Les Tuniques Bleues

lacrymal lave      Les cieux vert-chou : Sous l'arbre tendronnier qui bave,      Vos caoutchoucs Blancs de lunes particulières      Aux pialats ronds, Entrechoquez vos genouillères      Mes laiderons ! Nous nous aimions à cette époque,      Bleu laideron ! On mangeait des oeufs à la coque      Et du mouron ! Un soir, tu me sacras poète      Blond laideron : Descends ici, que je te fouette      En mon giron; J'ai dégueulé ta bandoline,      Noir laideron ; Tu couperais ma mandoline

amphithéâtre composé d’une allée centrale, dépourvu d’ouvertures extérieures hormis 3 portes bleues. Les deux premières, en haut de l’amphithéâtre, mènent à un même corridor tandis que la troisième porte située en bas , réservée au personnel, permet la communication avec d’autres salles de commandement. Les murs sont tapissés d'un matériau ressemblant à de l' acier. Le sol est recouvert d’une moquette bleu-nuit représentant un drapeau identique à celui qui recouvre le mur du fond de la salle : un

étaient le noir, le violet et le gris. Le rouge et le vert étaient deux couleurs uniquement portées par les nobles. Le code couleur ne s’impose pas qu’aux femmes. En effet les enfants de moins de sept ans devaient être vêtus de blanc et les fillettes de bleu ciel. Pour ce qui est des hommes, ils étaient vêtus de caleçons longs voir mi-longs en cuir ou en toile avec une grande chemise aux manches bouffantes par-dessus. Ils portaient tous des ceinturons, la plupart du temps ornés de pierres précieuses.

Majesté, dans un étourdissant chatoiement de velours, de brocarts, de dentelles galonnées d’or ou d’argent, de casaques bleues, d’uniformes écarlates, de plumes multicolores, de harnachements et de caparaçons rutilants. Précédant le monarque, le comte d’Harcourt, grand écuyer de France, chevauchait seul, portant, relevée sur le bras, l’épée du roi dans son fourreau de velours bleu semé de lys. Louis, ruisselant de broderies, était, bien sûr, le point de mire. On le trouva grand pour son âge, à la fois

* Eglise réformée et qui doit sans cesse être réformée. * Pourquoi s’embêter à chercher quand on peut le faire a notre place. 9) Votre couleur préféré est le : * Je n’en est pas car pour moi les couleurs ne signifie rien. * Bleu, la couleur de la vérité et de la justice !! * Jaune, comme la luminosité sur une photo * Noir, comme l’encre d’un stylo sur du papier. 10) Vous devez monter un dossier. Quels sujets voulez vous traiter : * Les Photos, le

Micro-organisme : petit organisme (organisme = être vivant constitué d’appareils) Macro : grand Macrocéphalie : grosse tête (céphale = tête) Endo, infra : intérieur Endocrine : qui sécrète à l’intérieur (crino = sécrète) (ex. : sang) Endocarde : tunique à l’intérieur du coeur Exo, extra : extérieur Exocrine : qui sécrète à l’extérieur (crino = sécrète) (ex. : salive) Anti : contre Anti-inflammatoire : contre la douleur Antiémétique : anti-vomissement (émétique = vomir) Antiseptique : antimicrobiens

ressuscité, le Christ est vêtu d'une longue tunique plissée à l'orientale, et porte autour du cou le pallium, cette écharpe de laine blanche brodée de croix noires. En haut, deux anges tiennent des phylactères et en bas, deux autres des chandeliers. Ces chandeliers rappellent qu'à l'annonce du Jugement Dernier, le ciel s'obscurcira. Au passage, on remarque les restes de peinture bleue qui indique que le tympan était coloré. Dans la partie où vont les sauvés, le bleu, celui des cieux où est supposé être

s'entrecroisent sans aucun souci de perspective, le désir des artistes n'étant pas de recréer un espace terrestre. Les mosaïques de Théodora et Justinien Les vêtements aux longues et amples draperies de couleurs vives, noir, blanc, vert, orange, bleu et or, aux contours cernés de traits plus foncés tombent en plis réguliers, raides et schématisés. L'attitude des personnages est figée et solennelle, et le couple impérial, quoique tout puissants sur terre, est subordonné au Christ, tout comme les

chante une rivière Accrochant follement aux herbes des haillons D'argent ; où le soleil, de la montagne fière, Luit : c'est un petit val qui mousse de rayons. Un soldat jeune, bouche ouverte, tête nue, Et la nuque baignant dans le frais cresson bleu, Dort ; il est étendu dans l'herbe sous la nue, Pâle dans son lit vert où la lumière pleut. Les pieds dans les glaïeuls, il dort. Souriant comme Sourirait un enfant malade, il fait un somme : Nature, berce-le chaudement : il a froid. Les

Hains et Villeglé. Grâce à ses plissages, il rénove les débordements de tissus, qui selon lui ″furent les gardiens du souffle de l'art en Occident, même dans les périodes de décadence, en effet que serait la victoire de Samothrace sans sa mince tunique mouillée qui en fait l'ancêtre des voitures compressées, réalisation ultime du plissage qui me fut soufflée par mon manque de moyens financiers ″. Il se spécialise dans les chiffons et les dessous féminins. Ceux-ci envahissent alors ses ateliers