Les Tambours De La Nuit

Et comme les lions aspirent la tempête Quand souffle l’aquilon8, Eux, dans l’emportement de leurs luttes épiques, Ivres, ils savouraient tous les bruits héroïques, Le fer heurtant le fer, La Marseillaise ailée et volant dans les balles, Les tambours, les obus, les bombes, les cymbales, Et ton rire, ô Kléber7 ! La Révolution leur criait : «Volontaires, Mourez pour délivrer tous les peuples vos frères !» Contents, ils disaient oui. «Allez, mes vieux soldats, mes généraux imberbes !» Et l’on

dissuader les passants d’accorder leur sympathie à la Résistance. L ‘affiche rouge montre des portraits de partisans dont il est question au vers 6 : « vous aviez vos portraits sur les murs de nos villes ». -L’aspect physique : « noirs de barbe et de nuit, hirsutes menaçants », correspond aux médaillons de l’affiche. -La couleur de l’affiche rouge : « une tache de sang ». L’affiche rouge (1959) – Chanson de Léo Ferré En 1959, Léo Ferré (auteur, compositeur, interprète français,) met en musique le

Présentation de l'œuvre: Cette œuvre s'appelle " Le chant des Partisans" réalisé en 1943. Les paroles ont été écrites par Maurice Druon et Joseph Kessel, la composition de la musique a été faite par Anna Marly. Ce chant est composé d'une voix de femme, de tambours et de cuivres. Le chant des partisans, ou le chant de la libération, est né dans la banlieue de Londres. Il devient l'hymne de la résistance française et européenne. Il est destiné à tous les résistants et est écrit en couplets et en rimes. Il s'agit

Varanasi, sous l'oeil de nitrate glacé des lampadaires, la tradition ne se laisse pas éblouir par la modernité. Le feu danse dans les diyas, ces lampions de terre cuite qui tendent leurs flammes vers les dieux. Le feu danse, sur les ghâts embrumés de nuit, au-dessus des eaux boueuses, toxiques et sacrées du Gange. Le feu danse, à la manière de Shiva, de qui jaillit le monde. Shiva médite depuis ce temps qui précède le temps, le Gange dans les cheveux et Varanasi au bout de son trident. Sa parole divine

le soir était toujours terminé le matin suivant de façon qu'il trouva l'aisance et devint presque riche. Un soir, aux environs de Noël, comme il venait de tailler son cuir et qu'il allait se coucher, il dit à sa femme : - Si nous veillions cette nuit pour voir ceux qui nous aident ainsi ? La femme y consentit et, laissant une chandelle allumée, ils se cachèrent dans la garde-robe, derrière les vêtements accrochés, et attendirent. Quand minuit sonna, deux jolis petits nains tout nus entrèrent dans

REGISTRE REALISTE : description de la pension Vauquer dans Le Père Goriot de Balzac (1885) A la nuit tombante, la porte à claire-voie est remplacée par une porte pleine. Le jardinet, aussi large que la façade est longue, se trouve encaissé par le mur de la rue et par le mur mitoyen de la maison voisine, le long de laquelle pend un manteau de lierre qui la cache entièrement, et attire les yeux des passants par un effet pittoresque dans Paris. Chacun de ces murs est tapissé d'espaliers et de vignes

                                     Ici, chacun sait ce qu'il veut, ce qu'il fait quand il passe Ami, si tu tombes, un ami sort de l'ombre à ta place, Demain du sang noir séchera au grand soleil sur nos routes Chantez, compagnons, dans la nuit la liberté nous écoute...                                      Ami, entends-tu les cris sourds du pays qu'on enchaîne Ami, entends-tu le vol noir du corbeau sur la plaine La nature de l'oeuvre est un hymne pour les résistants de la Seconde

Résistants pour des criminels. Il insiste sur les couleurs (le noir avec un double complément «  de barbe et de nuit » et le rouge avec la comparaison par rapport à la tache de sang) et la xénophobie. Dans la troisième strophe, la réaction des passants s’articule sur une opposition « mais » : une attitude le jour avec un rejet (« feint ? »  « semblait ») et une indifférence. Et une attitude la nuit avec l’inscription MORT POUR LA FRANCE (typographie et référence aux monuments aux morts) une reconnaissance

Mile, une route de la ville très fréquentée, en direction de South Bridge. Le second est celui d'un joueur de tambour, qui apparaît aux visiteurs et aux habitants depuis le milieu du XVII ème siècle. Personne ne sais qui il est, mais il semble vouloir prévenir le château des dangers. De nos jours, même s'il n'y a plus de guerre, le son du tambour dérange encore les habitants pendant la nuit. Certains disent qu'il n'a pas de tête.   Braemar Castle : Historique : Braemar est un petit village de la

(lorsqu’elle a fait l’amour avec Julien, c’était au pied d’un poirier). Elle s’était suicidée. Sa mère dit que c’était bien fait pour elle et les rumeurs courent encore une fois au village. Les voisines préparent le corps d’Aline et veillent sur elle toute la nuit et le lendemain, les gens curieux viennent prendre des nouvelles. Henriette n’a toujours rien dit depuis « le bien fait pour elle ». Lors de l’enterrement d’Aline, il n’y a pas beaucoup de monde et sa mère fait une crise d’hystérie lorsqu’elle voit