Les Vocations Le Spleen De Paris

de Victor Hugo…….......26 Texte 3 : A l’obéissance passive, Les châtiments de Victor Hugo…….........28 Texte 4 : Lux, Les châtiments de Victor Hugo……..................................29 Séquence 5 Objet d’étude : La poésie. Texte 1 : Spleen IV, Les fleurs du mal de Charles Baudelaire………………….…32 Texte 2 : La vie antérieure, Les fleurs du mal de Charles Baudelaire………..33 Texte 3 : Chant d’automne, Les fleurs du mal de Charles Baudelaire ……...34 Texte 4 : La mort des amants, Les

Malherbe et Boileau, et pratiquées, avec parfois des variantes elles-mêmes clairement définies, jusqu'à la fin du XIXe siècle, où le vers régulier laisse une très large place au «vers libre» (Apollinaire) et au poème en prose (Baudelaire, Le Spleen de Paris poèmes en prose, 1862) Madame de Sévigné Né dans une famille de la vieille et haute noblesse française, Marie de Sévigné connut dès l'enfance les privilèges, le luxe et le pouvoir des gens de sa classe. Très vite orpheline, elle fut éduquée

peuvent aussi faire construire aux élèves la valeur du « poétique » par comparaison avec des écrits « non poétiques », rassemblés évidemment autour d’une unité problématique. L’on pourrait proposer, entre autres exemples, de confronter une vue de Paris chez Baudelaire, Hugo ou Aragon avec un discours d’urbaniste ou d’historien et un extrait de guide, afin de faire surgir par confrontation les particularités de la visée poétique, laquelle ne passe pas par l’effacement de la référence, mais par un

garde un souvenir exécrable, mêlé de dégoût et de haine. Il entre ensuite au Collège royal, lieu qu’il apprécie davantage. Baudelaire est un brillant sujet : il remporte prix et récompenses et est remarqué pour son esprit vif et incisif. De retour à Paris, il entre à Louis-le-Grand, auréolé d’un prix au Concours général. La fin des études parisiennes du poète est moins glorieuse : il obtient son baccalauréat à 18 ans et, malgré des moyens jugés remarquables, il ne se distingue en rien par ses résultats

garde un souvenir exécrable, mêlé de dégoût et de haine. Il entre ensuite au Collège royal, lieu qu’il apprécie davantage. Baudelaire est un brillant sujet : il remporte prix et récompenses et est remarqué pour son esprit vif et incisif. De retour à Paris, il entre à Louis-le-Grand, auréolé d’un prix au Concours général. La fin des études parisiennes du poète est moins glorieuse : il obtient son baccalauréat à 18 ans et, malgré des moyens jugés remarquables, il ne se distingue en rien par ses résultats

peuvent aussi faire construire aux élèves la valeur du « poétique » par comparaison avec des écrits « non poétiques », rassemblés évidemment autour d’une unité problématique. L’on pourrait proposer, entre autres exemples, de confronter une vue de Paris chez Baudelaire, Hugo ou Aragon avec un discours d’urbaniste ou d’historien et un extrait de guide, afin de faire surgir par confrontation les particularités de la visée poétique, laquelle ne passe pas par l’effacement de la référence, mais par un

pensionnat sévère, cet amusement m’avait toujours été interdit… Alors il le lui indiqua comme un dernier espoir… Mon tuteur en fixa l’essai le jour même ; il fit retenir une loge, et m’annonça, après le dîner, que nous passions notre soirée à © Hatier Paris 2006 15 20 25 30 35 40 45 50 Drury-Lane1 ; j’entendis à peine ce qu’il me disait. Je pris son bras lorsqu’il me le demanda, je montai en voiture… et je me laissai conduire comme d’habitude, chargeant en quelque sorte les

incertain. [ … ] » Et dans « Charleroi » « [ … ] Qu’est-ce que c’est ? Quoi bruissait Comme des sistres ? » On sent comme une sensation incertaine, comme si elle n’a plus de force de s’imposer à l’âme. « C’est » a une vocation dominante en ce qu’il définit et impose une situation, tout un état d’âme : Il est donc propre à exprimer le dépersonnalisation pour dire l’effacement du « Je » ; en une objectivité dominante. On sent une fréquente tension entre la forme impersonnelle

moderne a cherché ainsi de nouveaux sujets : le lyrisme est-il à même de rendre compte de l'évolution, voire de la révolution de la société ? Guillaume Apollinaire ouvre ainsi son recueil Alcools sur une rupture avec le « monde ancien », et considère le Paris moderne, avec sa « tour Eiffel » et ses « autobus ». À travers ce nouveau regard, ce sont les sources mêmes de l'inspiration que le poète remet en question, cherchant par l'écriture à goûter « la saveur du réel » – pour reprendre le titre d'un poème

Nuit de mai ls qui sont de purs sanglots »). » 190 La poésie CORPUS ET SUJETS 7 : CORRIGÉS Exemples – Vous pouvez évoquer : la déception amoureuse manque d’inspiration (du chez Apollinaire, le Bellay, le spleen baudelairien (plusieurs Les Regrets, sonnet VI ; Mallarmé, « Brise marine »), « Spleen », « La Cloche mal, 1857), le renonceme fêlée » dans Les Fleurs nt de Rimbaud. du III-2 Le poète se tient à l’écart du monde et sa parole semble Argument – Le poète se inaccessible perçoit souvent comme