Les Personnages Chez Beckett

Fiche de lecture Fin de Partie Samuel Beckett Genre pièce de théâtre du genre de l'absurde Intrigue Il n'y a pas d'intrigue à proprement parler : pas d'histoire d'amour ni de complot politique. Le seul élément qui puisse donner corps à la notion d'intrigue est le fait que Hamm n'est jamais le courage de partir ou de tuer son maître Clov. De plus, le spectateur s'interroge aussi sur le contexte de l'histoire. Nous ne pouvons pas situer la pièce dans le temps et dans l'espace. La mer

l'absence de découpage en actes de la pièce laisse entendre que le temps de la représentation est celui des spectateurs. De nombreux passages ouvrent sur le passé ou sur le futur des personnages. Ce mouvement par lequel se trouvent juxtaposées les états lointains de l'existence rend plus sensible l'action de la mort. Beckett a su donner une épaisseur au temps à la fois mémoire et présage, qui fait de la vie ne éternité de souffrance. 2. Une comédie et des acteurs : Il est un fil qui court tout au

ce langage est hérité de la Préciosité, mais, chez Tartuffe, ce langage dévot est devenu un langage naturel et la dévotion lui fournit une excuse commode : en aimant Elmire, il aime la beauté créée par Dieu. Mais le terme « dévotion »  touche au blasphème en confondant l’amour pour une femme avec l’amour que le chrétien doit avoir pour son dieu. Chez Tartuffe, le « masque » est devenu une seconde nature, puisqu’il imprègne même le langage du personnage. Il est incapable de parler sans recourir à un

représente aucune école, et même pas le manifeste, mais cette tendance regroupe des auteurs (Alain Robbe-Grillet, Michel Butor, Claude Ollier, Nathalie Sarraute, Robert Pinget, Claude Simon, Marguerite Duras) qui ont style différent et qui publient chez le même éditeur parisien dans Les Editions de Minuit, et dont le directeur, Jérôme Lindon ose les publier. Dans ce genre de roman on trouve le refus des formes romanesques, ils contestent le roman de type balzacien et ils sont en cela influencés par

et donc des Lumière. Puis deux passages d’œuvre du 20ème siècle , Jean Genet, Les Bonnes , 1947 et Samuel Beckett, En attendant Godot de 1952 s’attachant tous deux au courant de l'absurde . La photographie de 1961 introduite dans ce groupement de texte est prise d'une représentation théâtrale de En attendant Godot . Dans les quatre composants de ce corpus l'identité de chaque personnages est très vite distingué, en effet de nombreux indices sont présent, ceux-ci contribuant à la démarcation de

leurs vrai identité, Silvia et Dorante tombent amoureux l’un de l’autre comme le montre « Nous voila, grâce au ciel, en conversation réglée » (L9). | Comique de gestes :Échange des costumes entre Maitre / Valet ou servante d’où la confusion sur un personnage pris par une autre. | Dialogue :-Apartés de Silvia, didascalies à part, « Mais en vérité, voila un garçon qui me surprend » (L1-2) qui forme une double énonciation d’une part entre Silvia et elle-même d’autre part entre Silvia et le publique

souvenirs, et demeurent dans le ressassement et une sorte d’attente commune à tous les personnages. - Ils n’arrivent plus à être heureux : ils ne peuvent plus exprimer physiquement leur amour conjugal, et leur complicité diminue, puisque Nell ne rit plus à l’histoire de Nagg, et leurs réactions face à leur fils divergent (36). - La mort semble leur unique perspective : elle est apparemment effective chez Nell : « Elle n’a plus de pouls » (37)/ « Va voir si elle est morte » […] « On

En Attendant Godot, Samuel Beckett Introduction: Samuel Beckett était un romancier, dramaturge et poète moderniste du XX. siècle qui a vécu à Paris pour la plupart de sa vie d'adulte et a écrit à la fois en anglais et en français. Ses travaux souvent proposent de mornes perspectives tragi-comique sur la nature humaine accompagnées par la comédie noire. Il est associé au théâtre de l’absurde, un style de théâtre des années 50 dont l’origine était le traumatisme de la Seconde Guerre mondiale. Parmi

faire du spectacle l'aboutissement nécessaire de l'écriture d'une pièce. Par ailleurs, Vladimir, l'un des personnages de Samuel Beckett, dans la pièce de l'absurde En attendant Godot, qualifie lui-même sa présence en scène comme quelque chose de vraiment insignifiant. On peut alors se demander si le théâtre se contente de refléter l'absurdité du monde, comme l'affirme le personnage de Beckett, ou s'il cherche à lui donner un sens par le travail scénique, suivant la théorie de Ionesco. La fonction

première représentation est censurée. Tartuffe est une satire contre les faux dévots dans un monde où la religion et le pouvoir ne font qu’un, qui sous-couvert de la religion instrumentalisent la religion pour exercer leurs pouvoir sur les autres. Le personnage de Tartuffe s’introduit dans une riche maison bourgeoise. Le maître va tomber sous la coupe de Tartuffe, alors qu’il ne veut que son argent et sa femme. C’est un escroc. Molière écrit donc une pièce politique. Cette scène d’exposition originale