Les Souffrances Du Jeune Werther Nature

et l’étrange (le « naturel » de l’intervention, l’aspect de plus en plus menaçant de la prédiction) - l’énumération des thèmes essentiels de l’inspiration baudelairienne (aspiration à l’infini) - la sensualité diffuse et inquiétante (plaisir et souffrance) - l’amplification dans la reprise terme à terme des mêmes prédictions (étude des variantes) - le rythme et ses effets d’incantation dans le discours (répétitions, groupements binaires, expansions ternaires, groupes croissants) - le renversement

Saint-Just : « Le bonheur est une idée neuve en Europe. » Le père avait donc été l’obstacle au bonheur des familles depuis toujours. Affreuse responsabilité historique des hommes. Tous coupables. Ce n’étaient pas une féministe en colère ou un jeune rebelle hirsute qui mettaient ainsi en accusation la gent virile, mais un ministre chenu et cossu d’une majorité conservatrice. Le coup venait de loin. On imaginait une lubie récente, jetée avec les pavés du boulevard Saint-Michel ; c’était un

institution héroïque Dandysme, c’est le duel 3. Le dandysme baudelairien : Culte du Beau 36 42 45 47 53 61 65 65 69 73 78 83 7 L’union de l’esthétique de la superficialité et la haute métaphysique 84 Le culte de la Beauté Le Beau contre la Nature L’éternel retour contre le progrès 87 91 101 CHAPITRE 2 RIMBAUD EN ACTION ET EN MARCHE 1. Les fugues d’un Rimbaud adolescent Georges Izambard, « pour son élève une sorte de providence » Georges Izambard, le trop officieux Mentor ? 106 110 111 115

Section 1 La pensée juridique au « Grand Siècle » : raison, morale et liberté 35 §1. Matrice commune et variantes à l’anglaise 35 §2. L’Etat de Nature et nature de l’Etat- l’école moderne du droit naturel 38 Section 2 Les Lumières : du droit naturel aux droits de nature 42 §1. Nature et raison des Lumières 43 §2. Rousseau, Nature et Liberté 45 Section 3 L’ambiguïté des transcriptions révolutionnaires 46 §1. La loi fondement des droits 46 §2. Consécration de l’homme

L’anticipation des regrets . . . . . . . . . . . . . . . . . . 183 49 Pourquoi l’animateur le plus populaire de France a-t-il un visage de poupon ? Le phénomène « baby-face » . . . . . . . . . . . . . . . 186 50 Pourquoi les émissions de type « nature et découverte » rencontrent-elles un succès grandissant ? Paysages naturels et morphine cérébrale . . . . . . 189 51 Pourquoi le magazine Playboy montrait-il des femmes aux tailles étroites et aux hanches larges dans les années 1960 ? L’évolution

prolongera plus ou moins cette partie du travail en fonction de l’intérêt des élèves, le but étant notamment de favoriser la prise de contact entre le professeur et la classe en début d’année. On pourra ensuite passer à l’étude du texte qui présente une jeune fille qui a déjà franchi le pas. Il ne s’agit plus pour elle de chercher une orientation mais, simplement, un travail. 8 algo mÁs 2. Comprender y expresarse Le texte étant un dialogue, il sera possible de commencer par une audition de son enregistrement

exemple! pour!contrer!la!forme!récit!et!indiquer!que!le!dialogue!relève!de!la!mixité!originelle!de! l’épopée,! moitié! diégésis,! moitié! mimésis! (comme! Genette! l’analyse! en! reprenant! les! termes!de!la!République!de!Platon,!dans!Figures$II).!La!nature!indifférenciée!du!roman,! son!côté!protéiforme,!voire!gigantesque!et!phagocytant!(le!candidat!pouvait!penser!alors! à!des!références!familières!comme!celles!du!genre!indéfini!chez!Marthe!Robert,!et!de!sa! malléabilité! en! général)! pouvait! être

faits sociaux pouvant avoir une dimension politique. Ce qui dans une société peut apparaitre comme politique peut ne pas l'être dans une autre, ce qui peut l'être peut ne plus l'être et ce qui ne l'était pas peut le devenir. "Rien n'est politique par nature, mais tout peut le devenir" Ex : Les partis politique sont de façon évidente dans la politique. L'environnement est devenu un enjeu politique majeur. De nombreuse questions n'ont pendant longtemps pas été considérées comme politique. Le caractère

enveloppait tout d'une nuée blanchâtre, tandis que la cloche, à l'avant, tintait sans discontinuer. Enfin le navire partit ; et les deux berges, peuplées de magasins, de chantiers et d'usines, filèrent comme deux larges rubans que l'on déroule. Un jeune homme de dix−huit ans, à longs cheveux et qui tenait un album sous son bras, restait auprès du gouvernail, immobile. A travers le brouillard, il contemplait des clochers, des édifices dont il ne savait pas les noms ; puis il embrassa, dans un dernier

consentit jamais à le faire. « Il y a là une forme de suicide et je n'ai nullement l'intention de me suicider », répondait-il. Chaque jour, il lutta contre ce qu'il appelait la routine pénitentiaire. Il s'était fait un plan de travail. Malgré les souffrances physiques et morales, la censure et le contrôle de l'administration Pénitentiaire, l'impossibilité de se référer à une documentation indispensable et de recevoir en temps voulu le matériel bibliographique qui lui aurait fait besoin, il couvrit d'une