesse des premiers Perses, ni l’humanité des vieux Égyptiens, ni le catholicisme des vrais Grecs ne prévaudront. Refoulés vers l’Orient, c’est-àdire vers leurs origines, les Aryens laisseront l’Europe à l’exploitation grossière des races qui en détenaient le nord, Finnois

à mon avis, parlait alors le mieux de toute l'Asie; et si ne rien dire d'affecté ou de déplacé est le fait des Attiques, c'est à bon droit que cet orateur peut être regardé comme tel. Sans cesse à mes côtés était Denys de Magnésie, et, avec lui, Eschyle de Cnide et Xénoclès d'Adramyttium : tous trois étaient les premiers rhéteurs de l'Asie. Leur commerce ne me suffit pas : je vins à Rhodes et m'attachai à ce même Molon, que j'avais connu à Rome, et qui, avocat plaidant au tribunal et écrivain remarquable

mishtoï. Une 2ème explication, l’esclavage grec est différent de l’esclavage que pratiquaient les égyptiens. En effet, en Egypte, tous les individus, à part le Pharaon étaient des esclaves.  « Aucuns grecs n’est l’esclave ou le sujet d’un autre homme » ESCHYLE. Les grecs ne sont que les esclaves de la loi, mais cette loi, ceux sont eux-mêmes qui l’ont produite. Ceux sont les esclaves qui construisent la liberté des citoyens grecs. Les citoyens ne représentent que 10% de la population athénienne, soit environ

début de l'époque classique. En fait, le nom Diotima semble devoir être entendu comme signifiant « honorée par Zeus » par analogie avec theótimos (chez Bacchylide et chez Pindare), ou comme « honorant Zeus » par analogie avec xenótimos (comme chez Eschyle). Socrate présente Diotime comme une femme de Mantinée. S'il s'agit d'un personnage historique, on comprend mieux la référence faite au « diœcisme » évoqué par Aristophane en 193a, et qui avait frappé Mantinée en 385. En revanche, si ce n'est

commerciaux. Pour rendre ces échanges impossibles, Sparte avait crée une monnaie lourde pour ne pas pouvoir la transporter. Il y a une stabilité monétaire. Vers le début du 5ème siècle (490 à ???) : guerre contre les Perses (Iran actuel). C’est une guerre entre les grecs et les perses. Les perses ont voulu envahir la Grèce. C’est une situation dangereuse pour la Grèce car l’armée perse était importante. Les villes grecques se sont alliées. Il y a eu des batailles terrestres et navales. (Guerres médiques)

Chine, et aussi les mers côtières de l’Eurasie. À cette date, on assiste à la première tentative de mondialisation. Les Hittites d’Anatolie avaient essayé de conquérir le Proche-Orient. Pharaon les avait battus à Qadesh en 1299. Les Perses, eux, vont réussir. Les Perses seront l’instrument de cette universalisation. C’étaient des nomades indo-européens (le persan est apparenté à la fois au grec et au sanscrit), héritiers des Scythes, peuple des grandes steppes. Avec eux s’imposèrent le cheval et la

La Westphalie. Situation cadre spatiale : contraire a l’espace traditionnelle du conte. Le Cadre et la narration introduit ligne 5 avec une incidente : « je crois ». Introduction narrateur 1ere personne : contraire au narrateur des contes pers. Famille royale et châteaux ridicule : contraire au conte Ironie : contraire au conte. En revanche, le grotesque est présent dans le roman de formation ou dans le roman picaresque. 2) Parodie du livre de la genèse. | Genèse

Assyriens vers 1800 à 600 av. J.-C. ; des Hittites vers 1500 à 600 av. J.-C. ; des Perses, de 540 av. J.-C. au VIe siècle ap. J.-C. 36 Peuples et civilisations du Proche-Orient ancien C h a p i t re 4 ILLYRIENS ITALIOTES MER NOIRE MER CASPIENNE HITTITES Ha lys INDIENS IRANIENS MÈDES Hattousas GRECS ÉGEENS Malia Phaïstos CRÉTOIS ASSYRIENS Ninive Eup h r SUMÉRIENS Lagash Suse Persépolis Ur PERSES Ti g e re PHÉNICIENS Babylone HÉBREUX Ourouk AKKADIENS at GOLFE

puissance de Zeus, car les dieux accordent parfois le même destin aux bons et aux criminels. Il estime que si l’homme injuste est heureux, et l’homme juste malheureux, le respect pour les dieux risque de s’éroder. II) Les tragédiens A- Eschyle Pour lui, le droit n’est pas du tout séparé de la divinité. Il ajoute au droit une dimension vindicative : les dieux vengent les mortels, car ils sont témoins de tous les crimes commis sur terre ; Sans la crainte, les hommes ne pourraient pas se