Decouverte alhzeimer
100 ans de découvertes
Depuis cette découverte, il y a un peu plus de 100 ans, les recherches sur cette maladie ont mené à de nombreuses découvertes. Le lien a été fait entre le déclin des capacités cognitives et motrices et la progression de la maladie. Ceci a été la base des tests cognitifs permettant, dans une certaine mesure, de diagnostiquer la maladie.
Dans les années 90, le cerveau fait l’objet de nombreuses études. Le fonctionnement de différents types de cellules cérébrales est mieux compris.
Récemment, de nouveaux modes d'interactions entre les cellules cérébrales ont été découverts. Des médicaments permettent de ralentir l’évolution des symptômes affectant les capacités cognitives et l’autonomie.
L’étude depuis une dizaine d’années des facteurs génétiques augmentant le risque de développer la maladie a permis la découverte de 11 gènes de prédisposition en 2011.
L’origine de la maladie d’Alzheimer serait due à plusieurs facteurs concomitants : âge, génétique, environnement… Le vieillissement est le facteur principal dans la plupart des cas.
A l’heure actuelle, les avancées dans ce domaine, bien qu’importantes, n’ont pas permis de conclure sur l’origine de la pathologie.
La complexité de la maladie d’Alzheimer et l’absence de diagnostics fiables freinent le développement de thérapies permettant d’inverser les mécanismes de dégénérescences des tissus cérébraux.
Des vaccins sont actuellement testés chez l’homme. Ils sont porteurs de nombreux espoirs.
Les avancées technologiques et le dépistage précoce
L’imagerie cérébrale a aussi énormément progressé.
IRM, scanner et PET scan (tomographie par émission de positrons) font avancer quotidiennement la compréhension du