Les Précieuses Ridicules Scène 11

Au théâtre, par exemple, le changement est perceptible. On parle de tragédie "sensible", de comédie "larmoyante". Voltaire écrit Nanine, Diderot invente le drame bourgeois, qu'il expose dans Entretien sur le fils naturel. Il s'agit d'exalter sur scène la vertu, l'honneur, les valeurs morales pures qui triomphent toujours des vices. L'amour, notamment filial, le père étant le pilier de la société française à cette époque, garant des valeurs, est représenté, et le fils, souvent se rebelle contre une

l'éternité, avec les combats courroucé, l'autre. C'est évident que le centre de l'enfer va être un cauchemar pour tous ceux qui vont entrer. Le fragment tiré du "Cid" de Corneille (p. 136-137) et le fragment tiré de "Phèdre" de Racine (p.156) mettent en scène deux personnages qui se trouvent devant un choix. En quoi consiste le tragique de ces deux situations ? Dans l'extrait « Ô Dieu, étrange peine !, » du « Le Cid, » un œuvre par l'écrivain Pierre Corneille, la tragédie vient du choix que le héros Rodrigue

THÉÂTRE DE LA BASTILLE 76 rue de la Roquette - 75011 PARIS www.theatre-bastille.com La Princesse de Clèves dossier d’accompagnement Mise en scène et interprétation Marcel Bozonnet D'après le roman de Madame de La Fayette 9 janvier > 19 janvier 2014 à 21 h Dimanche à 17 h. Relâche le 13 janvier. Service des Relations avec le Public Nicolas Transy : 01 43 57 57 17 / nicolas@theatre-bastille.com Elsa Kedadouche : 01 43 57 70 73 / elsa@theatre-bastille.com Christophe Pineau : 01 43

ce qui se cache. En effet, certains moments du roman ne peuvent que dégouter le lecteur ce qui efface cette image de « communion heureuse » ; avec notamment des propos vulgaires comme dans le chapitre 5 : « Les propos des biensyvres » lors de la scène ou Grandgousier est ivre, sous l’emprise de l’alcool montrant ainsi le mauvais côté de la boisson. Le chapitre 13, nous retrouvons « torche-cul », Gargantua qui urine sur les parisiens et finit même par les noyer. Son père, quant à lui, reste également

les scènes (page 33 et suivantes). Bonne lecture ! Résumé Acte I Scène 1 : Lisette, femme de chambre de Silvia, encourage sa maîtresse au mariage avec le jeune homme, Dorante, que son père, M. Orgon, a choisi. Mais Silvia lui remontre que la société offre bien des exemples de mariages malheureux, parce que les hommes dissimulent leurs véritables sentiments sous le masque de la mondanité. Scène 2 : Pour décider de son destin en toute connaissance de cause, Silvia demande à son

adverbe aussi, ensuite, puis) ne relient les phrases entre elles. Le texte propose donc une syntaxe très simple, très épurée. b. Le choix de phrases simples, sans lien de coordination, donne au lecteur l’impression qu’il assiste en quelque sorte à la scène évoquée. Le narrateur est effacé, seules les actions des personnages sont transcrites. Ces choix manifestent donc un parti pris de neutralité, une mise en valeur brute de l’action au détriment des circonstances. C’est au lecteur de les reconstituer

adverbe aussi, ensuite, puis) ne relient les phrases entre elles. Le texte propose donc une syntaxe très simple, très épurée. b. Le choix de phrases simples, sans lien de coordination, donne au lecteur l’impression qu’il assiste en quelque sorte à la scène évoquée. Le narrateur est effacé, seules les actions des personnages sont transcrites. Ces choix manifestent donc un parti pris de neutralité, une mise en valeur brute de l’action au détriment des circonstances. C’est au lecteur de les reconstituer

mouvement de codification du langage. Le XVIe siècle s’était occupé d’enrichir la langue française pour la rendre rivale des autres langues anciennes. Les auteurs accueillaient volontiers toute invention. Le XVIIe siècle se charge de la rendre plus précieuse, de l’épurer. Il est plus exigeant et fait la différence entre l’exercice de la pensée et la pratique littéraire ainsi que l’écriture à des fins non esthétiques. L’Académie fran- 4 2 LA VARIÉTÉ DE LA LITTÉRATURE FRANÇAISE DU XVIIE SIÈCLE çaise

retrouve, dans notre passage, pour une « matinée à l’Anglaise » : moment de silence et d’intimité, où les cœurs s’épanchent, où les âmes s’unissent, moment d’exception dans le roman puisque le « froid Wolmar » lui-même est gagné par l’intensité de la scène. Lire cette lettre de Saint-Preux à Milord Édouard, c’est, d’une certaine manière, pénétrer dans un cercle de perfection, délimité nettement dans le temps et l’espace. Cette perfection se décline de diverses façons. C’est l’élaboration progressive

Candide est un élève A. solitaire. A. critique. B. honnête. B. distrait. C. gâté. C. attentif et admiratif. 9.Candide est A. le bâtard de la sœur du baron. B. un orphelin adopté. C. le fils bâtard du baron. w 10. Le mot Pangloss 11. La philosophie de Pangloss A. ne signifie rien. A. est réaliste. B. vient du grec signifiant qui est philosophe. B. est pessimiste. C. vient du nom composé grec pan (=tout) et glossa (=langue). C. est optimiste. 12. Le baron s’appelle Thunder-ten-tronckh