Les Themes Dans Les Contemplations

ou, le plus souvent s’en prend à la société qui ne le comprend pas, à «l’esprit bourgeois» : le romantique est avant tout un anticonformiste qui provoque (cf. le dandysme)pour masquer son malaise. {text:list-item} Les thèmes de prédilection des Romantiques sont les suivants : L'Amour et tous les sentiments émotionnels qui l'accompagnent : la violence, la jalousie, le meurtre, le suicide, le désir, Ce thème prend sa source dans la réalité humaine et l'imagination

des bois (1865). extrait de Les Misérables (1862). extrait de Les contemplations (1856). extrait de Histoire d’un crime (1852).

scandaleux Pourquoi une réputation sulfureuse ? - La Nausée (1938) est une méditation romanesque sur la contingence et éprouve irréversiblement un fait : l’existence est injustifiée. - Le Mur (1939) : recueil de cinq nouvelles qui abordent les thèmes du corps et de la sexualité ce qui a donné en raison d’une lecture trop brève à Sartre une réputation d’obscénité. - Huis-clos (1944) où trois personnages morts se harcèlent sans répit. On en retient sans bien la comprendre la phrase prononcée

jersey. En 1843, sa fille Léopoldine meurt noyée, d'où l'écriture de « Demain dès l'aube », un poème des Contemplations. Il vit en Belgique, puis à Jersey et Guernesey sous le second Empire. En 1853 paraissent les Châtiments, qui reviennent sur cette période. Et alors les publications majeures se multiplient : Les Contemplations, La légende des siècles, Les Misérables,... Il expérimente le spiritisme, avant de rentrer en France après vingt ans d'exil. Il décède

suites d'octasyllabes ou de déca sur deux rimes. L'ode, dont la forme est héritée de celle d'un poème lyrique des anciens Grecs, destiné à être chanté. Elle use de strophes variées et de mètres souvent courts, dont la musicalité est porteuse des thèmes lyriques. Le sonnet triophant Mais le plus connu des poèmes à forme fixe est le sonnet, qu'on doit à l'italie de la RENAISSANCE : Dante puis Pétrarque en fixent les règles. Marot l'introduit en france vers 1530 avant qu'il ne vienne une des

ce repli sur l’intimité subjective du moi ne signifie pas que les poètes romantiques renoncent à l’universel ; bien au contraire, ils trouvent là un moyen de dire l’Homme avec authenticité, comme Hugo le laisse entendre dans sa préface aux Contemplations (1856) : « Ah ! Insensé qui crois que je ne suis pas toi ! » Dès lors, le poète romantique devient ce « mage » visionnaire, capable d’entendre des voix que les autres ne peuvent percevoir ; interprète de la nature et du monde, il revêt, avec

convention, des Méditations poétiques de Lamartine, en 1820, aux Contemplations de Victor Hugo en 1856. Ce mouvement esthétique européen fait une place toute particulière au lyrisme et à l'effusion du moi avec un goût marqué pour la mélancolie : les poètes vont donc exprimer leur mal de vivre et leurs souffrances affectives en méditant sur la mort, sur Dieu, sur l'amour et la fuite du temps, sur la nature et sur la gloire, et au-delà de ces thèmes lyriques traditionnels sur la fonction du poète (Hugo) et

convention, des Méditations poétiques de Lamartine, en 1820, aux Contemplations de Victor Hugo en 1856. Ce mouvement esthétique européen fait une place toute particulière au lyrisme et à l'effusion du moi avec un goût marqué pour la mélancolie :les poètes vont donc exprimer leur mal de vivre et leurs souffrances affectives en méditant sur la mort, sur Dieu, sur l'amour et la fuite du temps, sur la nature et sur la gloire, et au-delà de ces thèmes lyriques traditionnels sur la fonction du poète et sur une

toujours plus entretenu que des imaginations de la mort, voire en la saison plus licencieuse de mon âge parmi les dames et les jeux, où tel me pensait empêché à digérer à part moi quelque trait de jalousie, ce pendant que je me guindais en la contemplation des maux et inconvénients qui nous choquent de tout côté . » Le sonnet que nous proposons d’étudier s’inscrit dans l’esthétique macabre propre au baroque et dans le versant religieux développé après la Contre- Réforme. Il s’agit de contempler

Devenir, sous le fouet d’un cuistre ou d’un abbé, Le lourd cheval poussif du pensum embourbé. Texte B. Jules Vallès, Le Bachelier (1881) Voici la dédicace et la première page du roman autobiographique de J. Vallès, Le Bachelier. Victor Hugo, Les Contemplations, I, 13 (v. 161-192). À CEUX qui nourris de grec et de latin sont morts de faim, Paris En route J’ai de l’éducation. « Vous voilà armé pour la lutte - a fait mon professeur en me disant adieu. - Qui triomphe au collège entre en vainqueur dans