Les Sept Vieillards

tourmente la reine vieillissante. Et dans cette nuit de cauchemar, c'est un homme de la rue, un ivrogne attardé sous les fenêtres royales, qui a le dernier mot : « Votre époux est trop jeune, bien trop jeune pour vous… hou ! » Acte IV : Œdipe roi « Dix-sept ans après », une à une vont se dissiper les illusions et les fictions qui ont protégé le couple royal. De révélation en révélation, Œdipe et Jocaste seront amenés devant la réalité. L'annonce de la mort du roi de Corinthe provoque chez son fils le

tourmente la reine vieillissante. Et dans cette nuit de cauchemar, c'est un homme de la rue, un ivrogne attardé sous les fenêtres royales, qui a le dernier mot : « Votre époux est trop jeune, bien trop jeune pour vous… hou ! » Acte IV : Œdipe roi. « Dix-sept ans après », une à une vont se dissiper les illusions et les fictions qui ont protégé le couple royal. De révélation en révélation, Œdipe et Jocaste seront amenés devant la réalité. L'annonce de la mort du roi de Corinthe provoque chez son fils le

des vices et les mœurs. Idées : chapitre 3 : Candide pendant la guerre─›page 45, critique guerre « Rien n'était de si beau... » « quelques milliers d'hommes »; « Boucherie héroïque »l. 11 description des villages ravagés par le guerre « vieillards criblés, femmes égorgées...»l. 17; « arriva enfin hors du théâtre de la guerre »l. 27 chapitre 2 : Candide chez les Bulgares─› l. 33-40 l'exercice des soldats Bulgares « Candide, tout stupéfait ne démêlait pas encore trop bien comment il était

Homère Homère fut le plus grand poète épique grec. Il vécut sans doute au IXème siècle avant J.-C. Sept villes se disputaient l’honneur d’avoir été le lieu de se naissance, mais il est probable qu’il soit né à Smyrne (Izmir, dans l’actuelle Turquie). Il existe plusieurs récits de la vie d’Homère, tous très romanesques mais la légende semble coïncider avec la réalité lorsqu’elle parle de vie errante. La gloire d’Homère fut immense. Son influence s’exerça non seulement sur la littérature mais sur

(1655) — la scène où sont mis en présence le père usurier et le fils emprunteur, ainsi que l’idée de compter dans la somme prêtée tout un lot de marchandises inutilisables. Harpagon, par ruse, fait avouer à Cléante, son fils, qu’il aime Mariane; le vieillard prétend imposer ses droits. Une pseudo-conciliation tentée par maître Jacques, cuisinier-cocher d’Harpagon, n’aboutit qu’à aggraver la rupture entre le père et le fils. Sur ces entrefaites, La Flèche — valet de Cléante — s’empare de la cassette où

Correction BAC BLANC - Homère, L’Odyssée. 1. Comparez Calypso & Nausicaa dans les chants V à VIII. Durant son voyage pour rentrer à Ithaque, Ulysse rencontre différentes personnes dont Calypso, chez qui il va séjourner sept ans, et Nausicaa, fille d’Alcinoos roi des Phéaciens. On retrouve ces personnages dans plusieurs chants, notamment dans les chants V à VIII. Que peut-on comparer entre ces deux personnages ? Nous verrons dans un premier temps les points communs puis nous observerons les

séchant comme des fleurs ! Ainsi dans la forêt où mon esprit s’exile Un vieux Souvenir sonne à plein souffle du cor ! Je pense aux matelots oubliés dans une île, Aux captifs, aux vaincus ! … à bien d’autres encor ! XC. – Les sept vieillards À Victor Hugo Fourmillante cité, cité pleine de rêves, Où le spectre en plein jour raccroche le passant ! Les mystères partout coulent comme des sèves Dans les canaux étroits du colosse puissant. Un matin, cependant que dans

manquées, à l'intérieur d'une capitale où tout est anonyme. Paris, « ce colosse puissant » peut aussi être source d'angoisse profonde, une ville infernale, symbole du labyrinthe intérieur de l'esprit du poète. En effet dans le violent poème Les Sept vieillards, son âme est emportée dans le tourbillon d'une « mer mystérieuse et sans bords », son malaise étant voué à être infini, interminable ; il est en proie aux hallucinations, aux limites de la folie, sûrement sous l'emprise de drogues ou d'alcool

d'une bataille entre Bulgares et Arabes. • La condamnation de la guerre de conquête s'inscrit dans un combat de philosophes pour construire une société plus humaine et civilisée. On peut supposer qu'à travers ce texte, Voltaire critique la guerre de sept ans (1756).• C'est un pamphlet dirigé contre la guerre, ses protagonistes et ses conséquences1) Une peinture ironique de la bataille :a. Un spectacle de défilé militaire :• Caractère esthétique paradoxal, énumération d'adjectifs laudatifs renforcés

duquel le professeur, de plus en plus agressif et autoritaire, malgré les avertissements de sa bonne, menace son patron que « la philologie mène au pire » , mais celui-ci ignore ce conseil avisé, et entame son « cours tout préparé »…A mesure que le vieillard expose son cours sur les langues « néo-espagnoles », la véhémence le gagne tandis que l'élève tombe dans une certaine apathie. Seules les quelques protestations de la jeune fille - « j'ai mal aux dents » - viennent ponctuer le monologue pompeux du