Les Tares De La Société

la société sont des lieux privilégiés de transmission des connaissances. Nonobstant les tares de cette société l’artiste doit porter son regard critique et constructif sur la transmission des valeurs sociétales sans les quelles l’humanité serait en décadence. I –La société temple d’éducation L’Education est un thème récurent dans l’œuvre de Mariama Ba et cela ne peut être cadré qu’au limite de l’école d’où la nécessite de l’élargir au sein de la societe par le biais de la famille. La société est

bourgeoisie d’affaires, du luxe et de l’argent. Ce roman paru en 1880 ayant pour cadre le Paris de l’époque, a pour but d’établir une satire sur plusieurs sujets en réalité très liés. En effet, Zola a voulu, dans son œuvre, confronter deux sociétés opposées l’une à l’autre : La grande aristocratie d’une part et le milieu ouvrier d’autre part. Le blâme que porte l’auteur sur la bourgeoisie d’affaires, le luxe et l’argent est donc fondé sur ces deux corps sociaux qui feignent de cohabiter et

façon suspecte. LES ROUGON-MACQUART Les Rougon-Macquart,où l’Histoire naturelle et sociale d’une famille sous le Second Empire,est un cycle romanesque de 20 romans, où l’auteur se pose le but d’étudier les tares héréditaires d’une famille sur 5 générations ,et de peindre aussi la société du Second Empire ,avec un intérêt particulier pour les classes ouvrières. Zola se documente abondamment avant d’ecrire et il soin de situer la fiction dans un cadre historique véridique. LA CURÉE Le roman

originelle... Il semble qu'ils correspondent a un fantasme de liberté totale sans lois. On peut parler d'une vie a l'etat de nature. cf Lucien Malson ( etude de Victor de l'Aveyron de Truffaut). " L'homme est un animal politique destiné a vivre en société" cf Aristote. L'etre humain ne peut grandir et se developper que s'il est en interaction avec autrui et s'il est eduqué. L'enfant sauvage = l'homme naturel. On decouvre dans les bois un enfant de 10ans, nu et ayant un comportement animal. 2 médecins

La bête humaine La Bête humaine est un roman d'Émile Zola publié en 1890. Résume : Séverine Roubaud est la filleule du président Grandmorin de la société ferroviaire où travaille son mari comme sous-chef de la gare du Havre. Celui-ci découvre qu'elle est sa maîtresse et, fou de jalousie, la contraint à l'aider à assassiner Grandmorin à bord de l'express Paris-Le Havre. Mais Jacques Lantier, mécanicien sur la même ligne, entrevoit le crime et, très vite, devine qui en sont les auteurs. Pour

Rougon-Macquart qui regroupe une vingtaine de romans écrit entre 1871 et 1893. Dans cette série il s’agit de l’histoire d’une famille, le Rougon-Macquart, sous le Second Empire. L’influence du milieu sur l’homme et les tares héréditaires d’une famille y sont étudiées, ainsi que la société du Second Empire. Le quatorzième volume est intitulé L’Œuvre. L’ouvrage nous entraîne dans le monde de l’art et des artistes, à travers le portrait d’un peintre maudit, Claude Lantier, dont le personnage évoque Paul

découvrons, ce sont eux qui pâtiront d'abord [...] Cette suppression de la peine de mort sera-t-elle du moins un ennoblissement de notre civilisation? Si quelques-uns sont disposés à le croire, c'est qu'ils désirent mettre, de plus en plus, notre société d'accord avec les données que nous fournit la science. Nous écoutons les médecins qui nous disent en regardant les assassins : "Ils sont nécessités. Celui-ci tient son crime de son atavisme; cet autre le tient du milieu dans lequel il a été plongé

Morgan dans celui d'une femme qui soupçonne son tuteur d'avoir tué son amant. Ce film fut au cœur de polémiques; Jean Renoir le surnommera Le Cul des brèmes en disant que « ce film est une propagande fasciste parce qu'elle montre des individus tarés, immoraux et que l'on pense immédiatement qu'il faudrait un dictateur pour remettre de l'ordre là-dedans ». C'est dans ce film que l'on trouve la phrase culte «T'as de beaux yeux, tu sais» de Jean Gabin. http://www.youtube.com/watch?v=0zDaNh8CSKg

pense, est purement culturelle. (Elle varie, d'ailleurs, selon les cultures, les civilisations) C'est bien à cela qu'elle sert, cette pensée, à communiquer à chaque être humain les idées et croyances qu'il doit avoir sur lui pour s'intégrer dans la société et la perpétuer. Penser à partir de cette culture, c'est nécessairement la perpétuer et perpétuer nos préjugés sur nous-mêmes car nous nous servons de ses concepts, approches, présupposés. On peut donc finir en disant que je suis

convaincre son auditoire que la guerre n'est qu'un simple et pure massacre qui ne fait en rien évoluer l'existence de l'homme. On a donc vu que Rimbaud parle de la guerre mais cependant il en parle dans ses poèmes à travers différents phénomènes de société , d'histoire ou de la nature. Dans "morts de quatre vingt douze" Rimbaud parle de la guerre à travers la notion de liberté comme le souligne la personnification (v2) :" Qui , pâles du baiser fort de la liberté" La liberté est ici mise en avant et