Les Personnages Dans Iphigénie

premières pièces au cours des années 1660 (Alexandre le Grand, 1665, etc.). Mais c'est véritablement en 1667, avec la pièce Andromaque, que le jeune homme rencontra le succès. Les pièces qui suivront, comme Britannicus (1669.), Mithridate 1673), Iphigénie (1674) et Phèdre (1677), feront de Racine un grand nom du théâtre tragique. Par la suite, il fut nommé historiographe du roi Louis XIV, et décida d'abandonner le théâtre. Il composa cependant deux tragédies bibliques à la fine de sa vie (Esther

interdite mais également sa haine des dieux. Comment l'expression de l'amour fait apparaître une violence tragique ? L’amour est d’abord manifesté par les comportements de Phèdre dans son aveu. C’est un amour fatal qui représente un défi pour le personnage, typique au héros racinien. On trouve chez Phèdre un comportement qui témoigne du désordre amoureux né du premier regard. Cette passion folle se traduit sur le plan physique par la juxtaposition des verbes «je le vis, je rougis, je palis » qui

jouées  par  trois  acteurs  nommés  le  protagoniste,  le  deutéragoniste  et  le  tritagoniste.  Il  y’a  également  un  choeur  qui  chante  et  danse  autour  des  acteurs.  Les  acteurs  ne  sont  que  trois  mais  peuvent  jouer  jusqu’à  dix  personnages  chacun  en  utilisant  des  masques.  Ainsi,  même  les  rôles  féminin  sont  interprétés  par  les  acteurs  qui  sont  exclusivement  masculins.  Les  acteurs  et le choeur  sont également  parés  de  costumes  pour représenté  le sentiment général des pièces

tragédies. D'une forme rigoureuse, elles respectent à la lettre les règles imposées par l'esthétique classique de l'époque. L'unité de ton permet de mettre en valeur l'essence tragique ; l'unité de lieu souligne le huis clos où se déchirent les personnages ; et l'unité d'action et de temps montre l'intensité de la crise qui bouleverse les héros. Dans les préfaces qui accompagnent ses œuvres, l'auteur dévoile sa conception du genre tragique. Ainsi, dans la première préface de Britannicus (1669), il

illustrant le père fondateur de l'école des médecins. Sur son dossier il y a gravé son nom, la façon dont sont ses mains nous montrent que la maison de Médicis est bien solide. Le pourpre renvoie au pouvoir, la royauté. Il y a un arbre à la droite du personnage, avec un papier enroulé illustrant la virtuosité de l'artiste (montrant son talent aux spectateurs). Il regarde vers l'avenir, sa succession. b) La médaille : La médaille est plus facile à transporter que les tableaux, ils réalisent des tableaux

reçu une éducation jésuite et Racine une formation janséniste. Corneille s’inspirait d’histoire de l’antiquité latine et Racine d’histoire classique grecques . Les personnages de Corneille sont forts, ils contrôlent toujours leur passions parce-que ils sont dominés par la raison et ceux de Racine sont perçu comme étant des personnages faibles, ils s’abandonnent aux passions dont ils sont victimes. 11) Racine appartient au mouvement littéraire de la tragédie. 12) Le roi qui est au pouvoir pendant

un auteur classique qui a surtout écrit des tragédies. Il respecte les contrainte de la tragédie: la mort des personnages principaux, la structure en cinq actes et les dialogues en alexandrins. -Ses œuvres: La Thébaïde(1664) Alexandre le Grand(1665) Andromaque(1667) Les Plaideurs (1668,unique comédie de Racine.) Britannicus(1669) Bérénice(1670) Bajazet(1672) Mithridate(1673) Iphigénie(1674) Phèdre(1677) Esther(1689) Athalie(1691) 2.L’Œuvre: -C’est une tragédie en cinq actes et en alexandrins

Molière) et Alexandre le Grand à la fin de l’année suivante, il connaît son premier grand succès avec Andromaque publié en 1667. Les années suivantes, les succès s’enchaînent avec Bérénice publié en 1670, puis Bajazet en 1672, Mithridate en 1672, Iphigénie en 1674 et Phèdre en 1677. Suite à cela, il est reçu en 1673, à l’Académie française. Après Britannicus et avant Mithridate, Bérénice est l’une des trois tragédies romaines de Jean Racine. Cette dernière œuvre a été publié en 1670. C’est une pièce

intemporelles. Ses œuvres majeurs : la thébaïde ( 1664 ) Alexandre le Grand ( 1665 ) Andromaque ( 1667 ) Les Plaideurs ( 1668 ) Britannicus ( 1669 ) Bérénice ( 1670) Bajazet (1672 ) Mithridate ( 1673 ) Iphigénie ( 1674 ) Phèdre (1677 ) Esther ( 1689 ) Athalie ( 1691 ) Son écriture : Le théâtre de Racine peint la passion comme une force fatale qui détruit celui qui en est possédé. On retrouve ici les théories jansénistes : soit l'homme a

doivent-ils aller plus loin en construisant leur pièce comme Beaumarchais pour Le mariage de Figaro, « de façon à y faire entrer la critique d’une foule d’abus qui désolent la société » ? Le rôle du théâtre est de critiquer la société. A l’aide de personnages caricaturaux, le théâtre peut critiquer les mœurs : certaines personnes ont des traits de caractère particuliers, encore accentués dans les pièces. Molière a dit : « Je ne sais s'il n'est pas mieux de travailler à rectifier et à adoucir les passions