Les Petits Lapins joyeux

Collection À tous les vents Volume 123 : version 1.02 2 Du même auteur, à la Bibliothèque : Clair de lune Mademoiselle Fifi Miss Harriet Mont-Oriol La main gauche Pierre et Jean Yvette Sur l’eau L’inutile beauté La maison Tellier Monsieur Parent La petite Roque Le Horla Une vie Les sœurs Rondoli Fort comme la mort Le docteur Héraclius Gloss et autres contes Les dimanches d’un bourgeois de Paris Le rosier de Madame Husson Contes du jour et de la nuit La vie errante Notre cœur Bel-Ami 3 Contes de la

plus que tirer des pigeons de la fenêtre de son salon ou du haut de son grand perron. Le reste du temps il lisait. C'était un homme de commerce aimable chez qui était resté beaucoup de l'esprit lettré du dernier siècle. Il adorait les contes, les petits contes polissons, et aussi les histoires vraies arrivées dans son entourage. Dès qu'un ami entrait chez lui, il demandait : — Eh bien, quoi de nouveau ? Et il savait interroger à la façon d'un juge d'instruction. Par les jours de soleil il faisait

l’université américaine de Seattle. Durant le récit, différents personnages marginaux atteints d’une sorte de folie interviennent, chacun ayant un univers assez énigmatique bien à part. L’un dessinant sans cesse des paons bleus, l’autre redoutant un lapin qui fait dégringoler des gros cailloux sur sa maison, … Le narrateur tisse des liens forts avec ceux-ci, mais plus particulièrement avec Bari, un clochard ou vagabond soufi d’origine turque aux pensées parfois incompréhensibles. Celui-ci semble être

quelques instants de panique, je me précipitai vers la salle de bain espérant que personne ne m'avait vue couverte d'hémoglobine. Après de longues minutes sous la douche à frotter comme une folle pour enlever les traces, je descendis pour prendre mon petit-déjeuner. J'entendis ma mère et mon grand-père discuter : "- C'est tragique ce qui est arrivé à ce pauvre Youen la nuit dernière, mutilé par une bète sauvage, quelle tristesse, dit ma mère - Et pense à ses parents, répondit mon grand-père Un frisson

sept enfants, tous des garçons… »  Titre : …………………………………………………………………………………………………. « Un jour, sa mère, ayant cuit et fait des galettes, lui dit : « Va voir comme se porte ta mère-grand, car on m’a dit qu’elle était malade. Porte-lui une galette et ce petit pot de beurre… » » Titre : ………………………………………………………………………………………………… « Le loup gonfla ses joues, souffla, souffla de toutes ses forces, et la maison de paille s'envola. » Titre : …………………………………………………………………………………………………. « Au bout de cent ans, le Fils

.....................................................5 2 La famille..............................................................................14 3 Le collège ..............................................................................27 4 La petite ville ....................................................................... 34 5 La toilette..............................................................................41 6 Vacances ............................................................

la mine. Catherine se Zacharie et Chaval, recueillaientle leva la première pour réveiller ses frères, charbon, dans une position inconfortable. Zacharieet Jeanlinet préparerle petit Etienneétait moins agile que la jeune déjeuner. Alzire, Lénore et Henri, les plus Catherine et le déplacement des berlines petits,restaientdormirplus longtemps. le faisait souffrir. Malgré tout, il était Toussaint Maheu se levait aussi, laissant content de travailler. Dix heures arrivèrent sa femme - la Maheude

mine). CHAPITRE 2 Il était quatre heures et comme tous les matins, la famille Maheu se levait pour aller travailler à la mine. Catherine se leva la première pour réveiller ses frères, Zacharie et Jeanlin et préparer le petit déjeuner. Alzire, Lénore et Henri, les plus petits, restaient dormir plus longtemps. Toussaint Maheu se levait aussi, laissant sa femme - la Maheude - et leur dernière fille - Estelle - dans le lit. Bonnemort - le grand-père - rentrerait de son travail de nuit, un peu

retournement et inversion des images, il dévalorise les victimes  accumulation asyndétique « eh bien manger mouton, canailles, sottes espèces » Berger présenter comme « coupable de tous les maux » oppresseur de tous les animaux Transformat* des crimes en petite affaire, emploi du gérondif «  en les croquant » et tout cela se transforme en une farce tragique.  « beaucoup d’honneur » Intelligence du renard puisqu’il se disculpe lui-même à la faveur des prédateurs, il se fait oublier et arrive à justifier

n’attrape que la grosse toile du matelas. Elle a dû faire un mauvais rêve et grimper dans le lit de maman. Normal : c’est le jour de la Moisson. Je me redresse sur un coude. Il y a suffisamment de lumière dans la chambre à coucher pour que je les voie. Ma petite sœur Prim, pelotonnée contre ma mère, leurs joues collées l’une à l’autre. Dans son sommeil, maman paraît plus jeune, moins usée. Le visage de Prim est frais comme la rosée, aussi adorable que la primevère qui lui donne son nom. Ma mère aussi était