Les Portes de la gloire

Érasme démontre que les exploits de guerre sont importants au 16e siècle. Les gens ont soif de gloire. Qu’est-ce qu’il y a de plus fou que d’entamer ce genre de lutte alors que de chaque côté on en retire plus de mal que de bien? Imaginer un soldat qui jette son bouclier et s’enfuit. Il est aussi lâche que sage. Son amour-propre passe en deuxième, car sa sagesse lui dit de se protéger. Pour tirer leur gloire, il y en a qui sont prêt à tout même à se causer du tort. Cette folie est parvenue jusqu’à nous

il existe un sertain nombre d'exception. Ce pricipe énoncé par la loi de 6 Frudidor an 2: Aucun citoyen ne pourra porter de nom ni de prenom au ce que exprimer dans son acte de naissance. Il existe 2 prescription : Prescription extinctive et prescrition acquisitive ( est-ce une personne peut acquérir à la suite d'une utilisation prolongée un nom différent de celui qu'il devrait porter --> Le nom de famille est incessible. On peut pas le donner, ni l'aliéner. Ce principe est pourtant un princip absolu

une volonté personnelle de la part du Pape de renforcer sa puissance. En répondant à son appel, les armées croisées deviennent, en un sens, le bras armé du chef de l'Eglise qui peut ainsi donner à sa volonté les moyens d'être réalisée. La quête de gloire personnelle, de possession territoriale ou la volonté pour les grandes villes italiennes (Pise, Gênes, Venise) d'acquérir de nouveaux comptoirs commerciaux ne pèse à vrai dire rien sur la motivation de la première croisade. La conjoncture politique

mesure l’ampleur de la tache : établir un pont entre la relativité de sa condition et l’absolu de la Perfection. Dont il sait depuis le 3ème voyage lors de sa réception que seule est admirable la Loi unique et multiple qui les relie. La figurine des Portes de la Lumière lui indique que « seuls les justes entreront ». Il comprend mieux dorénavant pourquoi il doit promouvoir la Justice. Mais quel est le rapport entre le secret et la Justice ? En quoi leur dynamique entraine-t-elle une mutation de

demande à vous mes camarades de prendre un instant pour lire cet article qui j’espère vous montrera a quel point la lecture est bénéfiques et tous ce quelle peut vous apporter. Cela ne vous prendra que quelque minutes et peut changer la vision que vous porter sur la lecture. Tout d’abord je me demande quel sens lire à pour vous je vais vous dire pour moi quelle sens à la lecture au premier abord et ensuite au plus profonds de mes convictions intimes. Lorsque l’on lit on exerce cinq opérations mentales :

staliniens, le principe est simple : l’accusé est poussé à se porter coupable mais tout est orchestré dans les règles. Staline fait surveiller la population et développe les services secrets qui seront eux-mêmes souvent « purgés » comme il se plaisait à le dire. Ces procédés ne sont pas spécifiques à Staline, ils ont de nombreux antécédents et successeurs historiques, en Russie et ailleurs, mais Staline les a industrialisés et portés à un haut degré, au point que la machine continuera à fonctionner

mâts » : renvoient à la navigation => complément du nom* Pas une simple mer mais renvoie à Jeanne => mer de cheveux, mer de tresses * Synecdoque : « forts cheveux » = forte Jeanne· arrivée au port représentée par « : »III) Une destination sensuelle, exotique et absolue (v.16-20)Vers 16 : un port retentissant => destination sensorielle* leur relation intime va toucher à sa fin* le bruit s’étale sur le temps/synesthésie qui décrit l’idéal Baudelairien par les sensJeanne = oasis dont il vient

 Christophe Colomb et la découverte de l'Amerique A. Christophe Colomb est né entre le 1ère Janvier 1451 à Gênes, mais cela n'est pas sur, peut-être que Gêne a dis cela pour la gloire de sa ville.Gênes (est une ville italienne, premier port italien et deuxième port de la Méditerrané,cette ville est essenciel pour son futur parcour car il est née près des bateaux. Il est mort le 20mai 1506 à Valladolid,en Espagne, c'est un navigateur italier de la fin du XVe et du début du XVIe siècle au

genre qui agitèrent les quinze premières années du dix-neuvième siècle se brisèrent donc devant ce rocher, peu distant des côtes de l’Andalousie. Si le nom de l’Empereur vint bruire jusque sur cette plage, il est douteux que son fantastique cortége de gloire et les flamboyantes majestés de sa vie météorique aient été comprises par les saintes filles agenouillées dans ce cloître. Une rigidité conventuelle que rien n’avait altérée recommandait cet asile dans toutes les mémoires du monde catholique. Aussi

devant le vestibule d’Ulysse, sur le seuil de la cour ; la déesse, sous les traits de l’étranger Mentès, roi des Taphiens, tient en sa main la lance étincelante. Elle trouve d’abord les audacieux prétendants ; ils s’amusaient à jouer aux dés devant les portes, couchés sur des peaux de bœufs qu’eux-mêmes avaient égorgés ; des hérauts, des serviteurs diligents s’empressaient les uns de mêler le vin et l’eau dans les urnes, les autres, avec des éponges aux pores nombreux, lavaient les tables, les plaçaient