Les Politiques Contra Cycliques

... 47 4. Les nouvelles règles de dépréciation en réponse à la crise et aux effets procycliques de la norme IAS 39 ................................................................................ 48 4.1. La nécessité d’une norme qui devienne contra-cyclique et d’une meilleure anticipation des évènements de marché .................................................................. 48 4.2. 4.3. Une méthode encore incertaine .................................................................... 50 Les

d’épargne car ne consomme pas tout et permet d’investir. Dans les 70’s, les salaires augmente relativement vite au détriment de l’EBE et le taux d’E tombe de 20% à 12% vers 1986 qd le tx d’épargne chute la conso augmente alors plus vite que le revenu. Politique de rigueur en 1980 alors le tx d’E cesse de baisser dc consommation cesse d’aug plus vite que la production car revenu augmente moins vite que la production 2) L’évolution de la structure de la consommation a. La loi d’Engel

Wood. Il n’y a aucune règle de fonctionnement du système----non-système = expression de Christian de Boissieu---- alors pas de régulation. FMI---fonction d’aides surtout des pays en developpement---oblige les pays à avoir un plan de rigueur ( politique restrictive—pol monétaire, budgétaire stricte) qui va à l’encontre du but qui est la relance de la croissance. Ceux qui ont accepté le crédit du FMI ont plus de problème aujourd’hui que ceux qui l’ont refusé. Le FMI voulait prêter à la Chine mais

facile à échanger à travers le monde. C'est un actif international, ce qui implique que sa valeur n'est pas tributaire de la conjoncture économique ou politique d'un État particulier. L'or est typiquement un investissement refuge : il n'offre ni intérêt, ni dividende, ni coupon. Il ne comporte pas de risque de fluctuation en fonction de la politique, du niveau de la dette ou des interventions d'une banque centrale. L'or permet de se protéger contre l'inflation ou contre les variations de change.

experts sont : Des données financières liées à Des données liées le marché l’emprunteur et au secteur d’activité Solidité financière Position du secteur dans l’Economie Réputation Position de l’entreprise dans le secteur Politique financière, autofinancement Niveau des profits et leur évolution Niveau de technologie et des performances productives de l’emprunteur Evaluation du management de l’emprunteur Niveau des garanties Les avantages et les inconvénients de ce

7 II. L’Union Economique et Monétaire Page 8 A. Les raisons du choix d’une monnaie unique Page 8 B. La constitution de la zone euro Page 8 C. Le fonctionnement de l’UEM Page 12 1. Les acteurs de la politique monétaire Page 12 2. Les règles de l’Eurosystème Page 14 3. Les difficultés de l’Eurosystème Page 14 III. Les avantages et inconvénients de l’appartenance à l’Euro Page 15 1. Avantages Page 15

Découverte de l’économie Introduction à l’économie Les sciences économiques font partie des sciences sociales. Ces sciences ont pour objet l’étude des comportements humains en société. Sociologie, sciences politiques, ethnologie, psychologie sociale sont aussi, avec les sciences économiques, des sciences sociales. Chacune explore un domaine particulier de la vie sociale. L’objet des sciences économiques : Il se résume à une question essentielle : Comment satisfaire au mieux des besoins humains

tique fiscal La politique fiscale : objectifs et contraintes Jean-Marie Monnier Professeur d'économie Centre d'économie de la Sorbonne UMR du CNRS 8174 Université Paris I-Panthéon Sorbonne Après la seconde guerre mondiale, et pendant de longues années, les politiques monétaire et budgétaire étaient privilégiées par les économistes. A partir de la fin de la décennie 1970 alors que la crise économique s'installait, les attitudes à l'égard de la fiscalité ont changé, principalement en raison

comme néfastes. Les « Business Cycles » expliqués par l’innovation : Pourtant certains analystes considèrent les fluctuations comme plutôt souhaitables, ceci est explicite chez Schumpeter. Les causes des cycles longs sont endogènes, le caractère cyclique de l'économie est une caractéristique inéluctable du capitalisme. L'État ne peut pas intervenir et il n'est pas souhaitable qu'il le fasse. En effet Schumpeter postule que sans cycle, il n’y a pas de croissance. Il affirme que le progrès technique

(c’est le cas actuellement), comme elles pourraient amener à une surestimation de ces mêmes besoins au bout de quelques années d’un cycle défavorable ou en cas de dégradation rapide des notations de certaines contreparties. C’est le caractère pro-cyclique des accords de Bâle II. Afin d’amortir l’impact de ce phénomène de pro-cyclicité, plusieurs spécialistes privilégient la solution du provisionnement dynamique. Il s’agit d’une approche qui consiste à provisionner les pertes attendues sur un prêt