Les Procédés Du Cid

KAIL Julie     07/12/20Devoir de littérature : Le Cid et Bérénice    “Une pièce de théâtre, c’est quelqu’un. C’est une voix qui parle, c’est un esprit qui éclaire, c’est une conscience qui avertit”, ces propos sont tenus par Victor Hugo sur le théâtre. Le théâtre au sens figuré désigne un lieu où se déroule une action importante, le théâtre comme art renvoie à cette définition. En effet, la scène et la représentation théâtrale permettent bien des choses et dépeignent bien des idées, agissant

* La synecdoque La partie pour le tout. * La périphrase  Utiliser une expression détournée pour désigner une réalité * Antonomase Remplacer un nom commun / un nom propre (« un Don Juan » -> un séducteur) * Antiphrase Un procédé de l’ironie -> dire une chose pour signifier son contraire (« La dictature c’était le bon temps ») C) Les figures d’opposition * Antithèse Consiste à rapprocher 2 mots dont le sens est ou devient différent. (« Seigneur, je le vois bien

apparent dans les vêtements) – – b) La reprise du procédé classique de la scène de confidence – – Reprise du procédé classique de la scène de confidence pour la présentation de l'essentiel de l'intrigue (voir, par exemple, Racine au début de Phèdre qui s’ouvre sur un dialogue entre Hippolyte et son précepteur Théramène, ou Molière dans l’exposition des Fourberies de Scapin qui débute par un échange entre Octave et Sylvestre, ou encore Le Cid de Corneille avec le dialogue entre Chimène et sa gouvernante

profondeur. De cette façon, les figures ou objets représentés sur une surface plane donnent l'illusion du relief enjouant des passages subtils de la lumière à l'ombre pour modeler les formes. Léonard de Vinci et Giorgione ont été les précurseurs de ce procédé développé par le Corrège, et pratiqué notamment par Titien, Le Caravage, Vélasquéz, Rembrandt, De la Tour, etc... Tableau, dessin fait sans melange d’autres couleurs que du blanc et du noir, ou du blanc avec une seule couleur comme les camaieux Le

art de l’analyse, puisqu’ elle dépeint à merveille les sentiments, les mœurs, ou encore les sensations de la princesse de Clèves ou du duc de Nemours. Ainsi nous pouvons percevoir le moindre sentiment, la plus petite des émotions et ceci avec des procédés bien établis. Par exemple, nous retrouvons dans La princesse de Clèves l’utilisation accrue d’hyperbole qui permet d’une manière élégante et raffinée d’exprimer la passion amoureuse. Cette figure de style permet de mettre en relief la souffrance

entrent en concurrence avec son désir de vengeance. Le monologue de la scène 2 de l’acte V va alors mettre en scène l’hésitation du personnage. Celle-ci mène un véritable combat intérieur. Nous allons analyser cette lutte intérieure en analysant les procédés qui font de ce passage un monologue délibératif. I. Une délibération intérieure. Les éléments de l’argumentation Le discours de Médée est bien un monologue puisque celle-ci est seule sur scène. Mais c’est un monologue particulier car Médée

* Le contraste comme maitre-mot du mouvement. * Usage intensif de paradoxes, hyperboles, métaphores et antithèses, pour étonner et surprendre le lecteur. * Le mouvement et le déséquilibre sont importants. * Utilisation répété d’un procédé :l’hypotypose (definition du dico :  figure de style consistant en unedescription réaliste, animée et frappante de la scène dont on veut donner une représentation imagée et comme vécue à l'instant de son expression ) Carac abstraites : * Exagération

Les figures de style sont tous les procédés utilisés par l'auteur pour attirer l'attention du lecteur et être persuasif. IMAGE Image : on parle d'image lorsque, dans une expression, apparaît un sens figuré qui demande une interprétation pour comprendre le message. Comparaison : rapprocher 2 termes en mettant en relief un point qui leur est commun à l'aide d'un outil de comparaison.  image qui établit clairement le lien analogique entre comparant et comparé à l'aide d'un outil comparatif.

remplace le soleil. Anaphore (féminin) : Une anaphore est un procédé qui consiste à commencer par le même mot les divers membres d'une phrase. Exemple dans Horeca de Corneille (acte IV, scène 6) : « Rome, l'unique objet de mon ressentiment ! / Rome, à qui vient ton bras d'immoler mon amant ! / Rome qui t'a vu naître et que ton cœur adore ! /Rome enfin que je hais parce qu'elle t'honore ! » Antiphrase (féminin) : Procédé qui consiste à exprimer une idée par son contraire. L'ironie repose

pour souligner une similitude ou une opposition. Aussi établit-il une correspondance entre deux éléments d'un énoncé au moyen de reprises syntaxiques et rythmiques. Exemple : "Rodrigue, qui l'eût cru ? Chimène, qui l'eût dit ?" (Pierre Corneille, Le Cid [III, 5], 1637.) Exemple : "Quel transport me saisit ? Quel chagrin me dévore ?" (Jean Racine, Andromaque, 1667.) c. L'accumulation et la gradation L'accumulation énumère plusieurs termes qui se rapportent à un même thème ; la gradation les ordonne