Les Ruines

rôle des pachtounes, corruption à grande échelle (jusqu’au niveau gouvernemental), narcotrafic, politique trouble du Pakistan... La situation interne du pays, un an avant le départ des troupes américaines, semble ainsi s'apparenter à un « champs de ruines ». Jean-Charles Jauffret décrit la position des Occidentaux et se demande alors: « Où va l'Afghanistan ? »  Le 5 décembre 2011 se tient à Bonn une nouvelle conférence internationale à laquelle ne participe pas le Pakistan, pays clé de la sécurité

l'ellipse « Les Turcs ont passé là », nous donne une sensation d'accélération, comme si en quelques instant, tout avais été détruit. Le vocabulaire fait également partit du registre de la Guerre, et nous y trouvons certaines oppositions : « Les ruines et le deuil » s'opposent à des éléments de bonheurs tel que «  Le palais, le chœur et les danses  » et le « sombre écueil  » s'oppose au soleil du désert. Ce vocabulaire de combat se retrouve à chaque strophe, « Ruine,deuil,pleurs,fer, chagrin,

environnante, flottait l’âme mystérieuse des millénaires abolis. Son enfance s’était écoulée là, dans les ruines grises, parmi les décombres et la poussière d’un passé dont elle ignorait tout. De la grandeur morne de ces lieux, elle avait pris comme une surcharge de fatalisme et de rêve. Etrange, mélancolique, entre toutes les filles de sa race : telle était Yasmina la Bédouine." Le lieu : Site funèbre, ruines grises. La temporalité du récit : Son enfance s’était écoulée là. Le personnage : Yasmina la Bédouine

une femme » (v.l.18) car il a de la sensibilité. 6. Le poète est le pont entre le passe et l’avenir car il veut unir la modernité avec le passe. En effet il est convaincu qu’il faut construire le future sur les ruines du passé, et ce le motif pourquoi il cherche la tradition dans les ruines. 7. Les images qui font du poète l’intermédiaire entre les hommes et Dieu sont : « les pieds ici, les yeux ailleurs » (l.4) parce qu’il a de l’imagination pour voir au-delà des choses ; puis le substantif ‘prophète’

visage caché par son masque. L'arrière-plan ne dévoile que des ruines. Le ciel est séparé en deux parties : des nuages noirs et rouge foncé (les couleurs de la violence et de la mort) à droite qui semblent laisser place à un ciel terne, en haut à gauche, d'où provient la lumière. On ne distingue aucun point de fuite (d'où le désordre dans les lignes), ce qui renforce l'impression de chaos. Sur le panneau de droite : sur les ruines et les cadavres, en dessous d’un ciel noir avec des tourbillons

pp. 329-332. Jean-Jacques Samuel, Note relative aux éditions originales: 'Eugénie Grandet', 'La Femme abandonnée', 'La Grenadière'; 'L'Illustre Gaudissart, Bulletin du bibliophile, fasc. 1, 1976.   pp. 21-28. Serge Duret, Cloîtres', 'landes', 'ruines'... Saumur ou le romantisme d''Eugénie Grandet, Ouest et Romantismes... Actes du colloque, Presses de l'Université d'Angers, Angers. 1991.  pp. 189-201. R. Virolle, Explication de texte: une page d' 'Eugénie Grandet, 'L'Ecole', 1960.   Pierre-George

complété bizarrement par les têtes et les fusils qui semblent sortir, en nageant, de l’étang de brouillard. ». Le panneau central est consacré au champ de bataille après l’assaut. Morts et survivants (l’un se cache) se mêlent dans un paysage ravagé de ruines et de cratères d’obus. Le panneau de droite met en scène Otto Dix lui-même qui s’est représenté extirpant un camarade blessé de l’enfer. Un soldat rampe au sol. La prédelle montre trois hommes allongés, c’est le repos après le combat achevé… en

ville. Ils ont notamment laissé les ruines des temples romains (et notamment d’un temple consacré à Jupiter) sur cette terrasse, une façon de montrer symboliquement la victoire du christianisme sur les religions païennes. Aux ruines de l’esplanade s’opposent les nouvelles églises qui se multiplient à Jérusalem. Au moment où les musulmans prennent la ville, c’est donc un espace vide de culte, mais chargé de mémoire et de symboles. Ils vont réutiliser ces ruines pour construire ces nouveaux bâtiments

chanson« Comme-toi », composée en 1983, avait rendu hommage à son père et ses origines polonaises) Jean-Jacques Goldman aurait très bien pu naître 34 ans plus tôt, en Allemagne, au lieu de naître à Paris XIXème en 1951. Un Allemand né en 1917, dans les ruines de la première guerre mondiale, dans l'humiliation des accords de Versailles, aurait atteint l'âge de 16 ans en 1933, l'âge de la révolte, mais surtout l'année où Hitler est arrivé au pouvoir. De manière plus générale, cette chanson permet de rendre

la montagne, symboles de l'amour impossible. Dans le deuxième, ce sont les «vergers fleuris se figeant en arrière» (v. 5), images fixes «se figeant » souvenirs de la jeune fille naguère aimée et maintenant perdue. Dans le dernier apparaissent les «ruines » (v. 14), dont nous venons de voir la signification ambiguë : à la fois ce qui est détruit et ce qui résiste à la destruction - marques historiques d'un passé qui n'existe plus mais qui se perpétue dans le souvenir (comme l'histoire d'amour évoquée