Les Registres Littéraires

pièce contemporaine écrite par Wajdi Mouawad en 2006. Ces trois extraits se situent à la fin de leurs œuvres respectives c’est-à-dire au dénouement. Ils ne présentent pas de thème commun et n’appartiennent pas ni à la même époque ni au même courant littéraire mais cependant nous nous demanderons quelles sont les caractéristiques qui font que ces trois textes relèvent du tragique malgré leurs apparentes différences. En premier lieu dans les pièces de Racine et Sénèque les personnages sont puissants et

correspondant aux têtes des trois personnages de profil. On retrouve également le regret déjà nostalgique de la vie qui s’en va : « « o nuit tendre d’avant la guerre ». L’ensemble crée un léger effet de pathétique, qui s’insère bien dans le registre tragique. Le registre fantastique, quant à lui, est suggéré par l’indication temporelle « entre minuit et une heure du matin », et par la personnification des phares. En-dehors du calligramme, le thème du mort-vivant apparaît : « Les morts tremblaient de peur

remarquable qu'une stratégie de persuasion se met en place (l. 4 "par malchance") et perdure tout au long de l'extrait gr^ace à des formules perlées ( l. 19 ; 27 ; 50-51 ; 62) - De la supplication au reproche - Le recours à l'hypothèse ("si") et l'usage littéraire de la supposition par Panurge, laisse libre-cours aux transports de son imagination. 2. Un raisonnement ab absurdo, fondé sur des observations essentiellement justes. - Réfutation de l'hypothèse de départ, par déduction logique de conséquences

 Commentaire Littéraire Les Misérables de Victor Hugo (1862) En 1862, Victor Hugo fait paraitre son roman Les Misérables. Alors que le mouvement culturel du romantisme est régulièrement exploité au 19ème par les auteurs de cette époque, l’auteur de notre extrait de roman fait ressortir le registre pathétique pour critiquer l’homme et la justice. On pourra ainsi étudier dans un premier temps, le jugement personnel

Devoir N°5 Questions 1. Quel point commun présentent les quatre scènes proposées ? Identifiez le registre de chacune d’elle. La comédie de Molière l'Ecole des femmes, en cinq actes et en vers soulève des questions importantes (l’institution du mariage et l’éducation des filles), tranche nettement avec les thèmes habituels de la farce ou de la comédie à l’italienne. Innovation littéraire en même temps que critique originale de la société du temps, elle irrite certains auteurs concurrents

mis au service d'une évocation pathétique de la misère populaire, du paupérisme. En définitive, chaque auteur, dans un genre littéraire fort différent, veut faire partager une émotion et une indignation. Ces cinq textes présentent, il est vrai, la même tonalité douloureuse, qui émeut profondément le lecteur par l'évocation apitoyée de la souffrance. Ce qu'on appelle le registre pathétique, le dolorisme. Un récit bouleversant, dramatique, poignant, qui vise à solliciter la sensibilité et la compassion

élément principal : la vérité. Dans cette fable ont les découvre donc personnifiées, la vérité représente une mendiante qui parvient très difficilement a survivre et la fable est une femme extravagante qui lui offres son aide. Nous avons donc un registre pathétique qui nous invite à la prendre en pitié alors qu’elle est ignorée, elle fait peur aux passants. Elle est décrite avec un lexique péjoratif : « toute nue » v. 1, « morfondue » v. 5 on découvre alors une vérité ignorée par les passants, qui

Incipit du roman : «  Aujourd’hui maman est morte » jusqu’à «    prendre des tickets et faire deux heures de route »  Auteur : Albert CAMUS, né en 1913 en Algérie, mort en 1960 lors de la bataille de Marne. Philosophe du 17eme siècle.(mouvement littéraire : existentialisme/surréalisme) Ses œuvres : Caligula, 1938 (pièce de théâtre)/Le Mythe de Sisyphe, 1942 (essais)/La Peste, 1947. Les caractéristiques du texte. Contexte historique : Dans les années 1930, le climat est difficile du fait de la crise

Entraînement à la question de corpus Pourquoi chacun de ses poètes se sent-il mal aimé ? Le corpus qui nous est proposé est composé de quatre textes appartenant au genre littéraire de la poésie. Le poème « Ariette III » (texte A) issu du recueil Romances sans paroles écrit par Verlaine en 1874, relate la mélancolie du poète. « Moesta et Errabunda » (texte B), tiré du recueil Les Fleurs du Mal écrit par Baudelaire en 1857, évoque également la mélancolie devant les souvenirs

dit être « né dans une impossible situation historique[13]», avoue les raisons de sa quête littéraire : « J’ai préféré cette harassante, effrayante recherche de soi qu’est la recherche philosophique, cet essai de maîtrise du monde, jamais achevée qu’est l’écriture[14] ». Et cette entreprise semble, elle aussi, vouée à l’échec. Roman tragique Le regard de l’adulte, passant par les effets de double registre, disqualifie dès le début du deuxième chapitre du roman l’épisode enchanté de l’enfance :