Les Traitements Médicaux Innovants

des TPE 2009-2010 en alliant physique-chimie et mathématiques. Problématique : Quelle est l’efficacité des traitements médicaux innovants dans la thérapie du cancer ? Lors de la découverte des différents thèmes et sujets proposés cette année, mon groupe et moi, à l’unanimité, nous avons choisi le sujet « Traitements médicaux innovants » pour la maladie du cancer car les traitements de cette maladie sont l’un de plus développés dans le monde et que c’était une maladie que nous connaissions plus

Valentin Pubert 1 ère scientifique Thème : Les traitements médicaux innovants Problématique : Comment la bionique et par quels moyens peut-elle remplacer un membre manquant ? LES RAISONS DU CHOIX DU SUJET Après une longue réflexion entre nous, nous avons d’abord choisi le thème de « L’intelligence Artificielle », puis nous nous sommes rendu compte que ce sujet était difficile à aborder. Nous avons donc choisi « Les traitements Médicaux Innovants », qui nous a tout de suite passionnés car ce thème

Chère lectrice, cher lecteur, La découverte, le développement et la commercialisation de thérapies et médicaments innovants sont nécessaires à la guérison des maladies, à l’atténuation des souffrances et à l’amélioration durable de la qualité de vie des personnes malades. L’intérêt des patients est au coeur de nos activités, en permanence. Si Novartis est présente dans plus de 140 pays en tant que l’une des plus grandes entreprises de la santé à l’échelle mondiale, nous sommes chez nous en Suisse

plafond de la CMU complémentaire. Les démarches pour bénéficier de ce regime sont très complexe et moins d’un bénéficiaire potentiel sur cinq en ferait la demande. L’AME qui est l’aide medical de l’état offre elle une couverture plus restreinte aux personnes résidant en France. La CMUC qui est la couverture médicale universelle complémentaire contient des démarches qui sont longues et demande des justificatifs ce qui fait renoncer les bénéficiaires potentiel. De plus L’assurance maladie qui est

Les recherches ont permis d'identifier la maladie, de progresser dans sa compréhension, d'améliorer les méthodes de diagnostic. Mais les origines de la maladie restent encore incertaines et il n'existe toujours aucun traitement capable de guérir les malades. 100 ans de découvertes Depuis cette découverte, il y a un peu plus de 100 ans, les recherches sur cette maladie ont mené à de nombreuses découvertes. Le lien a été fait entre le déclin des capacités cognitives et motrices et la progression

consommation de soins et de biens médicaux (CSBM) puisqu'elle intègre les indemnités journalières, les subventions reçues par le système de santé, les dépenses de prévention, de recherche et de formation médicales ainsi que les coûts de gestion de la santé. La DCS comprend 4 sous-ensembles : * la dépense pour les malades Elle regroupe tous les paiements qui se rapportent à la maladie elle-même. Elle comprend : * la dépense de soins et biens médicaux (DSBM), * l’aide aux malades

qualité des projets : 60 % d’entre eux sont très innovants et représentent un haut niveau technologique, 1 sur 5 sont des innovations de rupture. Ambition aussi en raison de la démarche utilisée par les entrepreneurs puisqu’il est constaté une montée en puissance du recours à des projets collaboratifs, y compris dans des secteurs traditionnels jusqu’à présent peu ouverts au partenariat. Trois grandes priorités ressortent de l’analyse des projets innovants : la santé, l’environnement et l’énergie, et

et de prévenir la survenue des maladies correspondantes ; ii) d'établir un diagnostic le plus précoce possible dans des conditions minimalement invasives ; iii) d'imaginer de nouvelles approches thérapeutiques afin d'améliorer l'efficacité des traitements et le confort des malades ; iv) de suppléer aux pertes fonctionnelles ou régénérer les tissus ou les organes lésés ; v) de retarder ou même de réduire les effets du vieillissement en suppléant aux altérations des fonctions physiologiques ou bio

performance en textile de Dresde (Allemagne) Marie Lefebvre (Lille / France) : Doctorante en 3ème année de Mécanique des Matériaux à l’Université UVHC de Valenciennes et au laboratoire GEMTEX à l'ENSAIT à Roubaix, en projet REI (Recherche Exploratoire Innovante) pour la D.G.A. Monica Periolatto (Turin - Italie) / Italie) : Doctorante en 2ème année à l'Institut Polytechnique de Turin, département des sciences des matériaux et ingénierie chimique Xuyuan Tao (Lille / Chine) : Doctorant en 3ème année en Automatique

les maladies au départ et à l’aboutissement du processus de la recherche, en rapprochant tous les acteurs qui interviennent aux différents stades de la R&D, et en facilitant l’accès aux connaissances les plus récentes et aux technologies les plus innovantes. Il s’agit de mettre en place une organisation, des processus et des outils qui permettent non seulement d’analyser et d’intégrer la complexité des systèmes biologiques et des processus pathologiques mais aussi de : • fédérer différents métiers et