Les Registres Apollinaire

|Commentaire de Côte 146 de Guillaume Apollinaire | | | |Poèmes à Lou | | | |01/10/2012

argumentatif. La Bruyère, Les caractères, « Acis » Comment ce portrait discrédite-t-il les prétentieux ? Objet d’étude : « la poésie » Apollinaire, Alcools, « Mai », Commentez le lyrisme de ce poème. Apollinaire, Alcools, « Nuit rhénane », Quels sentiments ce poème exprime-t-il dans ce poème et comment les communique-t-il au lecteur ? Apollinaire, Alcools, « Les femmes », En quoi ce poème est-il lyrique ?Michaux « Le grand combat » Qu’est-ce qui fait la particularité de ce poème selon

corrige%CC%81 re%CC%81dige%CC%81.pdfDST n°1 : G. Apollinaire, « Si je mourais là-bas… » Proposition de corrigé (rédigé) À partir d’une copie d’élève, retravaillée. « Mon sang c’est la fontaine ardente du bonheur » écrit Guillaume Apollinaire pour adoucir l’image de sa mort prochaine dans « Si je mourais là-bas… », un poème en alexandrins composé de cinq quintils suivis d’un vers isolé qui constitue à lui seul la dernière strophe. Apollinaire ayant écrit ce poème avant son départ pour le

Apollinaire, Alcools, Zone, vers 1-24 Introduction Ce poème fut publié en décembre 1912 dans la revue Les Soirées de Paris. C’est en fait le derniers poèmes écrits par Apollinaire avant la publication d’Alcools en 1913 ; ce poème, d’abord intitulé « Cri », a été mis en tête du recueil pour le placer sous le signe de la modernité et d’une esthétique nouvelle. Le titre : plusieurs niveaux de signification : Etymologie : ceinture Marginalité : zone = bande de terrains vague qui entourait les

Alcools Marie Comme les autre poèmes que nous avons vus, Marie est très lyrique. La tonaloité n'est toujours pas facile à cerner. Apollinaire a renouvelé les thèmes lyriques avec une tonalité qui lui est propre. Marie est un échec amoureux. Apollinaire utilise la strophe qu'il préfère : le quintil. Il y a 5 quintils dans le poème. C'est la strophe que l'on trouve dans la chanson du mal-aimé. Marie est donc un enchaînement de 5 strophes dont l'enchaînement n'est pas forcément logique.

recueil Alcools de Guillaume Apollinaire I) Recherches documentaires Guillaume Apollinaire : Apollinaire de son vrai nom Wilhelm de Kostrowitzky, est né le 26 août 1880 à Rome. Sa mère Angelica de Kostrowitzky, issue de la noblesse polonaise, et son père Francesco Fulgi d’Aspremont (officier italien) ont 2 enfants. Cependant, celui-ci ne les reconnaît pas. En 1885, il abandonne ses fils et leur mère, qui vont donc s’installer dans la principauté de Monaco. En 1890, Apollinaire fait de brillantes études

lecture → Dans quelles mesures ce poème représente-t-il l’industrialisation connue à son époque et à l’heure actuelle ? Strophe 1 → Anaphore/Répétition du nom “La plaine” au vers 1,3 et 4 + accumulation de “et” → accentue le sentiment de plainte → registre élégiaque Association des plaines à “chaumes et granges” → désigne l’enrichissement des campagnes Morne → triste, mélancolie, abattue → la plaine est sans vie. Morne et morte → Au fil de cette plainte, on passe de la tristesse à la mort par le lexique

changer le cadre temporel et / ou spatial, changer le mode de narration (changement de narrateur, modification du point de vue), modifier le genre et/ou le registre (passer d'un texte narratif à une scène de théâtre et inversement, passer du blâme à l’éloge et inversement, passer du registre épique au registre comique, faire intervenir plusieurs registres dans l’évocation d’un même événement, etc.). * imiter un texte du corpus : - il peut s'agir de partir d’un élément structurel ou thématique du texte

donné comme sous-titre à son poème le nom "fantaisie". Ce mot désigne traditionnellement dans le vocabulaire de l'art une œuvre suivant "plutôt les caprices de l'imagination que les règles de l'art". Rimbaud nous donne avec ce mot une indication de registre, facile à justifier. "Ma bohème" est bien une fantaisie, d'abord par son thème : l'errance insouciante et inspirée d'un jeune poète, la métamorphose "fantastique" (v.12) (les deux mots sont de la même famille) que l'imagination du poète impose au

A la lecture d’Alcools de Guillaume Apollinaire, de Discours, derniers vers de Pierre de Ronsard, du Spleen de Paris de Charles Baudelaire et de Sagesse de Paul Verlaine, des points communs peuvent être dégagés. Evidemment, ces quatre ouvrages sont des ouvrages poétiques, à cela près que le Spleen de Paris est écrit en prose. Ce qui ne le distingue pour autant pas tant que ça des trois autres. Par ailleurs, bien que Discours, derniers vers fut publié en 1586, soit près de trois siècles avant Baudelaire