Les Politiques Contra Cycliques

positive pour les PDEM entre la croissance de la protection sociale et la croissance économique : un niveau de protection sociale élevé s’accompagnait d’un niveau élevé de croissance économique. Mais par la suite, les dépenses sont devenues contra cycliques c'est-à-dire qu’elles augmentaient lorsque la croissance économique ralentissait dans le but de pallier aux risques plus nombreux en période de récession. La crise qui naît dans les années soixante dix se traduit par une accélération des dépenses

les mouvements systématiques certains sont à sens unique (ne changent jamais de sens) et d’autres ont des retournements, on parle alors d’alternance. Mais il faut bien évidemment que les diverses phases se succèdent avec régularité. - Le terme cyclique renvoie à l’amplitude du mouvement, qui doit être plus ou moins constante, alors que l’intervalle de temps séparant les différentes phases dépend de la périodicité. Ainsi cyclicité et périodicité ne sont pas des notions qui se confondent. En pratique

rigidité, qui se traduit par un chômage de longue durée particulièrement élevé même si le marché du travail s’est fortement flexibilisé depuis les années 1990. Croissance de l’emploi Etats-Unis Japon France Forte Assez forte Faible Variation du chômage Cyclique Hausse lente Chômage de masse Durée du chômage Courte Courte Longue Réglementations du marché du travail Faible Moyenne Elevée 1. Sur le marché du travail, le chômage apparaît lorsque la demande d’emplois des travailleurs (offre de travail) est

entre 2013 et 2018 constituent un des principaux défis auquel le secteur bancaire fera face. L’impact réel de la réforme Bâle III dépendra de l’attitude des banques qui devront modifier en profondeur leur stratégie, leur structure de coût et leur politique de rémunération des actionnaires. Une réforme qui aura par conséquent, un impact sur l’économie mondiale assurant comme estimé, par les gouverneurs et les superviseurs, une stabilité et une performance économique à long terme. MOTS-CLÉS Réforme

2 Analyse démographique : approches théoriques Thèses populationnistes : - XVIe siècle avec J. Bodin, mercantiliste français : « il n’y a de richesse, ni de force que d’hommes ». - A. de Montchrétien dans son Traité d’économie politique (1615) : effectif de la pop = capacité à ( les richesses. - Pays les + peuplés = pays les + dynamiques. - Alfred Sauvy et l’ethnologue danoise E. Boeserup : ( de la pop = facteur de performances économiques. - A. Sauvy : concept

1ère Vice-présidente déléguée aux transports, déplacements et infrastructures : Bernadette LACLAIS 2ème Vice-président délégué à la formation tout au long de la vie : Philippe MEIRIEU 3ème Vice-présidente déléguée au logement, à la politique de la ville et aux solidarités : Marie-Odile NOVELLI 4ème Vice-président délégué aux finances, à la décentralisation, rapporteur général du budget et du Contrat de projets Etat - Région : Jean-François DEBAT 5ème Vice-présidente déléguée

...... 14 Un modèle à suivre pour une croissance durable ..................................................... 14 Favoriser le développement des entreprises ............................................................ 15 C. Indépendances des politiques monétaires et budgétaires : facteurs clef de résistance à la crise .............................................................................................................................. 16 Conclusion ....................................

chute finalement moins qu’à prix donnés (E’ est à gauche de 34 1). E E0  Un pouvoir de marché plus faible diminue la réponse de P à W donné  la variation de la production a moins d’effet sur P, la pente de AS est plus faible  un choc ou une politique de demande a un effet plus important sur la production que sur le prix (graphique de droite). P P AS (forte élasticité des prix/Y) E’ E1 E0 E’ E1 AD AD’ Y E0 AS (faible élasticité des prix/Y) AD AD’ Y La demande globale

Boeing et EADS : Gouvernance et politique financière comparées Michel ALBOUY, professeur à l’Université Pierre Mendès France Christophe BONNET, professeur à Grenoble Ecole de Management Objectifs pédagogiques Ce cas est destiné à des étudiants en gestion de niveau master (master en sciences de gestion, ESC 3ème année). Il permet d’aborder la question des liens entre structure de propriété, gouvernance et politique financière. Les étudiants ayant suivi un cours de gouvernance d’entreprise sont

les banques internationales ; • mise en place d’un ratio dit « d’effet de levier » ; • redéfinition des fonds propres (Tier 1 notamment) ; • une révision de la couverture de certains risques ; • la mise en place de mesures contra-cycliques. Pour disposer de la liquidité nécessaire pour survivre 30 jours, la gestion des risques semble nécessiter une fourchette de 8 et 9 % du bilan bancaire[9]. Résultats[modifier] Les accords de réglementation bancaire Bâle III ont ignoré