Les Poupées russes

cabine, cabossée et fendue par une pioche, et qui semble saigner, fut placée dans une rue de Soho et fut enlevée sous peu par les autorités septembre 2006 : place une poupée gonflable en taille réelle à Disneyland (Californie), qui porte un uniforme orange comme ceux du camp de Guantánamo, au milieu du décor du parcours des montagnes russes. La sécurité de Disneyland bloque le train, puis interpelle un complice (Mr Brainwash) qui le filme, puis le libère faute de preuve, il réussit ainsi à sortir avec

jeunesse perdue, et dans laquelle, lentement, nous découvrions l’ombre d’un amour maudit dont la mémoire aurait à la poursuivre jusqu’à la fin de ses jours. Au fil et à mesure que j’avançais, la structure du récit commencé à rappeler l’une de ces poupées russes qui contiennent d’innombrable miniatures d’eux-mêmes à l’intérieur. Étape par étape, la narration se décomposait en milles histoires, comme si le récit aurait pénétré dans une galerie de miroir et que son identité se scindait dans des douzaines

et qui sont dans les deux camps ? Lothar meurt à la guerre. Noël vient, le cadeau de Greta est une poupée, celui de Kristina un ours en peluche. Kristina croit que c’est une erreur, que la poupée est pour elle, et conçoit un intense sentiment de jalousie. En cachette, elle joue avec la poupée et la remet exactement dans la position où elle l’a trouvée. Un jour, elle n’a pas le temps de ranger la poupée et Greta se rend compte que Kristina a joué avec. Pour se venger, Greta lui révèle qu’elles ne sont

et II), les idées qui les appuient (A et B), et les exemples/idées qui illustrent ou appuient les précédentes (1.et 2.). Assurez-vous que chacune des idées répond d’abord au paragraphe (A ou B) puis à la partie (I ou II) concernés. Pensez aux poupées russes : la plus petite rentre dans la plus grosse ! - Pensez aux connecteurs logiques, conjonctions de coordination, locutions conjonctives de subordination, etc.… : premièrement, deuxièmement, troisièmement / d’une part, d’autre part / tout d’abord

comparaisons avec une machine (« paraissait mue par une mécanique ») ou avec un automate (« tendait le bras ainsi que ces automates dont on presse le ressort ». Dans sa démarche, Norine est déshumanisée à tel point d’être associée à une machine ou à une poupée mécanique. On constate donc une évolution, une progression dans la déshumanisation puisque l’automate ou la machine n’ont plus rien de vivant ou d’organique, contrairement au règne animal ou végétal. Norine est matérialisée, pétrifiée en objet, elle

la chronologie : On suit les aventures du héros, avec éventuellement des analepses (retours en arrière) et des prolepses (anticipation sur l’histoire). 2. Le récit à tiroirs : Le récit principal inclut d’autres récits, selon la logique des poupées russes. Le Commentaire de texte : Introduction  1. Alinéa 2. Une accroche (auteur/contexte littéraire, siècle, mouvement littéraire/ genre du texte) 3. Présentation du texte à commenter (auteur/titre souligné sauf poésie et poèmes

objets. Un objet est une "chose", un "machin", un "truc", … Pour être plus précis, je dirai qu'un objet est une entité: nous voilà bien avancés! Eh bien si, il y a la notion de contenant. Dans un objet, il y a … d'autres objets. C'est un système de poupées russes. On peut dire qu'il y deux types d'objets dans un objet: des propriétés: ce sont les caractéristiques physiques de l'objet (son nom, sa couleur, sa dimension, …) des méthodes: une méthode de l'objet, c'est ce qu'il sait faire (ex: pour un magnétoscope

le devenir de la matière première puis va la travailler. • « Plus lointains encor « (v.22) « d’autres usines » : l’horizon est fermé, bloqué par l’industrie. • Il s’agit d’un univers circulaire, disposé en cubes comme les poupées russes. Il s’agit d’un procédé de duplication. • Le monde industriel est cerné horizontalement comme le révèlent les anaphores de « Et » connotant la juxtaposition (v.21, 22, 23). II/ La déshumanisation • Les usines sont vues de l’extérieur

cet endroit que le regard du spectateur est focalisé. Ce tableau plutôt de format carré, présente par son sujet et par sa construction une mise en abîme (une même image est reproduite plusieurs fois, créant un effet de profondeur) .Telles des poupées russes, des carrés de plus en plus petits s’emboîtent dans le tableau: il y a d’abord le carré de l’oeuvre en elle-même, puis celui qui est formé par la toile posée sur un chevalet. Enfin, il y a un 3ème carré, plus petit délimité par le bras droit du

croisement des deux diagonales correspond à la tête du peintre de dos. C’est à cet endroit que le regard du spectateur est focalisé. Ce tableau plutôt de format carré, présente par son sujet et par sa construction une mise en abîme. Telles des poupées russes, des carrés de plus en plus petits s’emboîtent dans le tableau : il y a d’abord le carré de l’oeuvre en elle-même, puis celui qui est formé par la toile posée sur un chevalet, dans lequel est représenté le peintre en action et le portrait qu’il